Je me retournai brusquement vers lui alors que le vortex s'ouvrit encore.
- Vous avez mentionné mon secret dans votre carnet... Je fis une courte pause et repris. Mais je suis quoi pour vous ?! Une expérience ?! Hurlai-je.
- Quoi ?! Non ! Evidemment que non ! S'indigna-t-il.
- Je crois plutôt que je suis un vulgaire rat de laboratoire pour vous ! Hurlai-je encore plus fort.
- Je vous assure que non !
- Alors pourquoi ce carnet ? Expliquez-moi !
Son regard apeuré se plaça juste derrière moi.
- Elise, vous avez vu quelque chose sortir du portail ?
- Non, j'aurais dû ? Demandai-je inquiète.
- Oui !
Il m'attrapa le bras et me tira au fond de la pièce. Je me retrouver assise dans un coin du grenier aux côtés de Zack. Au milieu, se trouvait un monstre mi animal, mi robot. A partir du bas de son abdomen se trouvait un affreux corps de mygale tendis que le reste du buste et sa tête étaient un assemblage de plaques de métal plus ou moins rouillées. Il n'avait pas de main, les bouts de ses bras se terminaient en lames aiguisées. Zack tenta de se lever mais je le tirai vers le sol. Quelque chose n'allai pas. Les yeux de ce monstre étaient d'un blanc intense.
- Zack ne faîte plus de bruit ! Chuchotai-je.
- Pourquoi ?
Je n'eu pas le temps de répondre que le claquement de la porte d'entrée retentit dans toute la maison. Attiré par le bruit, le monstre aveugle, visiblement futuriste, se précipita vers la trappe menant dans le couloir, tentant, malgré sa taille, de la franchir.
- Zack, tu es en haut ? Demanda une voix féminine.
- Chloé !? Ne monte pas !
Le hurlement de Zack attira de nouveau l'animal vers nous. Il se leva et se plaça devant moi alors que le monstre fonçait droit sur nous. Je criai le nom de Zack tout en le poussant sur le côté, lui faisant éviter de se faire embroché par le bras robotique et tranchant de la créature qui vint se planter dans le mur. Je traversai la pièce et vint me placer devant le vortex encore ouvert avant d'attirer l'attention de la créature. Je lançai un des outils de Zack éparpillaient dans la pièce, sur son dos de métal et fis un maximum de bruit pour le forcer à fonçait de mon côté. Je réussi puisqu'il chargea droit sur moi. Voyant l'animal faire, Zack se jeta sur moi, me plaquant au sol. Le monstre passa donc à travers le portail qui se referma derrière lui. La jeune femme, n'aillant pas suivit le conseil de son ami, débarqua dans le grenier où elle vit Zack, encore haletant de ses efforts de survit, au dessus de moi.
- Oups... Lâcha-t-elle. Je ne vous dérange pas plus longtemps !
- Chloé !? Je croyais t'avoir dis de ne pas monter. Dit Zack en se relevant.
Il prit le temps de m'aider à me remettre debout avant de se mettre à la poursuite dans les escaliers de la jeune femme blonde, que je reconnu étant sa sœur.
- Oui, et je comprends pourquoi maintenant. Répondit-elle en me dévisageant, plein de sous-entendu.
Zack, se retourna vers moi avant de réaliser où sa petite sœur voulait en venir.
- Oh ! Non ! Ce n'est pas se que tu crois.
- Oh, mais je ne crois rien... Je dis juste que mon frère en costume, accompagné d'une charmante jeune femme en robe de soirée alors qu'il fait jour... Je suppose juste que tu t'es bien amusai cette nuit...
C'est vrai que notre tenu pouvais prêtait à confusion, alors j'improvisé une excuse pour ne pas laisser Zack dans l'embarra. Sachant parfaitement qu'il refusait de parler du vortex à qui que ce soit, j'optai pour un « projet professionnel ».
- C'est vrai, notre tenue n'est peut-être pas adaptée... Mais il faut bien user de son charme pour persuader les potentiels acheteurs.
- Les potentiels acheteurs... Répéta Chloé confuse.
- Oui, nous revenons d'un entretien avec quelques personnes intéressées par l'une des nombreuses créations de votre frère.
- Oh... Désolé, j'étais persuadée que vous étiez... Commença la jeune femme.
- Une conquête de votre frère. Il n'y a pas de mal.
- Alors pourquoi je vous ai retrouvé allongé au sol ? Demanda la petite sœur.
- Ces chaussures sont, certes élégantes, mais pas très solide. Affirmai-je en désignant mon talon cassé.
- Très bien, maintenant que les présentations sont faîtes, tu veux bien nous attendre au salon ? Quand à vous, suivez-moi dans la cuisine. M'ordonna-t-il.
Je le suivis donc dans la cuisine tout aussi faiblement aménagé que le reste de la maison.
- Je ne savais pas que vous étiez bonne menteuse.
- Et moi j'ignorais que vous étiez un Parish. Répondis-je peut-être un peu brutalement.
Son visage devint pâle et ses yeux tristes me fixèrent.
- Comment vous l'avez su ?
- Le caractère de votre sœur est bien plus connu que votre nom. Pourquoi cela vous attriste tant que je connaisse votre nom de famille ? Continuai-je calmement pour tenter de détendre Zack.
- Parce que sans le connaitre, vous me teniez tête ! Vous n'étiez pas comme tout ces lèches-bottes qui croient que s'ils m'offrent leurs services, et bien leurs boutiques, leurs maisons ou autres sont à l'abri du danger ! Ils croient que, comme je suis le plus vieux, je pourrais dissuader mon père de rasé leurs entreprise ou de saisir leurs maisons ! Ou encore que, quand je reprendrais l'affaire familiale, ils pourront avoir un grade plus élevé ou un salaire plus haut !
Il hurlait son mécontentement à qui voulait l'entendre. Les nerfs à vif de m'être débattu avec ce monstre, venant tout droit d'une autre époque, et d'avoir était obligé de mentir, parce que Zack n'était pas capable d'affronté sa sœur, ces hurlement furent la goutte d'eau qui fait débordé le vase. Je m'approchai de Zack toujours entrain de se plaindre et le gifla si fort qu'il en perdit la voix.
- Ecoutez-moi bien. Ce n'est pas parce que vous porter le nom de Parish que vous êtes le centre du monde. Je me fou de votre argent et je me fou de votre pouvoir. Je veux juste que vous arrêtiez de hurler ! Vous ne vous êtes même pas rendu compte que vous avez attiré votre sœur dans la cuisine. Maintenant elle sait que j'ai mentis, ma robe est déchirait à cause de ce monstre, mon talon est cassé et vous n'avez toujours pas retrouvé votre carnet. Vous devriez concentrer votre attention sur un autre problème que sur le fait que je sache votre nom.
Je quittais la maison énervée en tenant la manche arrachait de ma robe qui tombait devant moi après avoir cassé le talon de la deuxième chaussure, me retrouvant ainsi en chaussure plate. Je rentrai donc chez moi, enleva ma robe et m'allongea dans mon lit baigné par le soleil afin de me détendre.
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Figée dans le temps
RomanceRésumé : « Je m'appelle Elise et j'ai 21 ans. » Ça, c'est ce que je fais croire à tout le monde. La vérité est bien plus différente et les gens, surtout de cette époque, ne l'accepteraient pas. En réalité, mon nom complet est Elisabeth et j'ai 423 a...