2. GENRE COMBIEN ?

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Chapitre 2

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Chapitre 2

Il m'attire à l'intérieur sans que je ne puisse réagir. La surprise m'en a empêché. À l'aide de son bras, il m'entoure le cou tandis que de l'autre, il pointe son arme sur ma tempe. Il m'emmène dans le salon où sont regroupés 4 autres hommes en cagoule d'après leur corpulence.

— Les mecs ! On peut mettre le plan à exécution ! s'écrie mon "ravisseur".

Quoi ? Quel plan ? Putain, j'étais juste censé allée à un rendez-vous pas être prise en otage ou je ne sais quoi. L'arme est toujours pointée sur moi pourtant je ne stresse pas. C'est pas comme si c'était la première fois. Pour l'instant, je ne dois rien tenter tant que je ne sais pas de quoi il en retourne.

Mon ravisseur me traîne à travers ce palier suivi de son groupe. Un de ses hommes défonce la porte située à la gauche de l'ascenseur puis ils pénètrent à l'intérieur de cette suite.

— Mains en l'air ! crie l'homme qui me retient.

Puis il me pousse dans un salon luxueux. Cet hôtel pue le fric. Mes yeux s'écarquillent quand j'aperçois les inconnus de l'ascenseur ainsi que mon père et un autre homme en costard. C'est quoi leur délire avec les costards ? Dès qu'ils m'aperçoivent avec un flingue visé vers ma tempe, ils se lèvent tous d'un bond.

— Faites un pas et je tire ! il les menace. 

Moi, je dois juste avoir l'air pressée d'en finir.

— Ne la touche pas ! s'écrie mon père en s'avançant.

Mon ravisseur le vise. J'en profite à ce moment pour lui écraser le pieds. Il grogne de douleur, je lui donne un coup de boule. Putain ! J'ai l'impression d'avoir cogné un rocher ! Je m'empresse d'attraper son flingue et de l'assommer de toutes mes forces avec. Ce dernier tombe sans retenu. Un de moins !

— Pose ce flingue si tu veux pas qu'on tire ! ordonne une voix grave.

Je me tourne vers l'interlocuteur et remarque que tous les hommes en costard sont maintenant en danger puisqu'ils ont tous un flingue pointé sur eux. Ils on pourtant l'air calme. Ils peuvent pas se battre ? C'est pas parce qu'ils sont riches que je vais faire tout le boulot ! Sûrement l'habitude ! Sacré gros merdier !

— Pose ce flingue et donne-le moi, il énonce.

Je lâche l'arme puis le pousse vers lui du bout des pieds. Génial ! Je suis sans armes maintenant ! J'aurai pu refuser mais ça n'aurait servi à rien. Je suis dans une impasse.

— Bien, maintenant tu me donnes tout ce que t'as.

— Pardon ? je m'exclame.

— T'as très bien entendu, il déclare.

Je soupire puis enlève mes sandales d'une lenteur insupportable.

— Tu fous quoi là ?

— Ben je te donne tout ce que j'ai ! je clame.

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