Chapitre 9

56 10 4
                                    

J'ai tellement mal à la tête. On dirais qu'un camion ma rouler dessous. Tout est noir, je ne vois rien. Soudain j'entend des bourdonnement. Ces bourdonnement se transforme en voix. Je reconnais celle de mon père et de ma grand-mère mais je ne comprend pas se qu'elles disent. Quelques seconde s'écoule.
-Molly? Molly? Tu m'entend? Si oui cligne des yeux,
Au prix d'un immense effort je réussi à cligner des yeux. Des soupir de soulagement se font entendre. Après quelques autres secondes, j'ouvre les yeux. La lumière m'aveugle et m'oblige à les refermer.
-Molly? Ma chérie qu'est ce qui s'est passé?
Je reconnais le voix de ma mère.
Je rouvre les yeux et découvre les visages de toute ma famille penché au dessus de moi. Une voix que je ne connais pas retenti.
-Écarter vous. Laissez la respirer. Son visage apparaît au dessus de ma tête. Molly? Je suis le médecin. Tu tes évanouie.
J'ai bien envie de lui répondre que je suis déjà au courant mais je me ravise à la dernière minute. A la place je hoche la tête.
-Bien. Je vais t'examiner d'accord?
-Oui.
Après m'avoir fais plusieurs tests il m'annonce que je vais bien. Il prend une dernière fois ma tension puis s'en va. Mon père s'approche de moi et je peux toujours voir la colère sur son visage. Il ouvre la bouche mais est interrompu par ma mère.
-Tu en a déjà assez fait. Sort du salon s'il te plait je m'occupe de Molly avec ta mère. Va rassurer ton père.
-C'est ma fille! De quelle droits...
-Dehors s'il te plait.
-Je...
-Je ne le répèterais pas.
Mon père tourne les talons et claque la porte en sortant. Ma mère me sourit et me caresse doucement les cheveux.
-Sa va? Comment te sens tu?
-J'ai l'impression que l'on ma écraser la tête mais sinon sa va.
-A tu besoins de quelque chose? De l'eau, à manger?
-Un peu d'eau s'il te plaît.
-J'y vais. Se propose ma grand-mère.
Ma mère la remercie puis se retourne vers moi. Elle me regarde mais ne dit rien. A la place elle me souri. Je le lui rend. Elle me sert plus fort la main et ses yeux se mettent a briller de larmes. Elle renifle.
-Je... je suis désolée ma chérie. Ton père...
-Ce n'est rien maman. Ne t'inquiète pas. J'ai juste besoins de me reposer.
Mon père ouvre la porte du salon. Il s'approche de moi mais je me tourne de façons a ne plus le voir. Il tend la main vers mon épaule. Je me crispe et ma mère l'empêche de me toucher.
Devants son visage qui laisse apparaître de la lassitude ma mère lui dit:
-Laisse lui du temps.
-Du temps? Pourquoi? Dit-il en haussant la voix.
-Par ce que depuis que l'on est arrivé tu a passé ton temps à lui crier dessus. Tu a tellement crier qu'elle s'est évanouie. Alors laisse la tranquille.
Ma mère parle calmement comme depuis que je suis réveillée. A vrai dire je ne l'ai jamais entendue hausser le ton. Mon père soupir et marmonne quelque chose dans sa barde. Il s'éloigne mais au lieu de partir, il s'assoit sur une chaise à l'autre bout de la pièce. J'essaye de me lever mais la tête se met à tourne. Je laisse échapper un grognement et ma mère se précipite à côté de moi.
-Reste allongée.
-Mais...
-Tu ne tiens même pas assise. Il faut que tu te repose.
A l autre bout de la pièce mon père soupir. Ma mère les yeux aux ciel et s'apprête à dire quelque chose. C'est à se moment que ma grand-mère arrive. Elle tiens dans ses mains un vers d'eau et un paquet de biscuit. Elle me les tend mais je mon estomac refuse d'avaler quoi que ce soit. A la place je boit le vers et demande à aller dans ma chambre. Je tente de me lever mais à peine debout je perd l'équilibre. Des points danse devant mes yeux et ma tête m'elance. Une main me rattrape in extremis. Je me retourne rend son sourire à mon grand-père qui me tiens a bout de bras. Il me soulève et me monte dans la chambre.
-Sa va je ne suis pas trop lourde? Lui demandais-je.
-Tu es légère comme une plume. Il va falloir que je t'engresse. Je vais te faire une bonne quiche avec pleinn de lardons et de fromage.
-Miam! Tu me donne faim.
-Tu va te reposer et se soir tu va manger un vrais festin.
-J'ai hâte d'y être! Je baille avant d'ajouter. Mais je crois que d'abord il faut que je dorme.
-Parfaitement.
Arriver dans ma chambre il me dépose sur mon lit, remonte le drap et s'en va après m avoir déposé un baisé sur le front. Je n'ais même pas le temps de le voir sortir de la chambre que je me suis endormie.

Cette été là.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant