Only the Lonely [V.F] h.s

Chapitre vingt - partie deux

J'ai décidé de mettre un chapitre aujourd'hui car..... 

C'EST MON ANNIVERSAIRE ! HOURA !  

Célébrons avec un chapitre ! 

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Quand nous vivions aux États-Unis, nous vivions dans la ville.

J'avais toujours pensé que mes parents étaient des gens de la ville. Cependant, quand Matty tourna dans un chemin de terre dans l'endroit le plus rural de la ville, je fus surprise de voir une maison à deux étages avec de la brique blanche, en plein milieu d'un champ avec du gazon fraichement coupé. Il semblait y avoir un jardin en arrière, et il y avait un grand chêne qui surplombait la maison en avant; il y avait une balançoire sur le porche, un bain d'oiseau sur le trottoir menant à la maison, et je pouvais voir une voiture de stationnée sur le côté de la maison, là où se trouvait le garage.

- Harry et moi aimions visiter ta maison, dit Matty tandis qu'il se stationna à côté de la voiture de mes parents. Nous ne pouvions pas venir souvent, mais ça serait difficile d'oublier cet endroit.

Son ton était décontracté, mais je savais qu'il devait être empreint de souvenirs de notre enfance. Quand je regardais à travers la fenêtre, voyant la maison proche de nous, je sentis un étrange sentiment de déjà-vu quand je la regardais.

Et quand je regardais le chêne, je ne pouvais m'empêcher de ressentir que je l'avais déjà escaladé auparavant.

- Tu viens ? dit Matty, frappant soudainement contre ma fenêtre et attendant que j'ouvre la porte.

Je sortis de la voiture, incapable de détacher mes yeux de ma maison d'enfance, admirant comment les briques semblaient nouvelles, et l'odeur frais de gazon. Ma mère avait toujours été en amour avec le jardinage – tout ce qui avait un lien avec les fleurs et le travail d'extérieur. Alors, je n'étais pas surprise de voir à quel point tout semblait impeccable.

Matty et moi embarquâmes sur le porche, et j'hésitais avant de cogner à la porte. La balançoire en bois qui se tenait sur le porche bougeait avec le vent, frappant contre le mur sur un rythme lent et régulier. Je pouvais aussi entendre un carillon éolien – ma mère aimait les carillons éoliens, aussi.

Cette maison paraissait complètement différente du palais.

À mes yeux, le palais était une prison.

Mais cependant, ceci était ma maison. C'était d'ici que je venais.

- Oui ?

La porte s'ouvrit, révélant ma mère avec un tablier. Cependant, quand elle m'aperçut, ses yeux doublèrent de taille et elle échappa le chiffon qu'elle tenait entre ses mains et couvera sa bouche, laissant échapper un petit cri.

- Salut maman, dis-je avec un petit signe de la main.

- Que se passe-t-il ? La voix de mon père retentit proche de nous, et ma mère avait un regard stupéfait sur son visage tandis qu'il se mit à ses côtés.

Son visage n'avait aussi, aucun prix, quand il m'aperçut.

C'était évident qu'ils pensaient que j'étais morte.

- Je vais être damné, souffla mon père, paraissait figé sur place tandis que ses yeux me regardaient.

- Mon bébé est vivant ? demanda ma mère, paraissait presque sous le choc.