Une Vie Gâchée

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Après ces deux courtes relations, j'ai commencé à être déprimé . Je réagissait mal, sans connaître les vraies raisons de cette situation. Finalement, ma vie personne ne la connaît réellement à part moi. Oh, puis finalement dites vous ce que vous voulez, en même temps je ne serais jamais ce qui se passe dans votre tête depuis le début de ce livre.

Alors oui, je suis tombée très bas, Thibault m'avait terriblement rabaisser, le premier mais aussi le deuxième. J'avais vécu déjà assez de harcèlement moral au collège, alors je pense que je n'avais pas besoin de plus avec eux. Mais évidemment c'est pas comme cela que ça s'est passé. Je n'avais pas fait le deuil de Steph, ma mère et moi nous nous supportons plus, Thibault un et deux m'enfonçaient et je n'avais plus envie de rien. J'ai commencé à fuguer de plus en plus, à criée sur ma mère jusqu'à ce qu'elle en pleure. A partir et revenir à n'importe qu'elle heure, enfin je pense que beaucoup d'entre vous l'auraient fait, rien de très grave finalement.

Un jours avec Sam nous étions restées toutes les deux chez moi pendant que maman travaillais, nous nous amusons à passer sous le lit, sauf que nos bras et ma jambe était restés bloquer. Nous, cela nous avais fait rire même si ont avais mal, mais ça c'est rien, on s'en serais remis. Mais ma mère elle, n'avait pas rigoler. En rentrant le soir, nous avions mis le bazars partout dans la maison, mais vraiment partout. Les meubles au salon avaient été déplacer, les vêtements sortit et rien étaient ranger. Ma mère était rentré énervé, elle avait ramener Sam chez elle et en revenant nous avons eu la plus grande engueulade que nous avons pu avoir jusqu'à aujourd'hui.

Ma mère m'avait insulté j'ai commencé à faire pareil et je l'ai prise au coup, elle m'a mis des claques et coup de poing, évidemment je n'ai pas répliquer ou à peine, je me suis enfuis dans ma chambre et je n'en suis pas ressortit jusqu'au lendemain matin. Le lendemain matin, je ne voulais plus rien faire, impossible de me lever, ma mère avait essayé tout ce qu'elle pouvait, enfin presque, il lui restait plus qu'une seule chose. Elle avais allumé la lumière mais comme je ne voulais pas la voir je suis rester au lit. Ouvert les volets, je n'ai pas bouger. Alors comme à ce moment là je dormais par terre sur mon matelas elle a traîner mon matelas jusque dans le salon mais je n'ai pas bouger. Alors elle c'est énerver et est partit chercher une bouteille d'eau froide, je ne pensais pas qu'un jours elle oserait faire ça, mais si elle m'a jeté la bouteille d'eau sur la tête !

Je me suis lever énerver et pris mon temps pour me préparer. J'étais donc en retard et, elle, elle était bien décidée à m'amener à l'arrêt de bus. Après 10 min de retard que j'avais pris, elle pris la voiture et m'amène à l'arrêt de bus en faisait du 160 sur des routes de campagne. Mon manège n'avait pas fonctionné, j'étais très en colère. A partir de là j'ai voulu me venger, j'ai voulu lui faire comprendre que c'est pas moi qui allais perdre la guerre..

Au collège je pleurais sans cesse et avec ce qui c'était passer la veille j'avais fait exprès de mettre les marques que je pouvais avoir en avant. Une des pionnes remarqua les marques sur mes bras, elle me demanda ce qui s'était passé et je lui raconta tout ! Ma mère fut convoqué le soir même par le directeur et ma prof principal. Elle dû s'expliquer devant eux, mais cette vengeance ne m'avais pas suffit. Et finalement c'est contre moi que cela a tourné.. Ma mère la directrice et ma prof principal décidèrent ensemble de prendre rendez vous avec une assistante sociale, qui me suivrais au collège et si vraiment besoin une éducatrice devrait venir à la maison une fois par semaine. Oh! Les gars, c'est pas moi la fautive, c'est maman ! Merde elle a tué la petite fille que j'étais, l'adolescente que j'étais, elle ne voyais pas mes pleures et en plus mon harcèlement scolaire elle ne l'avait pas remarquer. Allô, réveillez vous c'est de sa faute si je suis devenu comme ça. Enfin ça c'est ce que je pensais à l'époque, alors j'ai décidé de me venger autrement et la, elle comprendrais que sa fille est importante ! Merde j'existe moi aussi ! Qu'est ce que l'on peut être détestable à l'adolescence...