Chapitre XII partie 1

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- Vous n'irez nul part.

On ce retourne d'un même mouvement pour voir le loup crème.

- Essais de nous en empêcher.

Je gronde en montrant les crocs.

- Cela ne sera pas nécessaire.

Alors une fléchette ce loge dans mon postérieur, je regarde l'Alpha qui me lance un regard désoler. Je lève une patte pour avancer mais je sombre dans l'obscurité la plus complète.

*****

J'ai mal à la tête. J'ouvre les yeux pour voir où je suis, je suis dans une chambre décorer sobrement mais surtout je suis coucher dans un grand et confortable lit noir. QUOI? Une chambre et un lit... j'aurai cru me réveiller sur un tas de paille au fond d'une cellule comme la dernière fois. Je continue à évaluer la pièce avant de remarquer que je suis présentement en sous-vêtements et qu'un bras est... UN BRAS? Je me retourne d'un coup et vois l'Alpha qui dort, je lâche un cri pendant que lui ce réveille en sursaut.

- Qu'est-ce qui...

Sa voix est étouffé par le coussin que je viens de lui lancer à la figure avant de me cacher sous les couvertures. Il gronde avant de tirer sur les couvertures pour me regarder en riant.

- Pourquoi je ne suis pas en prison?

Il arrête de rire avant de froncer les sourcils.

- Parce que ta place est à mes côté.

Je me mets en colère.

- Je ne vais pas rester ici.

Étonnement il reste calme et me prend la main, je le laisse faire malgré les frissons que provoque son toucher.

- Je te promet que tu ne seras pas obliger de rester sur notre territoire tout le temps.

Je retire ma main avant de le regarder d'un air froid.

- De toute manière tu ne pourras pas me garder ici, dans quelques jour Kendhal va venir me chercher pour me ramener à la meute. Je m'ennuie de lui...

- Pourquoi tu ne dis pas ma meute?

J'envoie mon poing vers le mur pour y laisser une trace de sang. Je prend mon poing dans mon autre main quand je remarque que l'entaille n'est pas superficielle et que le sang coule abondement. L'Alpha bondit sur ses pieds pour aller chercher un bandage et des produits pour nettoyer la blessure. Quand il a fini de panser ma main je lui explique que depuis toute petite j'ai été élever pour devenir Alpha, mais je ne voulais et ne veut toujours pas gouverner, je veux voyager.

- Alors à l'âge de quinze ans je me suis enfuis et j'ai vécue trois ans solitaire et en cavale.

Une seule larme coule le long de ma joue, il l'essuie avec son pouce.

- Heu... je peut avoir des vêtements?

- Bien sur!

Il part de nouveau mais cette fois si pour me trouver de quoi me mettre sur le dos pour ensuite revenir avec un chandail et un pantalon noir à ma taille. Je les mets pendant que lui enfile un chandail vert et un jean. Je ne connais pas encore son nom...

- S'il te plait, ne détruit pas ses vêtements ou ma soeur va me décapiter.

- Ton nom.

Il me regarde bizarrement.

- Quoi mon nom?

- Je ne connais pas ton nom.

- Ah, oui mon nom.

Il me fait un grand sourire avant d'ajouter.

- L'Alpha-le-plus-beau-et-courageux-de-toute-la-planète-terre.

Ne jamais faire une guerre de sarcasme avec moi.

- Super! Alors monsieur-j'ai-pas-de-confiance-en-moi-car-je-suis-un-laideron où est la cuisine car moi je n'ai manger qu'un mulot hier matin.

Il me regarde les yeux écarquillés et la bouche ouverte, je suis saisi d'un fou rire incontrôlable.

- Tu te crois drôle en plus?

J'arrête de rire mais continue de sourire.

- Je ne le crois pas, je le suis et je suis sérieuse où est la cuisine?

Je crois que mon sommeil fait bruler mes neurones.

- Bon d'accord, je vais te montrer la cuisine mais tu dois me dire ton nom.

- D'accord, j'ai trop faim, je m'appelle Lexyrina.

Le loup qui me possèdeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant