- « Laisse moi. »
- « Non. »
- « Pourquoi ? »
- « J'ai essayé, tout essayé pour ne pas l'être. Mais je n'ai rien pu contrôler, c'est arriver comme ça sans comprendre. »
Luna Villegas Torrès & Antoine Griezmann
<<[ndlr] la fin de l'histoire approche à grand pas. Que souhaitez-vous ? Une fin ou un nouveau tome ? Faites-moi vos propositions ✍️>> __________________________
Je me réveillais avec le pressentiment qu'aujourd'hui sera une bonne journée. Je décoinçais de mon lit et m'accrochais les cheveux en une queue de cheval haute. Je sortais discrètement de ma chambre pour rejoindre celle de mon footballeur préféré. A l'entente des légers ronflements, je souriais en pensant l'éventuelle idée de le réveiller. J'ouvrais les rideaux et la clarté se faisait vite ressentir dans la pièce. Je m'approchais rapidement de son lit et montais dessus pour pouvoir sauter et ainsi le réveiller. Je l'entendais ronchonner et ses mains venaient se coller à ma cheville gauche ce qui m'empêchait de pouvoir continuer de sauter. Je m'accroupissais mais je perdais l'équilibre toute seule. Je me retrouvais donc assise dans le lit d'Antoine qui en avait profité pour me bloquer en mettant son bras au tour de ma hanche et sa tête sur mon ventre.
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Je tirais sur ses cheveux qui se faisait de plus en plus long. J'adore ses cheveux, ça lui donne un côté tellement irrésistible. Il déteste quand je les lui tire car je n'y vais pas forcément de main douce. Il commençait à grogner encore ce qui me faisait malencontreusement exploser de rire. Il ouvrait les yeux et levait sa tête ce qui me faisait me mordre la lèvre inférieure tellement il était beau.
Antoine : Qu'est-ce qui t'arrive ce matin ? Tu veux pas me laisser dormir ? Moi : Rien, je suis d'humeur joviale tout simplement. Et non. J'ai envie de t'embêter. Antoine : Laisse moi dormir...
Il laissait tomber sa tête sur ma poitrine. Tranquille le garçon a ce que je vois.
Moi : Ça va je te dérange pas trop la ? Antoine : Non c'est nickel. Moi : C'est ça, enfoiré.
Je le sentais rigoler et me mordre le haut de mon sein droit.
Moi : Aïe !! Mais t'es con où tu fais exprès ? Antoine : Moi aussi je t'aime.
Je lui donnais une tape sur sa tête qu'il relevait aussitôt. Je prenais ses joues entre mes mains et le regardais dans les yeux. Il m'embrassait et devenait plus passionné.
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