Bad'boy

13-Mon "pari".

Treize.

PDV ALEX.

Elle se retourna et ses cheveux fouettèrent mon cou. Elle s'assoie sur le canapé et je la porta pour la blottir contre les bras.

-Désolé d'avoir mis un de tes t-shirt, j'aime ton odeur.

-Pas grave, ma princesse.

J'utilise le "Ma" pour qu'elle sait qu'elle est à moi et seulement à moi. Je suis attachée à elle.

Mon téléphone vibra:

*Hey gros, alors le pari?*

Putain de merde j'avais oublié ce putain de pari, Je suis con d'avoir accepté... Je veux pas lui faire ça, elle est si fragile.. et si elle va me savoir elle va me quitter et je ne suis pas du tout prêt à la quitter.

-Alex?

-Oui princesse.

-Tu me promets de ne plus embrasser aucune fille?

-Non.

-...

-Aucune ça veut dire toi aussi, donc si tu veux dire juste t'embrasser oui biensur. Rigolais-Je.

-Et tu me promets de ne pas me considérer comme Jessica?

Ça me fait mal au cœur qu'elle pense ça, Mais d'un côté elle a raison de demander sa. Mais comment j'étais comme sa?

-Comment tu peux dire ça?

Je ne sais pas pourquoi, Mais je sens qu'elle manque d'affection, c'est pour ça que je m'occupe d'elle vraiment bien.

PDV JENNY.

-Tu sais, j'ai jamais eu quelqu'un qui s'occupe, Et ce soucit de moi, tu es la première personne qui fait ça. Dis-je

Il me regarda et ne tarda pas à plaquer ses lèvres contre les miennes. Comme si sa vie en dépendait, comme si c'était la dernière fois. Ce baiser était sauvage, et doux en même temps.

-Alex...

Ma voix est tremblante.

-Oui?

-C'est...c'est vrai que tu as fait de la prison?

Il baissa le regard Et je pouvais voir des larmes dans ses yeux.

-Si je te raconte, tu me quitte?

-Je te quitterai jamais Alex, jamais.

Il sourit et plongea son regard dans le mien:

-Depuis deux ans, mes parents sont morts. J'ai piqué une crise Et je n'en pouvez plus, donc j'ai jeté un vase et c'est atterri sur la tête de la petite sœur de Donald. Jenny ne me quitte pas je t'en pris. Je n'avais personne à qui parler, je me confie à personne s'il te plaît, ne me quitte pas.

Et il commence à sangloter.

-Je ne vais pas te quitter pour quelque chose du passé. Dis-je en lui caressant le dos et les cheveux.

Il leva la tête et déposa un long baiser sur mes lèvres. Je commence à tomber amoureuse... Je ne sais pas, d'un côté, je sais pas, d'un côté, je me sens en sécurité dans ses bras.

Je sais qu'il n'est pas bien, mais je l'aime, Et je sais pas quand le lui dire...comment il va réagir? Lui il a des sentiments pour moi?

-Je te dérange si je vis ici, pour le temps de trouver une maison? Demandais-je.

-Tu n'en n'a pas besoin, tu vis ici pour toujours.

-Et mon frère?

-Il se fait battre par ta salope?

-Non.

-Alors voilà.

-Ok.

PDV ALEX.

Je n'aime pas la voir comme sa, la Jenny pleine de vie est ou? Pourquoi elle n'est pas heureuse?

-Pourquoi tu es triste, mon ange? Dis-je.

-J'ai mal.

-Ou?

-Il faut le répéter?

-Oui.

-Problème de femme.

-Ah oui c'est vrai, merde!

-Haha.

On se metta dans le salon, sur le canapé. Elle mets son crâne dans mon cou, Et regarde la télé. Elle est trop mignonne putain! Soudain, je vis ses paupières se fermer Et ses lèvres légèrement entrouvertes. Haaah j'en avais envie! Je m'endors à mon tour.

Je me réveille en sursaut, Jenny n'est pas dans la pièce. Mais ou est-elle? Maintenant je sens ce que sentent les meufs à qui je vais chez eux pour un coup d'un soir Et va discrètement. Un petit papier est posé sur la table basse:

~Coucou, je suis au lycée je ne voulais pas te réveiller. PS: tu ronfles trop!
Petit singe.~
Moi ronfler? N'importe quoi.

~hey gros, alors tu sors avec ton pari?~

Mon "pari". Comme si c'était un objet. Merde. Pourquoi j'ai accepté ce pari? Quand elle va savoir elle va... je sais pas. Bon, Alex, reprends toi et ne pense pas au futur!

~Tu la nomme encore comme ça je fout mon poing dans ta gueule~

~rooh calme c'est bon~

Je décide de sécher aujourd'hui. Et ce soir je vais en boîte avec mes potes, donc je demanderai à Jenny si elle peut venir.

PDV JENNY.

Je sonne chez lui, ou j'habite maintenant?  La porte s'ouvre, Et un sourire se dessine sur le magnifique visage d'Alex.

-Coucou toi! Crit -il.

-Hey.

-Tu m'a manqué mon ange.

Il me porta comme un sac à patate, Et me mets contre le mur Et plaqua ses lèvres contre les miennes. Il mets ses mains sur mes cuisses et me soulèvent, Et j'enroule mes jambes sur ses hanches.

Nous nous arrêtons, à bout de souffle, dans la même position. Mon front contre le sien, il brise le silence en disant:

-Je ne peux pas m'en passer de toi.

Mes joues deviennent rouges cramoisies. Il rit et me dépose délicatement au sol.