c h a p i t r e 8

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J'émergeais de mon sommeil avec un mal de crâne pas possible. Le souvenir de hier soir était assez flou mais je me souvenais que j'avais beaucoup bu. Chaque autres détails étaient dans un coin de mon cerveau qui ne voulait pas émettre le souvenir. Je ne me souviens même pas comment j'ai fais pour atterrir dans mon lit et encore moins me changer. Je voulais prendre mon téléphone qui était normalement posé sur le chevet mais il n'y était pas. Je me levais donc avec un peu de mal pour voir ou est ce que j'avais bien pu le mettre.
Mes vêtements de la veille étaient étalés sur le sol, et je marchais dessus. Je voyais mon téléphone sur le petit bureau. J'étais vraiment complètement caisse hier soir.
Je sortais de ma chambre pour aller dans le couloir tout en marchant lentement et en me frottant les yeux. J'ai peur d'avoir fait des choses hier soir, et de ne pas les assumer. C'est très troublant. Je touchais mon poignet pour savoir si pendant ma beuverie je n'avais pas perdu mon bracelet et heureusement il était toujours la.
Je descendais au salon et je voyais les gars affalé dans le canapé en pleine forme à jouer à FIFA. J'ai l'impression que personne ne bosse aujourd'hui.

Paul : Ha tient, la belle au bois dormant se réveille.
Moi : Hé ouais. Quel heure il est ?
Hugo : Pas loin de 11:30.
Moi : Ça va !
Hugo : Je suppose que tu as besoin d'un antidouleurs ?
Moi : Avec plaisir. 

Il se levait et me donnait un médicament ainsi qu'une bouteille d'eau.

Paul : Alors avec Antoine ça a conclu ?

¿ Qué ?

Moi : Je te demande pardon ?
Paul : Tu l'a pas lâché de la soirée, donc..
Moi : C'est faux j'espère ?
Hugo : Absolument pas.

Mais qu'est-ce que j'ai réellement fabriqué hier soir ? Il faut que j'arrête l'alcool à tout prix.. mais je dis ça à chaque fois.
Je mettais ma main sur mon front et fermais mes yeux pour essayer de réaliser ce qu'ils me disaient.

Paul : Tient en parlant du loup.

Je me retournais d'un coup sec et j'apercevais Griezmann en short de sport et en t-shirt. Il affichait un sourire quelque peu vainqueur à son visage. Mais qu'est-ce que j'ai fais ?

Antoine : Salut !
Paul : Ça gaz mon pote ?
Antoine : Plus que bien.

Il me jetait un regard. Je me pose vraiment des questions sur ce que j'ai fais hier soir.

Moi : Vous aller me dire ce que j'ai foutu hier soir ?
Antoine : Ta rien fait à part danser avec moi, me dire que j'étais beau et hyper sexy, et j'en passe, mais je te dirai pas le meilleur.

¡ Madre De Dios ! ¿ Quién soy ? Pourquoi j'ai fais ça ? Il faut que je médite absolument ! Je ne peux pas rester sur un suspens de "meilleur".

Moi : C'est faux ! Jamais j'ai pu dire ça.
Hugo : Je te promet que c'est vrai.

Je fermais mes yeux et je tapais ma main contre mon front. C'est décidé ! Je ne bois pu d'alcool. Mais je dis ça à chaque fois. Je me retournais je me dirigeais dans ma chambre. Je me remettais dans mon lit et je fermais mes yeux.
Des flashs de la soirée d'hier me venait. Je me voyais danser plutôt collée à Antoine. Et la fin de soirée... voilà pourquoi il avait son sourire, je me suis déshabillée devant lui !
Je suis tellement inconsciente d'avoir fait ça. J'ouvrais mes yeux rapidement et j'allais dans la douche en essayant d'oublier tout ça. Une bonne douche froide me fera du bien.
Je sortais de la douche et je mettais une serviette autour de ma poitrine. Je partais de la salle de bain pour rejoindre ma chambre. Je prenais de quoi m'habiller.

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LVT||AGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant