Angélina et sa famille viennent de s'installer a Paris, tout se passe pour le mieux; lorsque qu'Angélina commence a voir des choses étranges dans son jardin, et a des intuitions. C'est le début de l'Apocalypse des créatures étranges apparaissent. A...
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PDV Colline : ( ce chapitre est completement parti en couilles x)
Je me réveillais péniblement, j'avais un mal de tête horrible. Comme si on me tapais le crâne à coups de marteau piqueur. Il était 13h, je m'étais réveillée très tard. Ma famille et moi avions emménagés chez mes grands-parents provisoirement, car ma maison était inhabitable. Elle était inondée. Je n'avais pas compris comment cela était arrivé. J'étais rentrée chez moi en claquant la porte furieuse, dégoutée de la vie et de lui. Comment avait-il pu me faire une chose pareil ? Cela faisait plus de 6 mois qu'on était ensemble... Il m'avait trompé pour cette grosse pute de Jennifer.
J'avais pleuré toutes les larmes de mon corps, j'étais affalée sur le parquet de ma chambre, je m'étais endormie. Et quand je suis réveillée j'étais sous l'eau. J'avais paniquée au début mais très vite je m'apperçu que je pouvais respirer sous l'eau. Je croyais au début que j'étais dans un rêve et que tout cela était une illusion, mais mes parents étaient rentrés dans ma chambre horrifiés croyant que je m'étais noyée. Et ils m'avaient sorti de l'eau, pour tous nous sortirent de la maison. Je ne savais toujours pas comment ma maison avait pu être inondée.. Mais une idée me vint très vite à l'esprit : Si ça se trouve j'étais une sirène ? Mais je suis revenue très vite sur terre pour me dire que j'étais completement cinglée de penser ça. Les sirènes ça n'existent pas. On avait surement oublié d'éteindre un robinet ou quelque chose comme ça... Mais même un robinet ouvert n'aurait pas pu inondé la maison toute entière, même le deuxième étage..
J'arrêtais de me torturer l'esprit et descendis prendre mon déjeuner. Lorsque je me suis levé mes jambes ne tinrent pas le coup et je m'étalais par terre telle une vulgaire crêpe, alors je rempais jusqu'à la cuisine. De toute façon ma famille n'était pas à la maison, la demeure était très silencieuse. Quand j'arrivais enfin dans la cuisine après 10 minutes de rempation, je restais bouche bée car Killian était assis sur la table à m'observer telle une truie sortie de l'eau. Je me relevais très vite pour arrêter cette humiliation, et je le dévisagea.
« Qu'est ce que tu fais là? Comment est-tu rentré ? Et comment as-tu su que j'étais ici ? » lui dis-je en criant.
Il me regarda intensément, descendis de la table et vint près de moi. Je reculais d'un pas instantanément.
« Je veux m'exp.. »
« Tu n'as pas à t'expliquer. » le coupais-je dans son élan.
« S'il te plaît laisse moi te parler » me dit-il, me suppliant du regard.
Je fis mine de réfléchir à sa proposition.
« Mmmh, laisse moi réfléchir un instant.. NON ! » lui criais-je au visage hors de moi.
Comment osait-il venir ici et vouloir s'expliquer ? Etait-il conscient de ce qu'il m'avait fait ?
Il soupira, et essaya de continuer à me parler. Mais cette fois-ci je le laissa continuer son récit pour voir ce qu'il avait à me dire.
« Je suis tellement désolé Colline... Comme tu savais à quel point je m'en veut.. J'ai rencontré Jennifer devant chez moi, lorsque je rentrais ,comme si elle m'attendais. Elle a commencé a vouloir m'embrasser et à me toucher, au début je me débatais car je ne voulais pas qu'elle m'embrasse. Et puis elle à commencé a me faire du chantage, que si je ne la laissais pas coucher avec moi elle te ferait une réputation de pute et qu'elle te pourrirait la vie jusqu'au suicide. J'étais choqué et sur le moment je ne savais pas quoi faire donc j'ai accepté a mon grand regret. » dit-il peiné, il avait l'air franc.
Je le regardais ne savant quoi en penser. Et je détournais le regard.
« S'il te plait bébé pardonne moi. »
BEBE ? Avais-je bien entendu ? C'était hilarant mais je m'abstenais d'éclater de rire.
« Laisse moi du temps, maintenant pars s'il te plaît. » lui dis-je perdue dans mes pensées.
Sur ce il m'embrassa sur la joue et parti sans dire un mot. J'éclatais en sanglots.
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