I Need You.

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.27 Juillet 2016. 


Eh, excuse moi de te déranger, mais je ne peux plus me contenir ; j'ai de plus en plus mal quand je te vois partir.
Je ne peux plus t'observer dans ce silence si épuisant ; quelques années que nous nous connaissons, et déjà, l'année de nos dix sept ans.
Je n'ai jamais su te dire ce qui nous liait, et aujourd'hui non plus, je ne saurais pas te dire pourquoi je t'aime si fort ; pourtant, je peux t'assurer que chaque soirée passée à tes côtés, me donne envie de parler avec toi, de te voir me réchauffer lorsqu'il fait froid dehors.
Chaque parole échangée représente pour moi une chance infime de rester à tes côtés, de finir une conversation par une étreinte ; mais, tu sais, depuis plusieurs années, je ne trouve pas la sortie de ce labyrinthe.
J'ai cru une fois, avoir trouvé la sortie, après avoir passé plusieurs semaines sans penser à toi ; mais tout m'a rattrapé très vite, je crois que tu pensais à moi, plus que je ne pensais à toi.
Tout est si confus dans mon esprit ; jamais je ne me suis retrouvée aussi perdue dans ma courte vie.
Aujourd'hui, j'en suis arrivée à une conclusion, peut-être un peu hâtive ; j'en conclus que l'attirance est bien présente, mais, j'en conclus surtout que notre histoire ne peut pas être abréviative.
Je pense que je t'adore, même dans mon sommeil, quand je rêve d'or.  

Absence Tempérée - BribesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant