Hetalia - Padre! Romano x OC! jumelles

Chapitre 12 : Une grande surprise

3 mois plus tard - Rome, Italie - Pdv Lovina

Nous étions enfin rentrées à notre villa.

Luciano était rentrée lui aussi en Italie mais avec ses « camarades » étant-dit qu'ils se ferait attraper s'ils passer légalement.

Il vient d'ailleurs nous rendre visite de temps en temps... Il a aussi rencontré son père qui l'a facilement accepté contrairement à son oncle qui ne l'apprécie pas trop, mais reste reconnaissent qu'il ait berger et nourrit ces filles lorsqu'elles étaient jeunes.

Je continuais de m'occuper de Pauliina bien qu'elle arrive bien à se gérée.

-C'est fou, je parie que en grandissant elle deviendra vraiment silencieuse et intelligente, pas vrai Antonio ?

Déclarai-je ébahie par sa vitesse d'apprentissage.

Antonio, qui regardai de loin était aussi surpris que moi.

-C'est sûr, elle est assez en avance sur son âge depuis qu'elle est toute petite.

Alors que m'apprêter de rejoindre la petite, mon téléphone sonna.

-Antonio, surveille Pauliina, je reviens.

Après ça, je m'enfermai dans ma chambre et décrocha.

-Tu ose me rappeler sale traitre !

-Calme, comment par un bonjour, c'est la moindre des politesse...

-Tu pense vraiment que je vais être polie après que tu te sois servie de moi !?

-Bon, oublions-ça, je suppose que tu veux savoir pourquoi je t'appelle... ?

-Exactement connard !

-comment dire... C'était pour savoir comment tu vas...

-...Qu'est-ce que tu en as à faire de toute façon !?

-C'est en partie de ma faute que je t'ai « vendu » ... Je regrette juste un peu...

-... Tch... Tout va bien, je me porte parfaitement, voilà, ça te va !?

-Je suis désolé, je ne compter pas te rappeler ...

Je soupirai.

-Bon, bye, addio stronzo !

Je raccrochai à ses mots et sortie de la chambre mais je trouvai Antonio cloué à la porte.

-Antonio ? Je t'avais demandé de surveiller Pauliina !

Je l'esquivai mais celui-ci me rattrapa me tira le bras, m'obligeant à le regarder.

-Feliciano est arriver et s'en occupe, maintenant, je voudrai que tu me dises qui était au téléphone et qu'est-ce qu'il t'a dit !

Je lui souris et répondit.

-C'était Padre, on s'échanger juste des nouvelles, c'est tout.

Alors que j'essayer de fuir, il ne me lâcha pas le bras.

Je commencer à stresser, mon rythme cardiaque augmenter tandis que ma respiration devenait laborieuse.

Un sentiment de peur fit alors surface.

-Tu ment, dit le moi ! Je ne veux pas que tu risques une nouvelle fois ta vie !

-C-ce n'est rien... N-nous nous s-sommes é-échanger des nouvelles.

Je continuais d'essayer de me libérée de son emprise mais il ne lâchait pas et me regardai d'une façon dont je ne l'avais jamais vu... Il avait l'air vraiment en colère, il avait un regard à la fois sérieux et noir.