Sourd(RÉECRITURE)

Chapitre trente-et-un: Oval.

La femme sortait pour aller chercher le docteur qui entrais sous peu. Il avait un air sévère que je remarquais immédiatement. Il portai ses lunettes qui retirait en s'assoyant sur le bout du lit  sur lequel j'étais.

-Écoute, je sais que tu doit sûrement aimer ta famille. Lors de l'accident, toi et ton frère n'étaient pas attachés, vous avez donc été éjecter du véhicule lors de l'impact. Luke va bien. Tes parents n'ont pas pût être sauvés. La voiture a enflammer trop rapidement de plus que le choc à été très violent. Tu vas rester ici encore le reste de la journée. Le temps qu'on te trouve une garde.

Il allait ajouter quelque chose, mais mon frère entrait dans la pièce en béquilles. Le même docteur l'aidait à ce rendre jusqu'à moi, en larmes je fondis dans ses bras.

-Ça va aller Andrick, je m'excuse pour tout ce que j'ai dis... Papa est fier de toi et maman aussi. Je ne voulais pas que tout ça arrive, tu ne sais pas à quel point je m'excuse...

Aucune force ne venais à moi pour lui répondre. Je lui aurais dis que ce n'est pas de sa faute. Ce n'est pas de sa faute si papa voulais nous sourire. Ni de la faute de papa, ni de maman. Je te pardonne Luke.

Lors d'un film, on aurais exercer un zoom sur une de mes larmes qui tomberais sur ma joue. Ensuite, la caméra aurais reculer toujours gardant en objectif moi et Luke se tenant dans les bras déversant quelques larmes.

Je ne fis que rester dans ses bras avant qu'il me dise vouloir faire un appel.

Je restais donc seul dans la chambre.

La vie c'est comme un oval.

Ses côtés sont les moment de notre vie plus fréquents, normaux peut-on dire. Plus on monte, on est content, il nous arrive de bon trucs. On est fière de nous. Parfois de mauvaises pensées nous envahis, mais on est HEUREUX/SE quand même... Lorsqu'on se rend du côté droit, on tombe encore, là, on se pose des questions. Certains affirment avoir besoin d'aide, certains essayent de se débrouiller. Le temps qu'on traverse un endroit est différent. Pour tout le monde. C'est pas répétitif, des fois ça tourne vite, des fois ca passe lentement au mauvais temps, de même au bon. Vous avez compris:). Mais quand on tombe tout en bas, on se sens perdu. On adopte des pensés pas du tout commune que le moment que l'on est en haut. On peux avoir des obsesions, des envies de........ c'est juste bizarre à dire. Pas des envies de faire des "choses". Mais moi j'ai envie de tuer. On peux juste avoir envie de faire des trucs bizarres, des trucs qu'on oserais pas dans les moment qu'on monte, qu'on descent ou que l'on est en haut de l'oval. Quand on es en bas, on se sens poursuivis. On cour sans savoir qu'est-ce qui nous cour après. Mais quand on commence à remonter on découvre que c'est la peur. Et ça recommence.

Je suis en bas.

J'appellerais cette théorie «L'oval de ma vie». Je me sens philosophe, j'adore cette sensation. Je me sens bon. C'est l'effet Olivier-Jean Tremblay, c'est comme... ma drogue. Pas Olivier, la drogue c'est mal et Olivier n'est pas mal. Ma drogue serais la sensation de comprendre quelque chose. La sensation de comprendre mon problème.

J'agis maintenant comme la mère d'Olivier. Je m'assied et observe mes pieds.

Ma bougie intérieure s'éteind. La flamme devient noire, grise et blanche. Plus rien de lui donne sa couleur. J'ai perdu mes parents, je suis un peu comme Harry Potter ou Batman. Ok, Batman ses parents ne sont pas décédés comme les miens. Je préfère Harry.

Ma mère agissait souvent comme ma meilleure amie. En fait elle était à la fois ma mère et ma meilleure amie, ajoutant mon père. Ma mère savais deviner ce que je ressens sans que j'aille nécéssairement à lui raconter. Je pensais souvent à elle. Même toujours. Ce n'est pas juste parce qu'elle vient de perdre la vie dans un accident que je vais commencer à dire des trucs gentils qu'elle n'aurait même pas vraiment fait pour que les gens l'admirent plus que je l'admire maintenant.

Ma maman avait aussi ses défauts. Parfois elle pouvait simplement agir beaucoup trop comme une adolescente gameuse perdue à jamais. Mais je sais que l'amour familial, l'amour envers mon père et le fait d'être fidèle en tout sujet règnais sur elle. Se
rammasser en prison pour avoir frapper des mineurs par agressions pour mon frère ou moi ne lui dérangais pas. Justement un défaut se crée. C'est d'elle que je tiens ma violence morale probablement (Violence morale... c'est bizarre, non ? ). J'avoue aussi qu'elle n'étais pas la plus pacifique lorsqu'elle jouais.

Mon père. Mon papa à moi étais peut-être un gars magique. Il savait s'adapter aux situations qui se présentaient à lui. Mais il était un homme douteux. On ne savais guère comment il allait réagir malgré son adaptation.

Ancient gameur, il avait changer de passions. Il a passer par différents chemins. La musique, il a fait partit d'un groupe punk pendant 5 ans. Parlant du chant, ce n'étais pas vraiment acceptable si ils voulaient que le groupe réussisent ! Lui il était guitariste.

Le sport, il allait toujours à la salle.

La danse, pendant 2 jours il a essayer. Je dis bien essayer ! Ce n'étais pas son fort à vrai dire...

L'art, aucun commentaire.

Mais il a parcourus tout ce chemin à la rencontre de ma mère. Une femme qui sus l'inspirer et lui donner sa motivation. Je sais que de toutes les spécialitées dans lequel il eu des échec et des réussites, le fait d'être papa était la meilleure. Je sais que Luke seras une aussi bonne personne qu'il aurait pût l'être ainsi que grace à ma mère. Et moi aussi.

Espèrons que lorsque je sortirais de cet hôpital, les choses s'attenderons bien.