J'en pouvais plus, je suis sortie de l'épicerie, je voyais rien à cause à cause de mes yeux tous mouillés.
Je voulais qu'une chose, aller chercher ma fille qu'on rentre auprès des miens, mais comme ci je n'avais pas assez provoqué de morts autour de moi, il a fallut que je provoque la mienne ...
Adam : ALIYA LA VOITURE !!
Boom...
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87Aliya : Tu m'avais promis d'être à mes côtés jusqu'à ce que la mort nous sépare, la mort nous a séparé, pourtant tu n'étais pas là ...
*DANS LA PEAU D'IBRAHIM*
Moi : *larmes* Mon... mon fils va bien ?
Médecin : Nous avons pus intervenir rapidement donc oui il va bien, mais comme je vous ai dis, votre femme est morte quelques heures après son accident de voiture, la violence a dû être inouï pour qu'elle soit dans cette état ... heureusement elle était enceinte de 8 mois et demi, c'était un déni de grossesse, sachez que si votre femme n'étais pas morte, c'est votre fils qui serait mort car il n'aurait pas survécu à l'accouchement, or que la nous avions du faire une césarienne etc...
Moi : Je pourrai le voir ?
Médecin : Oui, quand il se sera reposé. Vous pouvez aller en discuter avec les sages-femmes.
Je vois les membre de la famille à côté qui sont tous en larmes, j'peux pas m'empêcher de m'en vouloir, tout est de ma faute, tout !
On aurait jamais dû se rencontre, jamais.
C'est moi qui est responsable, pourquoi je suis parti ? Par amour ? Ou par lâcheté ?
Elle était tout pour moi, tout, et il a fallut que je gâche tout ... pardonne moi, princesse ...
Je repense à sa voix, son visage, sa peau, son rire, ses lèvres, tout me manque chez elle... reviens moi Aliya j't'en supplie ...
*DANS LA PEAU D'AZNEB*
Moi : C'EST D'TA FAUTE ÇA ! FALLAIT QU'TU RENTRES DANS SA VIE, QUE TU LA BATTES, QUE TU PARTES ET QU'ELLE MEURT MAINTENANT, C'EST TOI QUI DEVAIS MOURIR A SA PLACE ! *je fond en larmes*
Je n'arrivais même plus e maintenir mon corps, heureusement que mon mari était à côté pour m'aider, je ne vous parle même pas de l'état de mes parents, de mes frères, de son frère Rayan, de sa mère, de sa meilleure amie, c'était mon journal intime, ma petite soeur ... elle n'avait pas le droit de partir, pas maintenant, pas comme ça ...
16 ans plus tard.
*DANS LA PEAU DE YANIS*
[ . . . ]
20 hBâsma : Il est où papa ?
Moi : Q'est-ce j'm'en fou il est où lui
Bâsma : Tu forces, et parles moi mieux j'suis ta grande soeur pas ta pote moi. Bouffon.
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« La rebeu et le renoi »
Lãng mạnUne jeune banlieusarde inconnue devenue quelqu'un, elle n'était plus voulu mais fera le bonheur de plus d'un ... Cover fait par @lesvicesdejaffar