Chapitre 7
J'étais toujours sur lui, je sentais trop son odeur. Il me touchait les cheveux ou bien j'aurai dis qu'il les caressait. Je voulais ouvrir les yeux parce qu'il était déjà jour, mais je ne voulais pas faire face à son regard.
J'ai en tête tout ce qui s'est passé cette nuit et j'en frissonne encore.
Lui : je sais que t'es réveillé !
Lol, je me demande, ce qui m'a trahit ?
Lui : ta respiration n'est plus si régulière et on dirait que ton corps est devenu plus chaude.
Je bougeais un peu pour me décaler quand une douleur me rappelle ma nuit précédente.
Lui (se relevant) : je te conseille de rester tranquille, t'auras encore mal mais ça devrait passer.
Je voulais lui lancer à la figure : tout ça c'est ta faute. Quand il dit
Lui : je n'ai pas envi que t'appelle papa maintenant.
Il est sérieux ?
Il se moque de qui ?
LOL
Je ne le regarde même pas, quand je l'entends rire avant d'entrer dans la salle de bain surement pour prendre une douche.
Mais je le vois ressortir plus tard avec une tasse d'eau et une tablette de médicament
Lui (s'asseyant près de moi) : Bois ça !
Moi (essayant de me relever) : C'est quoi ?
Lui : de l'Ibuprofène
Je le lui prenais des mains et l'avaler en buvant.
Moi : merci !
Lui : tu veux quelque chose ?
Vouloir quoi, euh oui prendre une douche.
Moi : euh non non rien.
Lui : ok je reviens.
Il retourne dans la salle de bain et revient quelques minutes plus tard toujours pas encore lavé, je me demande ce qu'il faisait.
Il se dirige vers moi et me soulève en passant sa première main sur mon dos et l'autre sur mes jambes.
Moi (troublée) : tu fais quoi ?
Lui : je vais te donner ton bain.
Ou est Lamine ?
Le vrai je veux dire mdrrr
Je le regardais me diriger vers la salle de bain avant de me poser sur la baignoire qui était chaude constatais-je.
Il me faisait rentrer dans l'eau comme si j'étais une pierre précieuse qu'il ne fallait surtout pas casser. Après m'être bien mis dedans je le sens rentré derrière moi et je me retrouver allonger sur lui, Quand il prend le gant et commence à me nettoyer. C'était trop chou, mais tout ce bousculé dans ma tête.
Je sentais encore son truc là dure qui me collait derrière mais bon je pense c'est l'érection matinal parce que cette fois s'il me touche je jure d'appeler papa.
Il nous lave tout les deux avant de me laisser un moment puis de revenir me faire passer le peignoir.
Moi : laisse, je peux marcher.
Lui : ok si tu veux.
Je commençais à faire des pas mais je gardais ma force pour ne pas faire de grimace parce que faut le dire ; une douleur était bien présente.
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Mamy: Au Delà de Mes Forces
Roman d'amourVoici Ma Deuxième Chro, si vous n'avez pas encore la première allez-y faire un tour vous n'allez le regretter, elle est déjà terminé. il s'agit de : Chronique d'une Sénégalaise Bien Soumise