25.

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vingt-quatre. - Le retour du bonheur.

— Sof c'est mon clown lui.
Faiza — Comment ça ?
— Je rigole grave avec lui, c'est un peu un Is numéro 2.
Faiza — Tu penses ça pourra marcher avec lui ?
— Mdr... Non t'es folle, c'est juste un pote. Je veux pas plus de lui.
Faiza — C'est ce que tu dis...
— Et ce que je pense ...
Faiza — On verra.

Après avoir papoter de tout et de rien vers 16h je partis faire quelques courses.

Fallait que je vive, je n'étais plus que l'ombre de moi même

Je voulais organiser un petit diner dans la semaine. J'ai fais les courses nécessaire pour.

Le soir du diner, j'avais invité Is, Aisha, Faiza qui était sortit entre temps, et Sofiane.
On a une superbe soirée. On a bien rigolé et bien manger el hamdoullah.

Le soir mêmem Faiza dormit à la maison.

Faiza — Il est marrant Sof.
— Oui grave.

Il avait le clown tout la soirée comme à sa grande habitude.

Faiza — Et il est mignon...
— Mdr tu veux je lui dise t'es intéréssée ?!
Faiza — Mdr je parle pour toi.
— Arrête t'es connerie.
Faiza — Attend seulement, vous finirez ensemble.
— On verra.

On s'endormit tranquillement. Le lendemain tôt dans la matinée Faiza partit voir son fils. Je suis donc restée seule.

A un moment je reçu un appels, inconnu. Inconnu ?! Je pensais que c'était Is. Au premier allo je reconnais une voix familiere.

— Allo, tu va bien ?
— Oui mais c'est qui ?
— Ç'est Moussa.
— MOUSSA woaahhhh
Mouss' — Ça va ou quoi ?! Genre ça donne plus de nouvelle.
— Ouais tranquil el hamdoullah et toi.
Moussa — Ça va tranquil, tu fais quoi aujourd'hui.
— Ben je sors j'ai pas mal de truc à faire pourquoi ?
Mouss — Dommage je voulais te capter.
— Ouais, une prochaine peut être...
Moussa — Vas y je te laisse salam.
— Salam.

Je sortis avec Sof, on allait chercher un cadeau pour le bébé de sa cousine, il avait besoin des conseils d'une fille. On partit manger puis il me dit.

Sof — J'aime bien passer du temps avec toi, t'es une ouf dans ta tete.
— C'est toi le ouf.
Sof — Tu sais pour moi t'es bien plus qu'une amie.

En voyant que je ne reagissait pas il rajouta.

Sof — T'es comme une soeur.
— Mdr.

Il me déposa chez moi.

Arriver chez moi je me mis sur facebook. Depuis le temps que je ne m'étais pad connecté fallait bien que je vois ce qui se passait.

Une demande d'ami : "Serviteur d'Allah" ce nom me disait quelque chose... C'était le gars qui voulait que j'aille à la conférence, il y a environ 1an.

A peine accepté il vint me parler.

Serviteur d'Allah — As salam aleykoum wa rahmatoullah oukhty.

— Aleykoum salam wa rahmatoullah.
— Mash'Allah t'as photo de profil, tu portes le voile maintenant.
— BarakAllahoufik oui je le porte el hamdoullah.
— Tu te souviens de moi.
— Oui oui bien sur, mais ça me dit pas qui tu es, tu ne t'es jamais présenté à moi.
— Je suis une frère qui t observe de loin.
— Mdr un psychopate.
— Non juste un fan lol, par contre tu devrais enlever ta photo de facebook ça ne plaira pas à ton mari je pense.
— Je suis seule.
— J'ai cru que l'homme en photo avec toi c'était ton mari.
— Ah lui non c'est mon meilleur ami, Ismael.
— Ah lol désolé...

On discuta comme ça un bon moment. On se rapprochait petit à petit, je parlais de ma vie, mais lui très peu de la sienne. On parlait beaucoup d'islam, je lui ai tout raconté pour Shems, je lui ai raconté mon ressenti.

Moi — " Il a su me touché par son amour pour Allah. Je ne sais pas comment t'expliquer. Il est tout pour moi, depuis son depart je ne cesse de regretter, je souffre"

Il répondit à ses paroles : "Si Allah te retire quelque chose c'est pour t'en rendre une meilleure".

On parla comme ça un mois, puis on se donna rendez-vous , plutôt je lui ai donné rendez-vous, j'étais curieuse, je voulais voir ce frère qui arrivait à me bouleverser comme ça, il fallait que je le vois, celui avec qui je sacrifiai mes journée à rester devant le pc pour discuter avec lui, à qui j'avais confié toute ma vie. Ça aurait pu être un psychopathe mais j'avais une sorte de pressentiment positif.

Le matin de notre rencontre, j'ai mis un slim noir avec une tunique noire, une veste blanche et un hijab noire et blanc. J'etais restée trés naturel. J'avais peur, je me poser plein de question.

On avait rdv près de chez moi, j'avais peur mon coeur battait, je l'attendais, j'étais la, seule, dans mes pensées à attendre assise sur un banc.

L'air était frais, l'hivers était passé, je sentais un petit vent frais. Je voyais un petit groupe d'enfant jouer à la balle, d'un coup je sentis 2 mains me couvrir les yeux.

Un doux frisson parcoura mon corps. Je sentai son parfum, ce parfum, celui que je connaissais si bien. Je me mis à sourire toute seule, c'est toi...

Il retira ses mains, je me retournis... C'était lui...

Comment ça se finira ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant