Avec le psy on a parler pendant plus d'une heure à propos de Léo, de mon frère et de mon "First Love ". Le psy m'avait fait comprendre pas mal de chose sur mon ex. Je m'étais rendu compte que c'était sa spécialité, se barrer sans laisser une quelconque explication et sans dire au revoir pour se faire oublier. Parce que ça restait la chose à plus simple à faire quand elles devenaient compliquées.
Et Léo, gentil, mystérieux, froid, attachant et drôle. C'est comme ça que je l'ai décrit quand le psy m'a demander comment je l'avais trouver.
Ce n'est pas lui dont j'avais peur, mais de l'inconnu.
Il m'a envoyer un message le soir :
« Bonsoir glaçon »
Il m'appelle comme ça parce que je suis froide d'après lui.
Je n'es pas répondus. Je suis contradictoires, parce que j'avais envie de lui parler et de rigoler avec lui. Mais j'ai tellement peur.
Je préfère renoncer à tout ça.
Le psy m'a dit que je rejetais le bonheur autour de moi.
Et puis j'ai pleurer, encore, très fort. Pleurer à en crée une rivière, à remplir les océans. J'ai rêver être une étoiles sans problèmes et ne jamais être triste ni attacher ou amoureuse. Être une étoile, voir la terre vu d'en haut et mourir dans un silence. S'éteindre comme une flamme.
Et quand le psy m'a demandé se que je voudrais dire si je revoyais mon père adoptif, j'ai dis " S.O.S "
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Vu sur le Monde
Novela Juvenil" Un jour elle va partir, elle va foutre le camps, elle va lachée prise. Mais t'aura rien vu, rien voulu voir. Rien entendu, rien voulu entendre. Tu la laisse courir, sauter dans ce putain de vide. Mais on est pas pire ou mieux qu'un autre, même les...
