Figée dans le temps

Chapitre 13

Nous montons ensuite au grenier où se trouvait la machine. Zack tenta de m'expliquer comment il avait réussi cette prouesse et je ne compris toujours pas un mot. Il abandonna donc et changea de sujet.

- Alors, vous voulez aller où pour commencer ? Demanda-t-il excité.

- Vous ne voulez pas aller dormir avant ?

- Je dormirais quand je serais mort. En attendant, quel genre de paysage aimeriez-vous voir ?

- Eh bien... J'adore la neige. Avouai-je.

- Très bien un paysage enneigé... Dit-il en sortant son téléphone.

- Que faite vous ? Demandai-je intriguer.

- J'ai fais en sorte de pouvoir commander le vortex depuis mon téléphone. M'expliqua-t-il brièvement.

Il tapota sur son téléphone portable tactile et, très vite, l'intérieur du cercle formé par les engrenages devint un mélange de différents bleus qui semblaient se mélanger d'eux même.

- On y va ?

Je souris et nous passons tout deux à travers ce qu'il appelait « le vortex » qui se referma derrière nous. Nous nous retrouvons dans un lieu qui m'était totalement inconnu. Le paysage était couvert d'un épais voile blanc et le soleil commencé à peine à se coucher. Une légère brise souffler et quelques flocons tomber encore.

- On va avancer, je suis persuader que nous ne sommes pas loin d'un village. Déclara Zack. Vous n'avez pas froid ?

- Je ne peux pas avoir froid et je peux réguler la température de mon corps à partir du moment où la température ambiante le permet. Expliquai-je subjuguer par la beauté du paysage.

- C'est à dire ? Demanda Zack qui commencer à trembler et claquer des dents.

- Ni trop froide, ni trop chaude.

Nous avançons pendant plusieurs heures mais la fatigue commençait à gagner Zack. Bien que je savais parfaitement bien qu'il était fatiguer, il persister à continuer notre marche.

- Ca suffit Zack ! Vous êtes exténuer, vous ne pouvez plus continuer ainsi ! M'exclamai-je après un certain temps. Alors on va s'arrêter et se reposer, même si ce n'ai que pendant quelques minutes.

Il était trop épuiser pour refuser. On s'allongea alors dans la neige et Zack ne tarda pas à s'endormir. Contre toute attente, le sommeil m'emporta aussi.

Je fus réveillé par quelques flocons de neige qui tombèrent sur ma joue. Je me retournai pour apercevoir Zack me tournant le dos. Il ne bouger pas je n'apercevais même pas le mouvement de sa respiration. Je m'assis brusquement, prise de panique, et le mit sur le dos. Sa peau était pâle et ses lèvres bleu. Ses yeux s'entrouvrirent légèrement et il prononça dans un souffle quelques mots presque inaudibles:

- J'ai tellement froid...

- Mon dieu! Zack réveillé vous! Vous êtes en hypothermie, je vous en supplie, lever vous! Il faut qu'on parte immédiatement!

- Je ne peux pas... Je suis gelé... Je ne peux plus bouger...

Ses yeux se refermaient petit à petit et sa voix devenait de plus en plus faible.

- Non! S'il vous plaît ! Réveillez vous!

Je hurlais, espérant que quelqu'un m'entende mais tout ce que l'on pouvait voir à l'horizon était un paysage de neige et de glace.

- À l'aide! Aidez-moi!

Les larmes qui coulaient sur mes joues devenaientglace. Je retirai la veste que je portais et couvrit Zack dans une dernièretentative pour le réchauffer.