CHAPITRE 15

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Moi : Nan c'est pas ça mais j'suis juste un peu surprise

Asmar : J'te laisse réfléchir , * il me fait un bisou sur la joue * Fais attention à toi .

Il se lève , met les mains dans les poches de son gilet et je le vois partir .

Une partie de mon coeur me dit " vas - y , il t'aime " et l'autre " Nan , tu es faite pour Ibrahim patientes juste " .

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" Il est toujours difficile de faire confiance , entre amour et amitié , on s'arrange "
💭💄✔️

Je suis restée encore 5 min sur le banc . J'ai réfléchi , ce n'est pas parce qu'il " m'aime " que je dois l'aimer à mon tour . Mon coeur n'appartient qu'un seul homme , pourvu qu'il s'en aperçoive .

Un peu plus tard ,

J'allais rentrer chez moi quand j'entends du bruit vers le parc ou j'étais tout à l'heure . Curieuse que je suis j'y cours , y'avais un rassemblement , c'était une baston .
Je regarde bien et je vois Azneb en train d'se battre avec une meuf , j'arrivais pas à bien voir .

? : OH IL S'PASSE QUOI LÀ ?

J'me retourne et j'vois Imran et Ibrahim , j'sais même pas ils sortent d'où eux

Moi : C'est Azneb qui s'tappe

Imran : ET TOI TU FAIS RIEN ?

Moi : J'VIENS A PEINE D'ARRIVÉ TU CRIS SUR QUI LÀ ?

Il va en plein milieu d'la baston et essaye de les séparé , il commence à prendre Azneb par la taille , elle était rouge comme jamais

Azneb : LÂCHES MOI PUTAIN . J'VAIS LA TUER CETTE PUTE .

La meuf : S'TA MÈRE LA PUTE . VIENS !

Moi : T'INSULTES QUI LÀ ?

La meuf : TU VEUX QUOI TOI ?

Moi : FERME TA GUEULE T'AS CRUS J'ÉTAIS TA P'TITE ?

La meuf : LA MEUF ELLE S'FAIT BA*SER PAR IBRA , PAR ASMAR ET ENCORE ON S'DEMANDE SI Y'EN A PAS PLUS .

La j'ai vu rouge , la meuf j'la connais de nul part . Déjà j'étais énervé mais la . Impossible d'me contenir j'lui saute dessus .
J'crois j'ai tout lâché sur elle , j'lui arrachais les cheveux , ses habits , j'lui donnais des coups , j'me prenais pour je ne sais qui mais la haine l'emporte .

La meuf : LÂCHES MOI TA RACE !!

J'me sens lever d'elle , mais moi j'voulais pas la lâcher.

? : CALME TOI PUTAIN .

J'ai de suite reconnus sa voix , c'était Ibrahim , j'avais grave pas envie de faire la forte , en plus ses gros bras la , son parfum , ouh je sais plus c'que j'dis .

Moi : C'est bon j'suis calmée

Ibrahim : Nan nan j'te connais tema tu trembles

« La rebeu et le renoi »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant