Aide moi s'il te plaît

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Zacharias était debout devant moi. Il m'avait demandé si j'allais bien. C'est sûrement la première fois qu'il m'a adressé la parole. Je l'avoue j'ai un terrible coup de coeur pour lui depuis un bout de temps, mais avant je pensais que je le trouvais juste beau comme toute les autres filles. Je ne l'ai jamais dis à Harry et encore moins à Ron, car pour eux il était le Malefoy de chez Pouffsoufle. Je ne crois pas qu'il soit comme ça.

-Je peux m'assoire? me dit-il d'une voix douce.

J'ocha la tête pour lui faire signe que oui. Il s'assit en indien à côté de moi et fixa un point. Je me sentais idiote de pleurer devant lui. J'essuya mes joues avec le revère de ma manche et releva la tête pour essayer de trouver le point qu'il fixait.

-Est-ce que tu as des idées toi pour le bal de samedi? Moi j'en ai quelques unes.

-Oui elles sont dans se cailler.

-Géniale! Penelope a plein d'idées elle aussi. Est-ce que tu sais si Malefoy en a lui?

-Oui il a fait une liste hier.

-D'accord on se voit dans quelques minutes pour la rencontre des préfets. Moi il faut que j'y aille, j'ai des choses à faire.

Il partit vers l'endroit où j'étais arrivée. C'était agréable et étrange en même temps cette discussion avec lui. Il n'avait pas essayer de me parler de ma colocation lui. J'ai bien aimé lui parler. Bon je vais aller lire un peu à la bibliothèque en attendant. Je sais que là il n'y aura personne alors j'aurais la tranquilité qu'il me faut.

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Une demie heure que je lis et relis la même page d'un stupide livre de sortilège datant des années de Merlin. C'est incompréensible ce qui est écrit. Je veux savoir et comprendre surtout ce qui est arrivé lors du mélange des deux sorts, mais les informations sont dans une langue que je n'ai jamais vu. C'est étrange parce qu'à l'habitude je reconnais toute les langues. Ce sont des genres de dessins avec des lettres dans le mauvais ordres. Je suis désespéré... Je devrais peut être abandonner tout ça et laisser Pomfresh et McGonagall faire leur boulot. Je rangea le livre sur l'étagère où je l'avais trouvé et mystérieusement mes yeux se posèrent sur un vieux livre à la couverture rouge sang qui avait l'aire d'avoir une bonne centaine année et même plus je dirais. Je le pris dans mes mains et j'essaya de l'ouvrir, mais il était comme coincé alors je lança le sort pour qu'il s'ouvre. Je tourna les pages assez rapidement pour voire le contenu, mais mon attention se dirigea vers une page à moitié déchirée qui avait pour titre "Les 5 plus grands sortilèges inconnus". Qui aurait pu prendre cette page? Bon à en voir le livre ça peut faire autant 5 minutes que milles ans que la personne a prit cette page. Pour que le livre soit vérouillé c'est qu'il y avait une bonne raison. Sur ce je déposa le livre, car j'étais presque en retard pour le conseil des préfets pour le bal.

PDV DE DRAGO

Je n'en revenais juste pas. Losrque je suis rentré de ma marche je suis tombé sur Hermione qui pleurait à chaude larme dans un corridore désert. J'allais m'approcher, mais un gars sortit de l'autre côté s'est assis à ses côtés. C'était cet imbécile de Smith. Comment il avait osé! C'était moi qui aurait dû être là pour elle. Je l'a connais mieux que lui, il n'a pas d'affaire à prendre ma place. Attend minute là! Qu'est-ce que je dis là? Oh par la barbe de Merlin j'ai perdu la tête! Je serais mieux d'aller à la salle des préfets. Ça va peut être passer. Après tout, c'est sûrement juste un mal de tête à cause que je n'ai pas suffisemment dormis.

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Lorsque je rentre il y a les deux filles qui parlent des décors. Je m'approche d'elles et leur demande;

-Où est Smith?

-Il s'en vient. Il est aller chercher des choses pour la musique et le buffet. dit la bleue avec un ton gêné.

-Donc ce sera samedi à partir de 6 heures que les gens pourront venir. Les élèves doivent porter des vêtements chics puisque c'est un bal. Il y aurra un buffet sur la scène où sont les professeurs à l'habitude. Les tables seront dégagées pour laisser une grande salle pour danser. Des chandeliers seront au plafond avec comme des lumières des couleurs des maisons. Sur les murs il y aurra les drapeaux de chaques maisons. Pour la musique il y aurra un groupe et quelques fois des slow. Alors on a pensé à tout? dit Granger en lisant une feuille bien remplit.

-Oui c'est parfait! dit Zacharias qui venait de rentrer.

Il y avait les idées des quatres préfets. Mais comment il avait eu mes idées? Je vis dans le cailler d'Hermione que ma feuille avec toute mes idées était là. Elle n'avait rien toucher, tout était là. Je n'avais jamais imaginé qu'elle pourrait faire ça pour moi. J'en étais très reconnaissant même si c'est juste un petit geste. Jamais quelqu'un avait respecté mes choix comme ça. Dans ma famille je ne décidais rien et avec mes amis je devais presque les menacer ou leur faire peur pour qu'il me respect. Mais elle s'est différent et je ne sais pas pourquoi. Je ne sais plus où j'en suis. Je devrais peut être lui parler seul à seul. Elle va me comprendre j'espère. Une heure plus tard on avait tout planifié et McGonagall avait approuvé donc on avait plus qu'à faire les décors samedi matin. On sortit les quatres ensemble du bureau de la directrice pour se diriger vers la grande salle pour dîner. Il était 1 heure et demie et on avait tous très faim. Les élèves étaient en classe alors on avait la paix. Je me suis habitué parce que depuis le début de la semaine c'est comme ça.

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On a mangé et maintenant Penelope va à Pré au lard avec Zacharias pour chercher des décorations et leurs costumes de bal. Moi et Granger on doit en premier se parler avant d'y aller. Alors je leur dis qu'on va venir plus tard et je l'emmène dans un coin du chateau où il y a pratiquement jamais personne. Je l'a fixe un moment et finis par lui dire;

-Merci...

-Attend! Est-ce que j'ai bien entendu? Monsieur Malefoy me fait des excuses et en personne en plus?

-Oui. Et je ne répètera pas. Tu as respecté mes choix et j'en suis reconnaissant. C'est une première fois pour moi alors ne te moques pas.

-Il y a une première fois à tout.

On se fixa sans rien dire pendant plus d'une minute. Ce n'était pas ennuyant au contraire on se sentait bien. Mes yeux s'écarquillère lorsqu'elle me prit dans ses bras et commença à pleurer sur mon épaule. Qu'est-ce qu'elle a?

-Granger ça va?

-Non. Rien ne va. Je suis en train de perdre mes amis, j'ai perdu mes parents et les souvenirs des morts à la guerre me revienne.

-Tu n'as rien perdu. Tu es forte et je le sais. Je t'ai vu. Et je suis là s'il y a quelque chose.

-J'ai besoin d'aide. Aide moi s'il te plaît...

-Moi?

-Oui tu es sûrement l'une des seuls personnes qui peut me comprendre dans ce monde.

Sur ce j'avais le coeur comme brisé par ce qu'elle venait de me dire. Je voulais être là pour elle, mais j'ai peur en même temps de la décevoir où de décevoir ma famille. Je la serra encore plus fort dans mes bras. On se délacha et avec ma main je lui essuya ses joues tout mouillées. Elle me fit un sourire avant de faire un geste que jamais je n'aurrais crue qu'elle pouvait me faire. J'en étais bouleversé. Pourquoi moi? Pourquoi maintenant? À cause de quoi? C'est question se défilèrent dans ma tête, mais je les chassa, car en ce moment tout ce qui comptait à mes yeux était elle.

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