Je relève la tête et aperçois un visage comportant des milliers de couleurs. La fondation avait l'air périmé. De la poudre à la couleur chaude scintillait en s'envolait en l'air à chaque mouvement effectuer. Une grandissime couche de rouge à lèvre était déposé sur ses lèvres qui semblaient légèrement gonflées, semblable à de la patte à tartiner. Suivie d'un corps non cacher, quelques bouts de tissus d'une grandeur minime se tenait sur sa silhouette. La créature était perchée sur de grandes échelles, qui servaient effectivement de chaussures. Elle ressemblait fortement à un de ses milliers de chefs d'œuvres de Pablo Picasso.
La jeune femme multicolore tirait le pinceau que je tenais, je le reprends du bout des doigts.
- : Non mais ça va pas non ?
- femme : C'est mon pinceau !
Sa voix aiguë, sa façon de parler, elle avait toutes las caractéristiques pour m'énerver. Sa présence m'insupportait réellement.
- : Excuse moi, mais c'est moi qui l'a prit en premier, puis il y en a des milliers. Ohh faut arrêter !
- femme : Déjà tu me parles meilleure petite clocharde.
- : Avant de parler, lave toi la gueule. Sache qu'il n'y a pas que des couilles que tu dois avoir dans la bouche.
Après avoir prononcer cette phrase je lui lance une droite sur la bouche, près de sa mâchoire. Je pris mon pinceau et je laisse l'autre extraterrestre écrasée au sol.
- Sonia : Euhh... Explique moi ce qu'il s'est passé là. Je suis perdue.
- : Ah ça ? C'est rien... Sinon tu disais quoi So' ?
Lui demandais-je en m'arrangeant les cheveux.
- Sonia : Ok... La meuf normale quoi.
Je ricane.
- Sonia : Oui bref, je t'avais demander si t'allais te remettre avec Younes.
- : Je pense que oui, mais je sais pas je me dis que si on se quitte c'est mieux nous tu trouves pas ?
- Sonia : Mais t'es sérieuse dans ton délire ? Donc, en gros vous vous quittez à cause de Khaled ? Pour des putains de mythos ?
- : Non, quand même pas... Si j'accepte pas ce sera pour pour cette raison. Je me suis dit que peut-être notre mariage ne fonctionnera jamais.
- Sonia : T'es complètement amoureuse de Younes. T'as besoins de lui, comme lui a besoins de toi. Je comprends pas pourquoi tu te complique la vie.
- : Mais...
- Sonia : Y a pas de mais Neyla ! Tu sais très bien que je t'ai toujours soutenu quoi que tu fasse. Mais là t'es vraiment entrain de déconner. Je te reconnais pas. Je sais pas si c'est la fierté qui te joue des tours. Mais t'assures pas du tout là. Puis Younes il mérite pas tout ça. Miskine w'Allah. T'es vraiment bête comme fille. Les actions comme ça, ça m'énerve putain !
Je ne réponds pas.
- Sonia : Hassoul, viens on va payer nos trucs.
Je me dirige vers une caisse, sans dire un mot. Sonia marchait derrière moi. J'arrive devant une caissière et je lui passe mes articles.
- caissière : Ça fera **,** euros s'il vous plait.
Je lui donne la somme requise et j'attrape mon sac.
( ... )
Hier soir, pendant que je somnolais, j'avais fait un rêve. Un rêve intriguant.
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Oui, pour la vie.
Romance« Oui, pour la vie. » Je n'oublierais jamais ce jour ou il est entré dans ma vie. Je n'oublierais jamais ce jour ou mon père m'a annoncé cette union. Cette union involontaire, injuste. Ce jour ou mon géniteur m'a déclaré : «Tu vas te marier avec Yo...