Hetalia - Padre! Romano x OC! jumelles

Chapitre 8 : Lovino, un père avant tout

Pdv Lovina – Bureau de Lovino – Mafia, Italie

Je regarde la scène devant moi cacher, dictionnaire à la main près à agir si jamais cela ne tournerait mal.

Feliciana, tête baissez en face de Lovino Vargas, son père et patron de la mafia, avec son petit ami ; Tino Väinämöinen.

-De quoi voulez-tu me parler, Feliciana ? Et pourquoi as-tu un des nordiques avec toi ?

Demanda père déstabiliser.

-N-nous avons deux choses à t'annoncer...

Tino pris la main de ma sœur et lui sourit.

Je commencer a braqué mon dico.

Le visage de père commençait à devenir sombre.

-La première, c'est que Tino et moi sortons ensemble et le second, j-je suis enceinte de 2 mois...

-... Hein... ?

Il ne bougea plus, je m'approchai de lui et essaya de trouver un signe de vie.

-I-il va bien... ?

Me demanda Tino inquiet.

-On dirai qu'il a bugger... Attend une seconde, j'ai un solution...

Je posai mon dictionnaire et sortie mon lupara, le chargea et visa le plafond.

-Feliciana, Tino, bouchez-vous les oreilles, c'est très bruyant...

Ils s'exécutèrent.

3.... 2.... 1.... Et 0 !!!

BANG ! BANG !

Père sursauta dès qu'il entendu les coups.

Au même moment, le bras droit de père ; Bonometti Francesco et mon Ami ; Steven entra dans la pièce arme braqué.

-Ouah ! C'est plus rapide qu'avant ça, j'en aurai bien eu besoin de cette rapidité il y a quelque temps !

Dis-je étonné tandis que ma sœur et son petit ami avait les mains en l'air.

-Lovina !?

Ils rangeaient leurs armes.

-Ciao Steven ! Il n'y a aucun problème, père avait juste bugger.

-Feliciana...

Ont entendu la voix sombre de Lovino.

-O-oui P-père... ?

Il s'approcha d'elle mais la prise dans ces bras.

Tout le monde était choqué, Lovino... Pleurait ?

-Tu grandie si vite... Je ne viens que de vous retrouver et voilà que je te trouve déjà futur mère...

-Tu n'est pas en colère... ?

-Bien sûr que non ! Comment pourrai-je l'être... la seule personne contre qui je suis en colère est moi-même... J'ai totalement rater votre croissance, je ne veux plus vous perdre, je veux que vous viviez vos vies chacune comme vous l'entendrez... On pourrait dire que je vais devenir grand père...

-Merci papa...

Après un long câlin, Lovino lâcha ma sœur et s'adressa plus fermement à Tino.

-Tu as intérêt à bien t'occuper de ma fille, si non gare à toi, compris !?

-Oui monsieur Vargas, je ne ferai jamais pleure Feliciana.

J'ajouta quelque chose ;

-Dans ce cas, si tu la fais pleurer c'est à moi que tu auras à faire, mais je te fais confiance... Occupe-toi bien d'elle !