Chapitre 17

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Patrick cour vers nous sans s'arrêter de crier. Arrivé à notre hauteur il essaye de nous dire quelque chose mais comme il est trop essoufflé on ne comprend rien.
  -Calme toi. Respire et après dit nous se qui se passe. Lui dit mamie.
  -Je... Guillaume... il... Commence Patrick.
  -Respire calmement. Répète mamie. Guillaume inspire et expire le plus calmement possible mais les tremblements de son corps de s'arrête pas.
   -On se baladait dans la forêt. Le chemin que l'on prend tout le temps, que l'on connait par coeur. J'ai tourné la tête à peine deux secondes mais il avait disparu. Je lai appeler plusieurs fois mais il ne répondait pas. Après j'ai entendu un bruit je me suis approcher et j'ai remarque un trou et dedans il y a Guillaume.
    -Quoi? Il est ou le trou ? Demande Julien.
    -Et Guillaume ? Il ... S'inquiète Katrine.
    -Il était à peine conscient quand je l'ai laissé. Je... je savais pas quoi faire... Je... Patrick font en larmes.

Mamie le prend dans ses bras pour le réconforter. Julien, Katrine, papi et mon père se rende sur le chemin. Maman appelle les secours pour qu'ils envoient des secours. Ces dernier arrivent à peine cinq minutes plus tard à bord d'un hélicoptère. Papi arrive à se moment pour les guider jusqu'à Guillaume. Ils reviennent tous un quart d'heure plus, Guillaume sur un brancard et la tête en sang. Sa mère cour vers lui et Julien la prend par les épaules. Papi et papa ne suivent pas les secours mais viennent vers nous.
    -Les secouristes ne veulent pas se prononcer. Mais il a un plaie assez grave à la tête. Nous informe papa.
    -Il va être pris en charge dans l'hôpital le plus proche. Rajoute papi. On a plus qu'à attendre. En attendant rentrons.

Pendant que les adultes rangent le pique-nique, nous allons remette les planches dans la cabane. Lucie traine la sienne dans le sable et Sara et moi tenons celle de Guillaume. Une fois toutes les planches à leur place je referme la cabane avec les clés que ma passé papi. Ce dernier nous fais monter en premier sur la bateau. La traversé se fait en silence. Cette fois nous ne nous intéressons pas aux poissons ni aux dauphins qui saute joyeusement dans la mer. Nous nous somme tout sauf joyeux. Quelques larmes coulent sur les joue de Lucie et Sara la prend dans ses bras. Elles pleurs toutes les deux silencieusement pendant le trajet. Je veux m'approcher pour essayer de les consoler mais je sais que dans ce genre de moment on a envie d'être seul. Je parle d'expérience. Alors je reste en retrait avec Patrick. Une fois arrivés, papi nous fait rentrer dans la maison et nous dit de ne pas sortir. Je hoche la tête et amène mes cousines et mon cousin à l'intérieur. Nous restons tous dans le salon, toujours sans rien dire. Une demie heure plus tard les adultes sont la. Mamie prend Sara et Lucie par les épaules et les emmènent à la voiture pour les conduire à l'hôpital. Je monte dans ma chambre mais en passant devant la cuisine j'entend ma tante parler.
   -D'abord Alice, et maintenant Guillaume.
   -Qu'est ce que tu entend par la ? Demande ma mère.
   -Que deux de nos enfants ont été blessé. Qui s'est si Guillaume ne va pas mourir lui aussi !
   -Tu insinue quoi ? La mort de ma fille n'a rien d'accidentel! Et tu le sais très bien! Ma mère se met à pleurer.
    -Alors selon toi comment ce trou est arriver là ? Le ton monte dans la pièce.
    -Je... je ne sais pas, soupir ma mère, mais tu ne va pas me dire que quelqu'un a creusé exprès ce trou pour que Guillaume tombe dedans.
    -Pas forcément Guillaume. Mais je ne crois pas à l'hypothèse de l'accident !
    -Tu pense vraiment qu'une personne en a après notre famille! C'est absurde!
    -Je ne pense pas. Intervient mon papi. Il avait des traces de pas et le trou était bien trop rond pour être naturel.
    -Quoi? Je plaque ma main sur ma bouche en me rendant compte que c'est moi qui viens de parler. Vous penser sérieusement ce que vous dites ?
    -Molly ? Qu'es ce que tu fait la? Tu écoute aux portes maintenant ? Me demande papa.
    -Non. Je passais devant la porte quand j'ai entendu le nom de Alice. Alors j'ai écouter. Vous m'avez toujours dit que la mort d'Alice était un accident. Vous m'avez menti
     -Ne change pas de sujet. Répond papa.
    -Non toi ne change pas de sujet! Je veux savoir! J'ai le droit de savoir!
    -Tu veux savoir ?! Tu veux vraiment savoir ?! Je hoche la tête. Tremblante. Ce jour la elle se rendait à supermarché pour faire les courses quand elle s'est fait renverser. Le chauffeur s'est arrêter la regarder. Il a sourit et est partit. Il la tuer! Maintenant il hurle. Il hurle et pleur en même temps. Mais ce jour la... ce jour la elle ne devait pas faire les courses! Elle n'aurais pas du mourir! C'est toi qui devait y aller ! Mais tu n'en a fait qua ta tête. Tu ne voulais pas y aller par ce que tu devais "réviser". Ce n'est pas elle qui aurai du faire les courses !
    -Ça suffit! Lui crie maman. Ca suffit.
   -C est moi. C'est moi qui aurai due mourir c'est ca ? C'est vraiment ce que tu pense ? Que ta précieuse petite fille aurai du vivre à ma place ? Je m'emporte.
    -Chérie non. Me dit maman.
    -Exactement ! Répond papa d'une voix pleine de douleur mais aussi de colère.

Je sens les larmes me monter aux yeux et mon souffle se couper. Je cours s'en savoir ou je vais mais sens jamais me retourner.
   

Cette été là.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant