Notre Rencontre

Chapitre 18

PDV Mathieu :

Quelques jours étaient passés depuis que nous ayons vu Carla et Anthony s'embrasser. Alice ne parlait plus à Carla et je ne parlais plus à Antony, cependant, les voir tout les deux nous avais beaucoup rapprochés, nous nous disions tous.
Alice est comme le vent difficile à apprivoiser, toujours libre mais au bout d'un moment on sait l'apprécier. Elle me fascinait tellement, à chaque fois qu'elle parlait j'avais l'impression de redécouvrir le monde, dès que je parlait d'elle, j'avais un mal de ventre, dès que je la regardais dans la yeux, j'avais des frissons dans tout le corps, toutes ses choses ne se passaient que lorsque j'étais avec en sa compagnie.

-Mathieu ! Attends moi ! criait-elle derriere moi.

Je me retournai et la vu componée d'une jeune enfant, la meme que la dernière fois

-Ah ! Merci de m'avoir attendue ! me remercia Alice.

-Avec plaisir, my love.

-Arrête avec ça !

-T'es qui ? demandait la fillette.

-C'est un ami. répondait Alice à ma place.

-Son seul et unique ami. rajoutais-je. Et toi, t'es sa soeur non ?

-Oui, unique petit-soeur !

-Heureusement ! se plaina Alice. J'accompagne cette petite morveuse à l'école !

-D'accord. répondais-je avec un sourire.

Nous arrivions à l'école, la sœur d'Alice lui faisait un bisou sur la joue et partie rejoindre ses amies. Nous, nous repartions en direction du lycée.

-Tu as eu des nouvelles d'Anthony ? demandais-je à Alice.

-Oui, il s'excuse, il dit que s'est Carla qui s'est jetée sur lui, patati patata...

-Ah.. Et de Carla ?

-Non, pas d'excuses, rien... disait-elle déçu. Heureusement que t'es là toi, my love.

Quand elle prononçait ses deux mots, je sentais les frissons dans mon corps, je sentais aussi mon cœur battre vite, très vite, si vite que je pensais que ma poitrine allait explosée.

-My love. lui disait-je en la regardant dans les yeux.

-Arrête Mathieu... elle rougissait.

-Mais quoi ?

-Rien...

-Tu préfères que se soit toi que j'appelle comme ça ou une autre fille ?

-Moi.

-Alors je n'arrêterai pas.

Nous étions à quelques pas de l'établissement quand Alice se pointa devant moi et me fit un câlin, ses mains passaient de mon torse à mon cou, je passa mes bras autour de sa taille, elle posa sa tête au creux de mon épaule, je fis de même, elle me serra fort.

-Alice ! Alice ! cria une voix derrière nous.