Chapitre vingt-sept: Dessins.

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Mes mains se glissèrent sous son chandail et sentir sa peau aussi douce que tout. Lorsque son chandail fut déposer (Ou plutôt lancer) à quelque part sur son lit, je le regardais. Je le regardais comme un artiste qui regarde la plus belle peinture qu'il ne pu jamais voir de ses yeux. Je le regardais comme un aveugle qui retrouvais sa capacitée à voir.

Je passais mes doigts sur son torse où des rougeurs étaient un peu partout.

-Qu'est-ce que ? demandais-je tranquillement.

Olivier était assis devant moi le dos déposer sur sa tête de lit. Il balançait sa tête vers l'arrière avant de me regarder directement dans les yeux.

-C'est juste des rougeurs comme ça. Je suis un peu anxieux et quand je suis stresser, j'ai de l'urticaire. Ça. Mais c'est léger. Sur moi ça n'apparaîs que comme des tâches rouges/roses. C'est énervant, mais bon. Je t'ai bien dit que je n'étais pas très beau. Je peux ravoir mon t-shirt ?

-Mais ça n'a pas rapport avec l'hôpital.

-Je ne voulais juste pas que tu soit dégoûter envers moi... mon chandail Andrick. Il est où ?

-Je ne serais pas dégoûter par rapport à toi, ne le pense plus. Je t'aime comme tu es, avec ou sans urticaire.

-Merci ?

-Non, c'est "merci l'amour de ma vie ! Maintenant je vais toujours avoir de l'urticaire pour t'éblouir!".

Il se mit à rire avant de répéter ce que je lui ai demander plus calmement.

-Merci beaucoup l'amour de ma vie ! Maintenant je vais toujours avoir de l'urticaire pour t'éblouir ! Tu es content ?

-Oui, derrien !

-Mmh, j'ai sommeil... Ça ne te dérangerais pas ?

-Non petit Oliver.

-Ark non, ça sonne "Oliveur l'olive verte". Je n'aime pas ça... dit-il en enfilant le t-shirt que je portais.

-Je te préfère en Olivier. Je te préfère quand je peux m'occuper de toi comme mon bébé.

Il me souris avant de m'embrasser sur la joue. Il déposait ensuite sa tête sur mon torse et s'endormit peu à peu avec moi.

Le lendemain matin, c'est lui qui me réveillait. Il dessinait ENCORE sur mon visage.

-Olivier !

-Ce n'est pas comme la dernière fois ! J'ai écris des trucs pertinant !

Il se levait de sur moi une nouvelle fois, puis j'allais me regarder dans le mirroir. Il avait fait plein de flèches vers mes, yeux, mon nez, ma bouche et mes cheveux pour écrire sur mon front "À moi".

-Mais comment t'as fais pour le rouge ?! demandais-je.

-Quel rouge ?

Je me retournais vers lui pour qu'il puisse voir de quel rouge je parlais.

-Ah non ! Tu ne fais que rougir, Andrick, rigolait-il.

Je ne souri plus en voyant le crayon qu'il avait utiliser.

-Olivier ! Tu as utilisé du crayon permanent sur ma face !

-Bein non. Regarde c'est un feutre normal. Ah non. Oups, désolé !

Il se mit à rire encore plus fort. Mais comment cela va s'enlever de mon visage ?! Ça serais peut-être le bon moment pour le dire à ma famille ?

La porte de sa chambre s'ouvrit pour que sa mère entre avec la petite fille qui m'avais aperçu dormir dans la cour: Aviva.

-Ok... j'allais te demander pour quand Andrick allais venir, mais il est là, dit -elle à Olivier.

-Bonjour madame, avais-je dis ensuite.

-Bonjour, c'est Olivier qui t'as fais ça au visage ? rigolait-elle en remarquant l'œuvre de son fils. Sinon le dîner n'est pas commencer. On peux toujours s'organiser un restaurant, vous en pensez quoi ? demandait-elle d'un air heureux.

-Ouais ! Ça va être cool ! s'exclamait Olivier.

-D'accord, rejoignez-moi dans la voiture quand vous aurez terminer de vous préparer.

Elle sortit de la chambre en refermant la porte, mais la sonette de la maison se fis entendre.

-Andrick, quelqu'un est là pour toi ! s'exclamait la mère d'Olivier.

Mais qui peux savoir que je suis chez Olivier ?

Sourd(RÉECRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant