Le 15 Juillet 1720, une naissance allait mettre fin l'harmonie parfaite qui régnait entre les trois peuples du royaume de Maggadeon. Loups-Garous, Vampires, et Mages, ne pourraient plus travailler, sortir, s'amuser, vivre, communiquer, rire ensemble. Le 15 Juillet 1720, Rosalie Biltawey était née. Cette enfant, considéré comme un véritable miracle par ses parents, fut désigné par le roi de l'époque, Auguste IV, comme un danger, un danger qu'il fallait éradiquer au plus vite. Née d'un père vampire, et d'une mère mage, le nourisson possédait des pouvoirs et des capacités dépassant les plus grandes puissances du monde de Maggadeon. Prit de peur, le roi ordonna à ses serviteurs d'éliminer l'enfant qu'il appela "Enfant de l'ange démoniaque." , puis, afin de s'assurer qu'une telle chose ne se reproduise jamais, il sépara chacune des races à l'aide d'un sortillège, que seule un enfant, né de l'amour entre un vampire et un mage pourrait en apporter le reméde. Maggadeon était plongé dans un chaos irrémédiable, la haine entre les peuples ayant prit une place plus importante que celle de l'amour. Le sortillège d'Auguste IV, provoquait chez ceux qui enfregnaient la régle, la perte de chaque spécificité. Ainsi, les mages perdaient leurs pouvoirs, les vampires perdaient leur invincibilité et les loups garous perdaient leur capacité de se métamorphoser. Tous devenaient donc de simples mortels, condamné à errer sur la Terre en compagnie de tout les humains.
Trois siècles plus tard, les relations entre espèces étaient devenues inexistantes, considérées comme malsaine, même dans l'école Auguste IV, où toutes les races étudiaient dans un même établissement, partageaient le même refectoire, les mêmes couloirs, les mêmes halls, les mêmes cours, mais sans jamais se mélanger entre eux.
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Maggadeon.
FantasyNous avons tous rêvé un jour, de découvrir que nous avions quelques choses d'un peu spécial, que les autres n'ont pas. Le Royaume de Maggadeon est peuplé d'êtres différents de nous. Mages, Vampires et Loups garous y cohabitent.. en harmonie? Hélas...