Un Amour De Planches ( Tome 5)

Ce n'étais pas un acte de courage, mais d'amour.

Jenna

Je suis enfermé dans une pièce,il n'y aucune présence de lumière, c'est  terriblement sombre. J'ai peur.

Je me souviens seulement qu'un groupe d'homme à réussi à pénétré chez moi, et vu qu'ils étaient assez nombreux et que j'étais seule , je n'étais rien face à eux. Je me souviens aussi que l'un des hommes m'a collé un mouchoir contre mon nez, ensuite mon champ de vision était flou.

Me voilà maintenant enfermé dans une pièce. Les mains attaché à un fil, j'ai vraiment mal aux mains.C'est vraiment l'enfer.

Je sors de mes pensées lorsque j'entends des pas. Les pas ce font de plus en plus entendre. Tout d'un coup, je vois la porte s'ouvrir brutalement. Il y a un fort éclairage à l'extérieur que j'ai du mal à ouvrir mes yeux.

—Jenna ! -Dit cette personne en s'approchant de moi.

Je clignote plusieurs fois des yeux.

—Christian ! -Dis-je soulagé de le revoir.

Je ne rêve pas, c'est lui en cher et en os !

—Il faut qu'on se dépêche. Je vais te détacher les mains. -Me dit-il avant de se placer derrière moi pour ensuite me détacher les mains .

Une fois qu'il termine de me détacher les mains, je sens un énorme soulagement.

Il me prends dans ses bras, et il me pose des multiples questions du genre: Ils ne t'ont pas fait du mal ?
À sa place j'aurais réagi pareille. Lorsqu'on est inquiet on n'a besoin de réponse pour soulager notre inquiétude.

Je lui réponds que tout vas bien et qu'il n'a plus besoin de s'inquiéter.

—Il faut qu'on parte , on n'a pas de seconde à perdre, sinon ils finiront par nous griller. -Me dit-il.

Je lui fais un oui de la tête, en secouant positivement ma tête. Il me prends la main et ensuite on se met à courir.

Tout s'est bien passé, on a réussi à quitter ce lieu. 

Il y a une voiture qui nous attends devant la sortie . Je regarde une dernière fois ce bâtiment, ensuite je monte dans la voiture avec Christian.

Amalia.

Je suis dans une chambre avec Brooklyn. Il est allongé sur le lit et il n'a toujours pas donné un signe de vie .

Cela fait une demi-heure que je le fixe, c'est tellement dur de lui résister.

Ah ! Ça y est, il bouge ! Petit à petit il ouvre les yeux.

Une fois ses beaux yeux ouverts, il me fixe, il me regarde comme s'il ne se souvenais pas de moi.

Non, non ! Il ne peux pas m'oublier, sinon a quoi ça servirais après tout ce que j'ai fais ? À rien.

—Amalia. -Dit-il.

Il se redresse, mais il a du mal. Il se caresse ensuite la tête une fois qu'il est redressé, puis il remarque un bandage autour de sa tête. Il me questionne du regard.

—C'est de la faute de ces imbéciles, je leur ait dit de le faire d'une manière délicate et eux ils l'ont fait d'une manière brutale.-Lui dis-je.

—Pourquoi tu nous veux du mal ? -Me demande t-il.

—Je ne te veux pas du mal. Je veux seulement pourrir la vie de Jenna. C'est à elle que je veux du mal. - Lui dis-je.

Ça me fait du mal lorsque je le vois gémir de douleur. Mais je veux atteindre mon objectif, et j'ai besoin de lui pour atteindre cet objectif.

—Et pourquoi tu veux la voir souffrir ? Elle ne t'a jamais rien fait de mal. Puis, je m'en moque de tes envies. Si tu veux lui faire du mal, il faudrait que tu passe par moi et crois moi, je ne te laisserais pas la toucher. - Me dit-il.

Il a le don de m'énerver lorsqu'il prend sa défense.

—Il faut que tu te repose. - Lui dis-je calmement.

—C'est donc toi qui est derrière tout cela, je m'en doutais un peu, mais jamais, je n'aurais cru que tu irais aussi loin. Tu me dégoûte! - Me dit-il.

Ses paroles sont vraiment blessantes. Il ne faut pas qu'il connaisse mon point faible, hors de question!

—Écoute moi Brooklyn, si tu ne veux pas que je touche à Jenna, il va falloir que tu m'écoute attentivement et que tu me obéisse. -Lui dis-je.

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