Amalia
J'ai donné rendez-vous à Brooklyn chez moi. J'ai hâte de le voir.
Je fais le tour des réseaux sociaux pour passer le temps.
La sonnerie de chez moi retentit.
Je me précipite à aller ouvrir. J'ouvre la porte et je vois le beau visage de Brooklyn. Je lui fais un bisou sur la joue et je l'invite à entrer. Dès qu'il est prêt de moi mon coeur se met à battre plus fort et j'adore ça.
-Alors, pourquoi tu voulais me voir ?- Me dit-il.
-Parce que tu manquais. - Lui dis-je.
-Je vois. - Dit-il un peu ennuyé.
-Je te manquait pas ?- Lui demandai-je.
-Euh... Si... Tu m'avais manqué. - Dit-il.
-Tu m'excuse mais mon père a besoin de mon aide pour un truc, il faut que je parte. - Dit-il d'un air pressé.
-Je peux venir avec toi ? - Lui demandai-je.
-Non, ça ira. C'est un truc d'hommes. - Me dit-il.
Il vient me faire un câlin d'une durée d'une seconde, ensuite il se précipite à aller vers la porte. Je le retint par le bras.
-Tu te fous de moi ? Arrête de me mentir. Je sais que tu es pressé d'aller voire Jenna, ta muse, ta belle aimée, ta dulcinée, tu me déçois. Eh oui, Brooklyn, on est venu tout me raconter, tu devrais te méfier de tes amis. - Lui dis-je. Il est complètement sous le choc.
-Dit moi que tu n'as rien fait. - S'énerve t-il.
-Tu crois que j'allais rester de bras croisé. Évidemment que j'ai fait quelque chose ; ta belle est sous les mains d'un de tes amis. Tu étais tellement aveuglé par elle que tu n'a pas remarqué qu'un de tes amis l'aimais aussi. - Lui dis-je en souriant.
Son visage se décompose, il avait la haine contre moi. Il se retenait de me faire quelque chose.
-Tu as de la chance que je respecte beaucoup les femmes, sinon j'aurais mis toute ma haine sur toi pour que tu puisse me dire ou est-ce qu'elle se trouve. - Me dit-il en colère.
-C'est l'une des choses qui me plaît chez toi, ton respect envers les femmes, car au moins je sûr que tu ne me feras jamais de mal. Je te le dirai à une condition. - Lui dis-je très fière de moi.
-Tout ce que tu veux. - Me dit-il.
-Si tu couches avec moi, je te le dirais.- Lui dis-je.
-Je préfère mourir que d'avoir des relations avec toi. - Me dit-il.
-Tant pis pour toi Brooklyn. - Lui dis-je en plus élevant mon peignoir de nuit qui laisse place à mon sous-vêtement.
-Alors tu n'as toujours pas changé d'avis. Je croyais que tu étais prêt à tout pour ta belle. - Dis-je en me approchant de lui.
Une fois prêt de lui je tente de le chauffer, mais il ne réagit pas. Ça lui procure aucun effet.
-Tu m'a toujours dégoûté, tu me dégoûtes toujours et tu me dégoûteras pour toujours, je t'en fais la promesse . - Me dit-il avant de s'en aller.
Une fois qu'il est parti, je me suis effondré sur le sol et j'ai éclaté en sanglots.
Jenna tu mérites de mourir.
Jenna
Christian ma libéré les mains. Il m'a aussi dit qu'il était allé chez moi pour prendre mes vêtements. Il se fout le doigt dans l'oeil.
Actuellement nous sommes tous les deux dans le salon
Je-J'ai deux propositions. - Me dit-il.
-Je t'écoute. Lui dis-je.
-Sois tu te fais semblant de m'aimer, que tu dises à tes proches qu'on est ensemble, et que personne se doute de rien, comme ça je pourrais te laisser sortir et aller ou tu souhaites ou soit tu refuses et la tu ne serais pas libre, tu ne sortira pas d'ici et pour les cours tu devras les suivre en ligne. - Me dit-il.
-Je choisis la deuxième option. Je préfère même mourir que de faire semblant d'être avec toi. Tu me dégoûtes. - Lui dis-je complètement sûre de mon choix.
-Tu as vraiment, mais vraiment de la chance que je t'aime, sinon j'aurais réagi autrement. - Me dit-il.
-Que c'est dommage. - Me dit-elle hypocritement. Maintenant je peux aller dans " ma chambre " ? - Lui demandai-je complètement ennuyé.
-Attends... - Me dit-il.
Ah non, hors de question. Je me précipite à aller dans la chambre et je ferme la porte à clé. Je ne peux plus voir sa tête.
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Un Amour De Planches ( Tome 5)
FanficOn pense parfois, que la meilleure solution est de partir pour ne pas empirer la situation. Mais une fois que le destin décide de vous conduire dans le même chemin que celle de votre moitié, il est parfois trop tard pour faire marche arrière.