23. Il est parfois difficile d'oublier

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« Même si tout va horriblement mal, les gens devraient être heureux d'être simplement en vie. » Yato - Noragami
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{Eban}

Par tout les Dieux, Aelly à complètement perdu l'esprit. Ce n'est pas étonnant, je m'étais dis qu'elle avait drôlement bien encaissé le tout depuis le début, mais maintenant là voilà, à crier sur Seigneur Konen comme si il n'était qu'un simple mortel.

- Aelly, calmes-toi, ce n'est pas nécessaire de hurler.
- Et vous, Carl ?! Quoique je ne peux plus vous appelez ainsi ! Je dois me mettre à genoux moi aussi ?! Et prier pour que vous m'épargnez ?!
- Tout cela avait été fait en sorte que vous n'en sachiez rien. C'était prévu.
- Un autre truc que j'entends trop souvent depuis un moment ! « Ooh, les Dieux l'avaient prévu, ne t'en fais pas ! » Et bien pourquoi ne pas avoir réglé toute cette connerie avant qu'elle se produise ?! Hein ?!

Aelly prend se prend la tête entre les deux mains, son visage est crispé, elle n'en peut plus, c'est évident. Ses yeux deviennent humide et elle court en dehors de cette étrange boutique. Élizabeth veut la rattraper, mais le seigneur des vent l'en empêche.

- Laissez-la, elle est en état de choc.
- Mais monseigneur ! Nous avons besoin d'elle !
- Je connais Aelly depuis sa naissance, lorsqu'elle est en colère, il vaut mieux la laisser seule, je sais où elle est probablement allé.

Je regarde l'arrière boutique où nous sommes, les symboles Iḷaṅ y brillent un peu partout et des objets, probablement pour la boutique, sont posés sur les étagères qui ornent la pièce.

- Alors, je commence. Vous avez le pinceau, seigneur ?
- Oui, je l'ai. Maelys me l'avait confié. Elle savait que ce jour viendrait.
- Mais pourquoi ? Demande Élizabeth. Aelly avait raison sur ce coup-là, pourquoi les Dieux n'ont rien fait ?
- Parce que nous ne sommes pas assez puissant, Allegria possède tout nos pouvoirs, n'oubliez qu'elle a été jadis notre reine.
- Et comment nous sommes supposés y arriver, nous ? Je demande, agacé par ces Dieux.
- Vous avez été choisi en cause, ne vous en faites pas. Mais nous ne sommes pas là pour discuter de ça, mais du pinceau.

Il va vers un bureau, en ouvre le tiroir, pour ensuite en sortir le fameux instruments. Le pinceau est magnifique et exactement comme on nous l'avait décrit, c'est fabuleux.

- Comment s'en servons-nous ? Demande la Ceḷi à mes côtés.
- Eh bien, c'est un pinceau difficile à manipuler, il faut avoir un talent en art, c'est pour cela qu'il appartient à Maelys.

Il me le donne et je le met dans une des poches de cet étrange pantalon que m'a donné Aelly, d'ailleurs il faut la récupérer avant de partir.

- Alors, Seigneur, vous disiez savoir où est Aelly ?
- Oh oui !

Il ferma le poing ainsi que ses yeux et murmurant quelque paroles incompréhensibles à nos oreilles. Lorsqu'il ouvrit sa main une petite īcca était posé sur sa paume.

- Ooh ! Criant Élizabeth. Une īcca !
- Elle vous guidera jusqu'à Aelly.
- Mon nom est Nova. Dit la petite īcca. Allons-y.

Elle s'envola alors vers la boutique alors que nous saluons le seigneur. Il nous souhaite bonne chance et nous courons pour suivre l'īcca.

- J'aimerais bien vois une ṣīṟṟ un jour. Je me demande comment elles sont.

Ces petites fées sont les yeux et les oreilles des Dieux, tout ce qui ce passe, elles le savent. Mais elles ne sont pas toutes pareille. Seigneur Pryam est accompagné de ses āga, Dame Maelys de ses teḷina, Dame Kannelle possède des ṣīṟṟ, comme disait Élizabeth et Konen lui, ses īcca. On dit que les quatre races de fée ont toutes les quatre leurs propre tempérament. Le plus connu est que les āga sont vicieuses.

- J'espère que Aelly ne s'est pas jeter en bas d'un arbre. Je grommèle.
- Détends-toi, Nova nous guide.
- Aelly va bien. Dit Nova.

Arrivé devant un grand bâtiment, Nova nous indique l'endroit.

- Elle est là.

Je pousse la porte et y entre avec Élizabeth. La petite īcca vole rapidement dans son épaisse chevelure pour s'y cacher. Nous cherchons tout les deux Aelly du regard. Ici, il y a plein d'instruments étrange qui servent à je ne sais trop quoi, ça ressemble à des objets de torture. Je soupire et appelle son nom. Rien ne me répond sauf des bruits sourds. Des coups, quelqu'un est en train de se battre ici, pourtant il y a une grande fenêtre ici, tout le monde pourra les voir !

- Ce sont des contaminés ? Me demande Élizabeth.
- Je ne sais pas.

Nous avançons alors et j'aperçois Aelly. Elle porte des pantalons extrêmement court, je peux voir toute ses cuisses ainsi qu'un haut qui ne cache uniquement sa poitrine. La jeune fille frappe avec d'étranges gants un grand sac rouge. Elle a l'air en furie.

- Par tout les Dieux, qu'est-ce qu'elle fait ?

Élizabeth porte ses mains devant mes yeux.

- On se rince l'œil, sale pervers ?
- Tu me prend pour Faël ?

Je repousse sa main alors que je vois l'homme que Élizabeth à transformé en cactus. Il s'approche de Aelly et lui tapote l'épaule. Je peux entendre leurs voix de l'endroit où nous sommes.

- Un combat ? Lui demande-t-il.
- Avec joie.
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Coucooou ! c:

Je suis contente d'voir ENFIN posté ! Mais bon j'ai une excuse ... C'est mon anniversaire ! J'ai 17 ans et je le réalise comme pas ... Vous en avez rien à foutre et c'est correct xD

Bye mes chocos ! xx

Xeryaha, L'héritage des Éléments [Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant