Non, vous ne rêvez pas, je viens bien de m'excuser en 16 ans de carrière (notez l'humour). C'est vrai que ce que j'ai dit, j'en suis pas fière. C'est une des choses que je souhaite à personne.
Vous allez vous dire mais merde elle est bipolaire celle la.-J'en veux pas de tes excuses, tu m'as prise pour qui? S'exclame-t-elle.
Ah non mais par contre s'en est trop.
Je mets ma putain de fierté de côté pour elle et m'excuse gentiment, comment elle me répond? Comme si j'étais son chien! Mais ça va pas se passer comme ça.-Alors déjà je retire mes excuses, j'ai essayé d'être gentille avec toi, de compatir. Je me suis très rarement excusée, alors meuf fais pas la chaude avec moi. Tu m'étonnes que personne ne t'aime. T'es qu'une petite salope enfaite. Et la viens plus me parler, j'en ai marre d'accord? Enfaite tu vois, t'aurais dû crever sur ton bout de trottoir, parce que c'est tout ce que tu mérites. Et j'espère que tu vas encore essayer de te foutre en l'air et que t'y arrivera merde, lui criais-je.
La on peut être d'accord sur le faite que j'ai été beaucoup plus blésante mais je m'en fou. C'est tout ce qu'elle mérite après tout.
Elle n'a même pas eu le temps de riposter que je lui claque la porte au nez.
Je ne fais pas attention aux protestations des autres et descend jusqu'à l'accueil.
Les portes automatiques s'ouvrent sur un escalier où est assit mon copain.
Ah parce que c'est ton copain maintenant?
Ta gueule toi.Je m'assoie à côté de lui. Il remarque mes yeux rouges et pleins de larmes de colère, s'approche de moi et me prend dans ses bras. Je ferme les yeux et laisse quelques larmes couler sur son épaule. On a même pas besoins de parler qu'il comprend directement.
Il dessert notre étreinte et m'embrasse fougueusement en prenant soin de mettre ses mains, que j'aime tant, de part et d'autre de mon visage. Il essuie les quelques larmes encore présentent sur mes joues.
Nous nous séparons nous regardons dans le blanc des yeux pendants une bonne minute avec de faibles sourires accrochés à nos lèvres.-Elle ne mérite pas tes larmes, chuchote-t-il.
Je souris et place ma tête sur son épaule, sa tête se pose délicatement sur la mienne.
Les portes derrières nous s'ouvrent sur un troupeau de personne qui s'agit être mes amis mdr.
-Joana, ça va? S'inquiète Alison.
-Je t'explique dans l'avion, lui souris-je.
Elle acquiesce et me sourit.
-Bon vous êtes mignon mais on a un avion à prendre, commence Taylor.
-Et Camila? Demandais-je.
-Elle est renvoyée chez elle.
-Hein? Pourquoi? C'est pas que ça me gène au contraire, rigolais-je.
-T'aurais vu ça Jo', Camila a prévenu sa mère et du coup elle a direct appelé Bart je te dis pas le fight, rigole Alison à son tour.
Bart sort de l'hôpital.
-Bon la jeunesse, j'ai deux nouvelles, bonnes ou mauvaises, je vous laisse en juger par vous même, commença-t-il.
On se regarda tous puis nos regards se portent sur lui.
-Camila est renvoyée du Magcon mais vous devez le savoir et elle passera la fin de l'année avec vous dans le Nebraska, dans votre lycée, finît-il.
Oh non s'il vous plait dite moi que c'est une blague.
-Ses parents déménagent dans le Nebraska.
Putain il y a une cinquantaine d'états, 5 continents, plus de 200 pays et faut qu'elle vienne au Nebraska, dans notre lycée.
On est tous très enchanté de cette nouvelle, ironie quand tu nous tiens.
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weakness | s.m
Fanfiction"Elle me rend faible, disait-il" Joana, 16 ans. Je vivais une vie normal, mais malheureusement je n'aime pas la routine. Tout a changé. old magcon