c h a p i t r e 17

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La sonnerie stridente de ce satané réveil va me tuer un jour je crois. Je l'éteignais et je poussais ma couette vers mes jambes.
La voiture que Didier m'a envoyé arrive dans une demie heure. Ce qui veut dire que dans 2:00 je serai déjà entrain de courir partout. Ou presque.
Je sortais de mon lit et je m'étirais avant de prendre mes vêtements et de filer à la douche. Je crois que je ne vais jamais pouvoir rester plus d'un mois toute seule chez moi avec mon chat.
Je me lavais puis je sortais de la cabine de douche. Je m'habillais et je séchais rapidement mes cheveux au sèche cheveux et je les accrochais une nouvelle fois en queue de cheval.

Je sortais de la salle de bain et je regardais l'heure qu'il était

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Je sortais de la salle de bain et je regardais l'heure qu'il était. 9:20. C'est parfait tout ça. D'ici 15/20 minutes la voiture sera là. Je me maquillais simplement, pas besoin d'en faire des tonnes et je prenais mon petit déjeuner. J'avais à peine juste eu le temps de me brosser les dents que j'entendais déjà klaxonner en bas de chez moi. Bon il est temps pour moi de partir, encore une fois.
Je prenais mon sac de sport et je faisais en sorte que Carlo ne sorte pas de mon appartement. Je descendais l'étage et je sortais de l'immeuble. Je disais bonjour au chauffeur qui mettait mon sac dans le coffre de la voiture. Je montais à l'arrière et il démarrait le véhicule pour partir en direction de Clairefontaine.

Après une heure de route, je descendais de la voiture et je récupérais mon sac dans le coffre.
Je regardais ma montre et elle indiquait qu'il était 10:45. Les joueurs seront sûrement debout et entrain de traîner dans les couloirs à cette heure là. Je montais les escaliers et j'entrais dans le château. Et effectivement, certains joueurs sont entrain de traîner. Je m'avançais un peu plus pour rejoindre le salon. Je me prenais un torse et je relevais les yeux pour voir à qui il appartenait. Je ne vois même pas pourquoi je me pose la question. Il s'agissait bien évidemment d'Antoine.

Moi : Pourquoi à chaque fois on se fonce dedans comme ça ?
Antoine : Parce que c'est comme ça que t'a débarqué.

Je levais mes yeux vers les siens et une bouffée de chaleur me pris dans tout le corps. Faut qu'il arrête de me faire ça lui.

Moi : Il fait chaud non ?

Quel beau changement de sujet. Mais vraiment. Je me félicite moi même. Nan je rigole c'était nul.
Il me regardait bizarrement puis il commençait à sourire. Son sourire m'avait manqué, tout comme ses yeux. Il s'approchait de moi et parlait doucement dans mon oreille.

Antoine : T'a déjà eu plus chaud que ça.

Je frissonnais et il se reculait. Son regard était rempli d'illusion par rapport à la nuit que nous avions passé ensemble. Je lui donnais un coup et je passais devant lui pour continuer ma route. Je l'entendais rire derrière moi ce qui me faisait sourire. Ça ne va vraiment pas dans ma tête. Il m'avait manqué.
Je continuais ma route et je croisais un jeune renoi sauvage. Il me prit dans ses bras et me portait par la même occasion.

LVT||AGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant