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Tarik vient juste de finir de me montrer son appartement, une salle de bain, un salon, une petite cuisine, une chambre, enfin il y en n'aurais deux si l'autre pièce n'était pas remplis de machines de muscu! Nous revenons ensuite dans le salon. 

- ça t'ira me demande-t-il? 

- Oui, dis-je. 

- Bon, je doit rejoindre Nabil, tu veut venir avec moi ou pas? 

- Non, je préfère rester là, j'irai sans doute faire un tour ces après-midi, pour voir si je me souviens de quelque chose.

- Ok, fait comme tu veux, me dit-il en partant. 

Super, il me laisse seul dans son appart, je reste comme une conne debout au milieux de la pièce. Mon ventre se fait entendre, je me dirige vers la cuisine et ouvre le frigo. Qu'est ce que tu veut que je mange, sont frigo est complètement vide! J'ouvre ces autres tiroir mais c'est pareil, un paquet de pâte, je m'en fait donc. 

Hum c'est tellement meilleure que ce qu'on mange à l'hosto. Après avoir manger et fait la vaisselle, je décide de quitter l'appartement. Il ne fait pas très chaud cette après-midi, mais le soleil est au rendez-vous. Je me promène donc dans la cité, mais rien ne me vient, je passe devant quelques bâtiments ou se trouve des dizaines de teneur de mur, je passe aussi devant le terrain de foot. Je ne vois ni Tarik ni Nabil durant l'après-midi. En fin d'après-midi je retourne à l'appartement. Celui-ci est vide, je passe alors le reste de mon temps a regarder la télé. Vers les 19h45, toujours aucune nouvel de Tarik, je décide donc de faire a manger, bien sûr des pâtes, je fouille de nouveau dans les placards pour trouver a quoi les faire. Je prépare donc une sauce tomate enfin une sorte de sauce. Je retourne devant la télé et sa me saoul, les minutes passe, ainsi qu'une heure. La porte s'ouvre vers les 21h45. 

- Putin! ça sent bon ici! me dit Tarik.

Il arrive dans le salon. 

- C'est toi qui a fait a manger? me demande-t-il.

- Oui, je me suis dit, comme tu m'héberge, je te devais bien ça. 

- Ok, ça me va! 

Il quitte le salon pour ce rendre dans la cuisine, je le voie goûter la sauce. Je met alors l'eau des pâtes a cuire. 

- Je vais prendre ma douche.

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- Bordel, tu cuisine trop bien, me dit-il.

- Merci, demain je pourrait peut être aller faire des courses, tu n'a plus rien dans ton frigo.

- D'accord, si tu veux, je te donnerais de l'argent.

- D'accord, dis-je. 

il pars ensuite s'installer devant le canapé, je débarrasse seule, j'espère qu'il ne me prends pas pour sa bonne! Après avoir fait la vaisselle, je retourne m'installer dans son sofa, je reste a bonne distance de lui. Il ne fait que zapper. 

- Tu t'ai promener aujourd'hui? 

- Oui, dis-je.

- Et tu a quelques souvenirs? me demande-t-il.

- Non, toujours rien.   

- ça va venir, je ne m'inquiète pas pour ça. 

Tu m'étonne... 

Tarik arrête enfin de zapper, nous regardons un film, mais je ne comprend rien. Les heures passe, la nuit est bien tomber, et je commence a fermer les yeux. Mais je n'ose pas lui demander si il peut me prêter quelques chose pour dormir, déjà que je dors avec lui, je ne veut pas me retrouver en soutiens-gorge et tanga dans son lit. Tarik se tourne vers moi quand je suis en train de bailler, il me fait un mince sourire. 

- Allez vient je vais te donner des vêtements. 

Il quitte le salon et je le suis. Arrivé dans sa chambre, je reste adosser contre la porte. Il se tiens devant son armoire, je le contemple. Il porte un bas de survete gris et un t-shirt blanc qui le moule bien, je n'avais jamais trop remarquer enfin depuis la première fois que je l'ai vue la semaine dernière, qu'il était autant musclé. Des bras qui font le double des miens, un dos large, et des fesses qui on l'air ferme. Il se retourne a se moments là. Merde il m'a griller. Il arrive vers moi et me tant un short noir et un maillot du Bayern. 

- Merci, dis-je. 

Il me sourit de nouveau et quitte la chambre, je me déshabille et enfile les vêtements. Je tire sur les ficelles du short pour ne pas qui tombe, le maillot lui m'arrive quasiment au milieu des cuisse. Il revient a ce moments. Mais il ne sais pas frapper! 

- Demain on n'ira voir Zoyla, c'est elle qui ta donner les fringues, elle en a d'autre a te donner.

- Me les donner? Elle ne l'ai porte plus? lui demandais-je.

- Non, c'est son troisième gamins alors... enfin tu comprend? 

- Oui, dis-je.  

- Je te laisse dormir alors. 

- Oui, merci. 

Il quitte de nouveau la chambre, je prend le côté gauche, puisque la couette du côté droit du lit est retourner, son lit est grand, de couleur bleue et blanc. Je m'allonge et mes la couette sur moi. J'avais sommeil tout ta l'heure mais plus maintenant super, alors je tourne et retourne dans le lit, le réveille m'annonce qu'il est près de 2h00 du matin. J'entends la porte s'ouvrir, Tarik entre sans faire de bruit et se mes a son tour sous la couette. Je me trouve au bord du lit. Comme sur le canapé, il me faut une distance. Je souffle.

- Tu ne dors pas? me demande-t-il.

- Non, j'y arrive pas. 

- Ok. 

- Tu fait quoi dans la vie? lui demandais-je.

Quoi? c'est vrai, je ne connais rien de lui. 

- Je suis rappeur. 

- Rappeur, rappeur? 

- Oui, je fait de la musique, et Nabil aussi, nous avons notre propre groupe. 

- Ah bon et c'est quoi? 

- PNL. 

- Je doit sûrement connaître, avant l'accident, et vous êtes connu? 

- Oui, sa commence. 

- Et bah c'est bien, dis-je. Tu vis de ça?

- Oui, et toi qu'est ce que tu fait dans la vie? 

Un silence s'installe entre nous.

- Merde, je suis désoler.

- Non, pas grave, ça va me revenir. Mais là je n'ai aucune idée, j'aurais aimer travailler avec les enfants. 

- Ah ouais, t'aime les gamins? 

- Oui, dis-je. Je les trouvent trop mignon. 

Il émet un petit rire. 

- Ici, il y en a pas mal, ça devrait te plaire. 

- Oui, j'ai vue ça. Tu n'a pas de copine? lui demandais-je timidement.

- Non, sinon tu ne serais pas là, croie moi. 

- Oui. 

Je l'entends souffler. Je me tourne dos a lui. 

- Bonne nuit Tarik.

- Bonne nuit Leïla. 


Coucou vous allez bien? Alors ce chapitre comment le trouvez vous? Dîtes moi tout! 

Bisous

AmnésieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant