• Chapitre XIX •

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Salam / Bonjour / Bonsoir




J'ai plus de tel c'est pour ça j'ai pas pu poster la partie plutôt que prévu en plus celle là je l'ai terminer de l'écrire à l'ordinateur et c'est grave désagréable décrire sur l'ordi bref. 

Je metrerai plus du temps à écrire les suite sauf ci on se décide à m'acheter un nouveau tel enfin en attendant allez lire les histoires de : chocolat3143
dz_en_forces
miya20001107

Et non je ne vais pas de pubs c'est seulement pour vous faire patienté.




Bonne Lecture



- t'étais où putain, répète-t-il plus sévèrement

Moi : Ly-Lyes

Je recule alors que lui avance vers moi, je priais dans ma tête pour ne pas rencontrer un mur.

Lyes : ta cru t'étais chez ta daronne hein, ta cru tu pouvais te barré comme ça sans me prévenir ya écrit pd sur mon front,

Moi :.......

Lui : répond moi merde

Moi : *en pleure * je-je suis dé-solé

J'ai tellement peur que je me suis mise à pleurer, je me cogne à mon armoire à sous-vêtements, il m'attrape par les cheveux et colle nos fronts.

Lui : * calmement* t'étais où

Moi : j'ai rien fait de mal je te le ju.......

Je termine pas ma phrase que je me retrouve balancer au sol, mon bras droite, me faisait un mal de chien, il s'agenouille face à moi et me déclenche une droite faisant tourner ma tête de l'autre côté.

Lui : LA VIE DE OIM TOI JE VAIS T'ENFERMER DANS CETTE PUTAIN DE MAISON, MA FEMME S'EST UNE PUTE POUR SORTIR COMME ÇA OKLM PENDANT DES JOURS SANS PRÉVENIR, TA CRU C'ÉTAIT LES VACANCES CONNASSE PUTAIIIIIN TU M'ÉNERVE

Il me balance un coup de pied sur ma cuisse gauche, je parlais pas je faisais que pleurais, mon bras, ma joue et ma cuisse me faisaient tellement mal

Lui : tu me rends dingue merde je me suis grave inquiète, tu pouvais pas répondre à mes appels il te sert à quoi ton téléphone, de décoration peut être AAAAARRRHG J'AI ENVIE DE TE MASSACRÉ

Il me fou un dernier coup au ventre me faisait hurlée de douleur. J'en pouvais plus, je sais que ce que j'ai fais et mal mais je ne supportais pas d'écouter Inès me raconter son passé avec sa première femme, la première qu'il a tant aimé et haï.

Je lève la tête vers lui toujours en pleurant et le vois me fixer en se tirant les cheveux avec sa lèvre supérieure prise entre ses dents.

Lui : putain

Il sort de la chambre en claquant la porté, je reste encore allongée au sol en pleurant.





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Je me mets en pyjama après mettre bien soignée, j'allume mon téléphone et regarde les appels et messages qu'on m'avait envoyé, heureusement pour moi Lyes n'avait pas prévenu ma famille parce-qu'ils n'auraient encore plus défoncés mes reufs. Et sans oublier les leçons de morale de ma daronnes.

Mariée À Un malade Sans Le Savoir  -ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant