18.

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Victoria en média.

Le noir total, je ne sais pas où suis je, qu'est ce qu'il m'arrive.. Une odeur de poisson envahi mes narines, je suis allongée sur le sol, froid, dur, recouvert d'un fond d'eau. Des mains se collèrent à ma peau ce qui me surpris je ne savais pas quoi faire, je me débat comme je peux mais j'ai l'impression que toute mes forces ont disparues face à cette personne qui est la. Je ne comprend pas très bien ce qu'il m'arrive.

"Qui êtes vous ? Qu'est ce que vous voulez ?" Dis je en sanglot.

La personne ne me répondit pas.

Je me mis à tâter le sol pour trouver quelque chose, je ne sais pas quoi.
La personne se mit à côté de mon oreille qui diffusa au plus près son parfum. Je ne sais d'où, ce parfum me paraît familier.
Il me caressa les cheveux, j'essayais de me débattre mais sans réponse.

"Lâchez moi !! "

J'ai beau crier de toute mes forces rien ne change. Personne ne m'entend.

"Mais qu'est ce que vous voulez ?? Je vous en supplie laissez moi tranquille!"

Ca paraît ridicule mais je ne suis prête à tout pour partir. La personne qui me retient ne me répond pas. Je ne sais pas où il est je ne vois rien. Je suis à plat ventre sur le sol mes habits ont disparues, il fait froid.
Le souffle de la personne s'éloigne de moi... le bruit de pas s'en allèrent en même temps. Et un gros BOOM me fit sursauter. C'est la porte qui selon le bruit à l'air en métal ou très très lourde. Je ne pourrais jamais sortir d'ici.... Malgré que je sais que personne ne m'entend je ne peux pas m'empêcher de crier à l'aide.
Tout à coup une lumière s'allume juste au dessus de ma tête. Ce qui m'éblouie d'abord et me donna mal à la tête.

Autour de moi il y avais que des murs sales et humides dans un coins il y avait une flaque d'eau. Une vitre était la, mais je pouvais pas voir à travers, un peu comme celle que l'on voit dans les commissariat. Je me mis en boule contre un mur car seul mes sous-vêtements étais rester sur moi.

                                                                                      ***

Ça doit faire au moins trois heures que je suis assise la, j'ai froid, faim, soif, et je suis tellement fatiguée mais j'ai trop peur pour dormir ou même fermer les yeux. La lumière se reteint et le bruit de la porte résonna dans cette petite pièce vide et froide. Je couru jusqu'à la porte et j'attrapa le bras de cette personne aussi fort que possible mais pas assez, il avait trop de force! En se dégageant de ma main j'ai du le griffer assez fort car j'avais encore de son sang sur les doigts.

Il me poussa, tombant sur ce sol humide, dans le noir je ne pouvais pas faire grand chose. La porte se referma et la lumière se ralluma. Un plateau a été déposé devant la porte. Il y avait seulement quelques feuilles de salades et un morceau de pain mais cela m'allais très bien, j'avais trop faim pour pouvoir faire ma difficile. J'essayais de faire durer ce peu de nourriture ne sachant pas combien de temps aller s'écouler entre maintenant et le prochain "repas".

Je ne savais toujours pas d'ailleurs ce qu'on voulait bien me vouloir, je n'ai pas d'amis mais je n'ai jamais eu d'ennemis, pourquoi me voulait - on toujours du mal?

Malgré mes efforts pour rester réveillée , la fatigue est plus fort, je m'assoupis sans m'en rendre compte. Dormir me ferai oublier pour quelques instant la faim et la peur.

Je me réveilla en sursaut. Mon subconscient me rappelai sans cesse dans quel endroit je me trouvais et ce qu'il pouvait bien m'arriver en me faisant m'imaginer les pires scénarios qu'il puisse arriver. On ne me trouvera probablement jamais ici. Personne ne se souciera ou ne remarquera mon absence. 
Je chantonnais des chansons dans ma tête en pleurant tout doucement, je ne voulais pas paraître faible mais c'était plus fort que moi.

Je me stoppa net quand j'entendis des pas s'approcher de la porte. Beaucoup trop de paire de chaussures pour qu'il y est qu'une seule personne. Mon cœur commença à faire de plus en plus de bond à chaque seconde.
La porte s'ouvrit et une lumière arriva sur mon visage. Je ne voyais pratiquement rien, j'use des silhouettes qui bougeaient tellement vite. Je distinct deux personnes avant qu'une troisième personne ferma cette grosse porte lourde. Je m'éloigna le plus rapidement possible mais le mur était que à quelque centimètre de moi et en un instant je me retrouva bloquer contre le mur et ces formes humaines qui se rapprocha de moi. 
Aucun mot ne sortie de ma bouche, seul les larmes coulèrent de mon corps.
Des gros bras me prît les poignets d'une violence indescriptible, mes mains étaient immobilisées. Je bougeaient mes jambes dans tout les sens c'était le seul truc que je pouvais faire mais d'autres mains énormes me pris les chevilles et me plaquât sur le sol.
Immobiliser, des mains traîna sur mon corps allant des endroits les plus basiques au plus intime.

- Lâchez moi je vous en supplie! Pitié! Je ferais tout ce que vous voulez.

Ces mots que je répétais des centaines de fois étaient comme sourd. Comme si ces personnes qui avaient leurs mains dans ma culotte ne les entendaient pas.

**
Ça doit faire une heure qu'ils sont partis.. Ils ont fait ce qu'ils avaient à faire chacun leurs tours comme si j'étais une poupée. Je n'ai plus aucune réaction. Je n'arrive plus à pleurer. Je n'arrive plus à respirer du tout. Je suis... perdue... comme morte de l'intérieur.

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Alors voilà! Je suis vraiment désolé ça doit faire un ou deux ans j'ai rien écrit. J'espère vous m'en voulez pas mdrr
Merciii énormément pour les 40K c'est super ! Je vais essayer de ne pas laisser deux ans avant d'écrire la suite! Bonne lecture!
Et vraiment désolé pour les fautes d'orthographe. Je vais tout reprendre du début pour corriger!

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 10, 2018 ⏰

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