Chapitre vingt: Cabanon.

137 20 0
                                    

On entendais des pas se rapprocher de plus en plus rapidement vers nous. Nous nous étions cachés dans des sacs de poubelles vides. Heureusement qu'il n'y avais jamais rien eue dedans ! Sauf de la terre... Ce qui me fais poser la question: Pourquoi les propriétaire de ce cabanon n'achèterais simplement pas des sac de terre ? Ce qui me fais aussi penser à une fille... Je me rappelle qu'avant l'accident, j'avais une amie qui s'appelais Becky.

Ses cheveux étaient long, très long. Elle avais les yeux vert puis elle était plus petite que moi. Elle me parlait parfois de l'obsession de sa mère sur ''son jardin parfait qui doit être parfait en tout temps''. Puis elle mettait la terre dans des sacs de poubelles. Serait-ce sa maison ? Est-ce que je me trouve dans son cabanon, remplis de terre dans un sac de poubelle avec Olivier ? Peut-être pas. Malgré que ce n'étais pas meilleure amie, nous ne somme jamais aller un chez l'autre. On passais notre temps assis en équilibre sur des clôtures à critiquer la musique que l'on écoutais pendant ce temps.

Je chasse ces pensées quand des gens entrent dans le cabanon à une vitesse élevée. Puis ils se lancent tous derrière moi et Olivier pour se cacher.

-There's gone ?

-Ces policiers nous collent aux fesses c'est pas possible ! s'exclamait une.

-Hannah ? Rayan ? demandait Olivier en sortant du sac.

-Qu'est-ce que vous faites là ?! s'exclamait Xy.

-Un flic nous suivait jusqu'ici. C'est épuisant... Vous aussi ? continuais-je en sortant aussi du sac.

-M'ouais. C'est trop amusant avouer ! s'exclamait ensuite Alexis plus fort.

-Shhhht ! Ils vont venir ! dit Olivier.

-Bah ils risquent pas de voir Alexis en tout cas. Juste ses dents puis ses yeux, marmonnait Hannah.

-Ça, c'étais vraiment raciste ! se défendais Alexis.

-Chiale pas ! Hahaha ! C'étais une blague ! ricanait-elle en lui donnant un coup sur l'épaule.

-Tu trouvais ça comment Andrick ? me demandait Xy en s'approchant de moi.

-C'étais cool. Le suspense étais présent, moins que l'adrénaline en tout cas ! lui répondis-je.

-Je suis contente que tu ait trouver ça amusant. Nous on fait ça deux fois le mois, mais Olivier, aujourd'hui c'étais la première fois qu'il accepte depuis.

Depuis quoi en fait ? À cause de son cancer ? Parce  qu'il ne peux pas vraiment se permettre de courir comme auparavant ?

-Depuis ? demandais-je plus doucement pour ne pas qu'Olivier entende.

Je le regardais du coin de l'œil. Il riait. Encore de son magnifique rire... Je ne veux pas qu'il lui arrive quoi que ce soit. C'est un trésor vivant. On n'a pas parler d'ennemis, mais si quelqu'un le déteste, je ne comprendrait pas pourquoi.

Depuis sa connaissance, mon cœur de pirate s'est envelopper d'amour en son égard. J'ai essayer de ne pas l'aimer, j'ai échouer. Il pourrait m'haïr, je l'aimerais.

-Je ne sais pas si tu le sais, mais sa mère trompe son mari. Genre... depuis qu'il a 13 ans. Il s'est toujours empêcher d'aimer pour ne pas vivre ce que vis ses parents. Pas juste d'aimer, mais aussi de s'accorder du plaisir du bon sens du terme. Dont les sorties entres-amis. Ils sont toujours en chicane. Il a appris à s'aimer lui même et seul, parce qu'il pensait que personne ne pourrait le faire à sa place. Même pas sa propre mère. Elle est en dépression, ce qui n'aide pas les choses. Elle passe ses journées assise à fixer ses pieds. Ça ne m'étonnerais pas qu'il la trouve morte comme ça.

Depuis qu'il t'as vu à l'hôpital, il parlait toujours d'une fille disant qu'il l'aimait, ce pourrait peut-être est le seul amour de sa vie et tout tu voit le genre ? Quand on lui demandais de nous dire qui était la fille- genre pour l'aider à a séduire et tout- il était carrément agressif ! Il disait que Rayan allais faire ci, qu'Alexis allais faire ça, qu'Hannah allait la faire tomber amoureuse d'elle puis que j'allais tout faire de travers. Mais nous, on ne savais pas qu'il parlait en fait de toi. Un garçon. On ne comprenais pas pourquoi il disais qu'Hannah allait LA faire tomber amoureuse. Mais c'étais parce que tu est un garçon. Il nous parlait souvent de toi. Puis il a décider d'avouer qu'en fait, un ''ami'' lui a dit une théorie sur le fait que tout le monde est en fait bisexuel et tout. Ce gars, je dois le connaître ! Absolument. Il nous as confier qu'il était amoureux de toi, qu'il ne saisissait pas pourquoi et il avait avais besoin de notre aide. On lui a seulement dit d'être lui même.

Tu l'aime comme il es ?

-Bien sûr que je l'aime. C'est un amour.

-Fiou ! Tu pense connaître le gars qui parlait de théorie ?

-C'est moi.

-Tu me niaise ?

-Non ?

Quand on allais se décider à sortir, posant la main sur la poignée, quelqu'un l'ouvrit avant moi. Je déglutis. J'avais raison sur un point dont je ne voulais guère avoir raison.

À suivre...

Sourd(RÉECRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant