Castiel Mon Professeur Tome 1

Chapitre 16 : La mort de Lola

-... En tous cas, sa réaction et la venu de ton père sont liés...
-Mais que c'est il passé ?

*•*•*•

PDV de Castiel.

Nous retournons dans le salon elle est encore dans la même position. Je n'aime pas la voir comme ça... Steve va s'assoire à ses côtés et la bras doucement dans ses bras. J'entends des larmes, ses sanglots étouffés par l'épaule de son grand frère. Le seul points positifs dans cette histoire c'est que ces deux la sont progressivement en train de se réconcilier. Je prépare vite fait à manger nous nous installons devant un film. Elle s'endort rapidement sur l'épaule de Steve.
-Ça l'a exténué cette journée.
-C'est vrai. Je l'a met dans le lit ? Demande t il
-Oui, si elle en a besoin de il y a des couvertures dans le placard.
Il revient et se jette sur le canapé. Au bout de une demi heure des cris provenant de la chambre nous résonne jusqu'au oreille. En une fraction de secondes nous sommes tous les deux debout et courons vers la chambre.
-Aaaah Aaaah
Elle semble dormir, je m'assoir à côté lui prend la tête dans mes mains et lui dit d'une voix qui se veut douce et chaleureuse.
-Ohana c'est un cauchemar, réveille toi. Ohana...
Elle se redresse d'un coup manquant de nous assommé tous les deux, sa respiration est irrégulière, son cœur à un rythme cardiaque élevé, elle tente de reprendre son souffle. Je le prends dans mes bras pendant que son frère va chercher un verre d'eau.

*2 jours plus tard*

Toujours rien enfin si il y a quelque chose, la même situation, Ohana reste muette, toujours ces cauchemar. Elle dort très peux la nuit ce qui fait qu'elle ne va pas au lycée depuis trois jours. Steve, Sarah et moi tournons pour qu'elle ne soit jamais seule. Cette après midi Rosalya doit normalement passée la voir. J'espère que ça lui fera du bien.
On sonne à la porte ce qui me fait sortir de mes pensées. Ohana est endormi sur mes genoux alors que moi je suis assis sur le canapé. Je pose doucement sa tête et marche en direction de l'entrée.
-Bonjour Monsieur
-Oh Rosalya. Vas-y entre.
-Merci.
-Quand va t'elle ?
-Pour l'instant elle dort mais si non c'est pas la joie. Elle n'a toujours rien dit.
-Je vois, vous...
-Tu peux me tutoyer en dehors du lycée j'ai l'impression de prendre 30 ans avec le vouvoiement.
-Oh désolé. Tu sais ce qui s'est passé entre son père et elle ?
-Non toujours rien. Et Steve non plus.

Nous la regardons en silence. Elle paraît si fragile, si douce. On peut faciliter la comparée à une fleur, une fleur si facile à brisée qu'il faut protéger. En faite non, pour Ohana sa fragilité est seulement de passage. Elle est forte je sais qu'elle arrivera à se redresser et s'élevé, être forte comme un arbre le serait.

-Je peux te la laisser une vingtaine de minutes stp ? Je vais vite fait prendre une douche.
-Oui bien sûr.
-Fait comme chez toi il y a des boissons dans le frigo et les télécommandes sont sur la table basse.

Elle hoche la tête et je me dirige vers la salle de bain. J'ouvre la porte, sur l'évier trône sa brosse à dents, son déodorant et quelque affaires du style maquillage, brosse à cheveux. Avec Steve nous avons convenu qu'elle serait mieux ici, si son père descide de faire un tour chez eux elle ne sera pas là, c'est mieux pour sa sécurité.
Sur le radiateur ses vêtements sèches, sa serviette de bain est accrochée au porte serviette.
Bon tu arrêtes de rêver et tu la prends cette douche ?
Mouais...
Je ferme la porte et me déshabiller. J'entre dans la douche. L'eau chaude me détend, c'est vrai que j'ai beaucoup était tendu ses deux derniers jours. Je remarque une corbature dans le muscle de l'épaule droite. Je coupe l'eau, attrape une serviette et me sèche les cheveux

J'attrape des vêtements mais on toque furieusement à la porte de la salle d'eau.
-Monsieur, Monsieur, elle fait une crise.
Je reconnais la voix paniqué de Rosalya. Je passe Seulement un sous vêtement et un pantalon et sort en trombe de la salle de bain.
-Qu'est ce qui ce passe ?
-Elle s'est réveillée, elle parle mais je ne sais pas ce qu'elle raconte.
Nous arrivons en courant dans le salon elle semble complètement paniquée, elle pleurait et avait du mal à respirer