c h a p i t r e 1

5.7K 148 4
                                    

Le doux son de mon réveil résonnait dans toute ma chambre. Je tapais sur ce réveil qui ne s'éteignait pas, j'attrapais l'objet et le lançais à travers la pièce. Je lâchais un cri de rage, puis je me redressais. Je prenais mon téléphone sur la table de nuit puis je regardais l'heure. 7:45. Génial, le taxi est la dans 15 minutes et il faut encore que j'aille me laver, m'habiller et finir de préparer mes affaires. J'enlevais la couverture et sortais de mon lit. Je prenais mes vêtements que j'avais préparé la veille puis j'allais dans la salle de bain. Je me déshabillais puis rentrais dans la douche. Après m'être lavée, je m'habillais simplement.

Je me maquillais légèrement et laissais mes cheveux lisses naturellement

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Je me maquillais légèrement et laissais mes cheveux lisses naturellement. Je finissais de mettre les dernières affaires importantes dans mes bagages puis je sortais de mon appartement tout en faisant attention de ne pas laisser mon petit chat, qui s'appelle Carlo, sortir. Heureusement pour j'habite au premier étage parce que descendre avec 2 valises c'est un peu compliqué. Le chauffeur sortait et m'aidait à mettre une de mes valises dans le coffre. Je montais et lui indiquais le lieu d'entraînement des bleus. Il me regardait un temps de travers et je lui lançais mon plus beau des regards noirs. Personne n'a intérêt de m'embêter aujourd'hui, je suis pas d'humeur, enfin je suis jamais d'humeur. Je peux être très drôle, très gentille mais je peux également avoir une très grande méchanceté.
Le chauffeur s'arrêta devant la barrière du château de Clairefontaine une heure après. Je lui tendait les sous et je sortais pour récupérer mes deux valises. J'entrais dans l'enceinte puis je marchais à reculons. Je soufflais puis je continuais de marcher jusqu'aux escaliers où m'attendais Didier Deschamps de son fidèle jogging de l'équipe de France. Il me faisait un léger sourire que je lui rendais.

Didier : Luna, c'est bien ça ?
Moi : C'est exact.

Il me fit signe de le suivre dans le château. Je regardais autour de moi, c'est assez sympa comme lieu. Je déposais mes valises dans un coin puis suivais Didier qui partait je ne sais où. La pièce ressemblait à un salon avec télé, console, baby foot, des fauteuils qui m'ont l'air bien confortable. Je mettais mes mains dans mes poches arrière et regardais les murs, il y avait de nombreuses photos qui m'ont l'air récente des joueurs ; des photos de groupes mais aussi des jolies photos de quelques uns d'entre eux montrant leur joie. La sonnerie de mon téléphone retentissait, je regardais et voyais la tête de mon père s'afficher sur mon écran. Je répondais.

(ndlr : la conversation sera traduite)
Moi : ¿Sí papa? (Oui papa ?)
Papa : ¿Que tal? (Ça va ?)
Moi : ¿Muy bien y tú? (Très bien et toi)
Papa : Bien, gracias. (Bien, merci)
Moi : ¿Porque me llamas? Tienes un problemo ? (Pourquoi tu m'appelles ? Tu as un problème ?)
Papa : ¡No nada! Quiero solo saber cuando vas a la mansión. (Non rien ! Je veux seulement savoir quand tu viens à la maison)
Moi : No sé. Soy en París papa... Sabes bien que no puedo venir a España..  (Je sais pas. Je suis à Paris papa... Tu sais bien que je ne pas venir en Espagne)
Papa : Sí yo lo sé pero, te echo de menos ! Tu mama es mal porque no te ves... (Oui je le sais mais, tu me manque ! Ta maman est mal parce qu'elle ne te vois pas)
Moi : Papa, yo lo sé... pero, te prometo que voy a volver pronto ! Lo siento, me espera. À la proxima ves papa.  (Papa, je le sais... mais, je te promet que je vais revenir bientôt ! Je suis désolé, on m'attend. À la prochaine fois papa.)

LVT||AGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant