chap 9: monsieur kim

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(La journée du "interdiction au non" peut commencer!) Je partis me doucher avant de rejoindre tae pour sortir. (Oui, on sèche encore! Un problème peut être?)

On sortis du lycée dans le plus grand des calmes puis on prit le train.

-On va où ? Demandais je à tae.
-À Séoul.
-Séoul? Pourquoi faire?
-Voir mon père.
-Ton père? pourquoi faire?
-J'ai des choses à lui dire.
-Des choses à lui dire? Pourquoi faire?

Il tourna la tête vers moi.

-C'est ça, fait le malin.
-Le malin? Pourquoi faire?
-Tu vas continué pendant longtemps?
-Je sais pas! J'ai vraiment envis de te faire chier aujourd'hui!
-Moi de même. Tient d'ailleur, tu paye mon repas aujourd'hui.
-Dans tes rêves!
-T'as pas vraiment le choix. A moins que tu veux que je t'amène de force au labyrinthe ?

(Merde! Il vaut mieux que je la ferme pour aujourd'hui!)
Une fois arriver à Séoul, on alla mangé dans un fast food.

-J'ai pas beaucoup d'argent alors molo! Dis je à tae.
-T'inquiète!
-Bonjour! Nous dit une fille qui travaillait au borne.
-Bonjour. Alors je voudrais, un hamburger avec du frommage, avec un ice tea, une grande frites, une glace vanille et un frappé.
-Et pour vous? Me demandât elle.
-Heuuuu... De l'eau. L'eau c'est bien. Sa nourrit beaucoup... Et sa déshydrate...
-Sa vous feras 8euros.
-8euros? Dis je en comptant mon argent.

Je lui donna presque tout se que j'avais dans mon porte monnaie. Il me restait actuellement 30 centimes. Quelques minutes plus tard, on prit notre commande et s'installa à une table.

-T'étais obliger de prendre tout ça? Lui demandais je un peu énervé.
-Bas quoi? T'as eu asser pour payé non?
-Parce que j'ai rien pris...

Il prit son sandwich et croqua dedans.

-Mmmmh! C'est vraiment trop bon! Dit il pour me narguer.
-C'est ca! T'etouffe surtout pas!

Il fit un sourire avant de couper son hamburger en deux. Il m'en tendu une partie.

-Tient! Tu m'fais pitié. Fit il en le mettant sur ma bouche.

Je le pris en main et le mangeait en souriant. (C'est vrai que c'est bon cette merde putin!)

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Une fois notre repas terminé, on se dirigeat cher son père. Tae s'arrêta devant la porte d'un immeuble dans un cartier asser pauvre. Il eut un temps de réaction avant de toquer.

-Père, c'est moi, tae-hyung. Ouvre!

J'entendus pleins de bruit, comme si la porte était fermé à double tour, avec des cadenas et autres. La porte s'ouvrit légèrement. Tae me prit le poignée et nous fit entré avant de fermer la porte derière nous. Le couloir était sombre et étroit. Ça faisait froid dans le dos. Je suivis tae qui n'avait pas lâcher mon poignée,  puis on arriva dans une pièce presque vide où se trouvait un homme asser âge qui devait sûrement être son père.

-Qu'est ce que tu fais la tae-hyung ? Tu n'es pas en cours? Il est arrivé quelques choses de grave? Quelqu'un t'a fait du mal? Demandât son père d'une voie étrange.
-Non père, tout va bien.

Son père me dévisagea.

-T'es qui toi? Dit l'homme en me montrant du doigt.

Sa main tremblait.

-Je suis, un ami de tae.
-Tu as des amis maintenant tae-hyung ? Tu ne te fais plus frapper ?  Lui demandât il.
-Oui père, j'en ai. Tout a changer.
-J'ai bien fais de te faire entrer dans cette école! Toi qui pleurnichais tout les soirs pour que je te change d'école, maintenant tu es un bon fils! Dit il en s'asseyant sur le canapé déchirer.

Je n'avais pas arrêter de fixer tae. Il ne regardait pas son père dans les yeux, il fixait le sol. Je ne savais pas si il avait peur de son père ou si il avait trop d'honneur à son égard, mais je n'aimais pas ça! (Ce n'est pas le tae que je connais!)

-Tu te sens comment père aujourd'hui ?
-Parfaitement bien! Comme d'habitude! Ne pose pas de question inutile! Va travailler! J'ai besoin d'argent!

Tae prit l'argent se trouvant dans sa poche et le lui tendu avec ces deux mains. Son père lui arracha presque des mains avant de compter combien il y avait d'euros.

-Je t'en ramènerai plus la prochaine fois, mais s'il te plais, dépense le dans tes médicaments.

Son père ne lui répondait pas, il était trop occupé à regarder l'argent que Tae lui avait donner. J'entendus tae soufflé. J'enlevai ma main de son poignée pour lui prendre la main. Il la regarda puis leva légèrement la tête vers son père.

-On va y aller maintenant.
-Oh! Oui, allez y! Allez y! Dit il s'en nous regarder.

Tae nous fit sortir, on s'éloigna de la maison de son père avant que Tae ne s'arrête.

-Désolé, je n'aurai pas du te faire venir ici... Mais, c'est juste que...

Il regarda nos mains enlacer.

-C'est juste que je suis faible face à mon père.

Je le regardai sans rien dire, attendant la suite.

-Comme tu as pu le constater, il est malade. Je fais tout mon possible pour ne pas craquer devans lui mais c'est dur. Depuis que ma mère est morte, il a une tumer métastatique qui le ronge petit à petit. Malheureusement, les médecins ont dit que c'était trop tard pour l'opérer.

Il leva les yeux au ciel. (Il retient ces larmes, je suppose.) Je lui caressa sa main avec mon pouce. Quelques secondes plus tard, il lâcha ma main et me regarda dans les yeux.

-Bien évidemment, ne raconte ce que je viens de te dire à personne.
-Si tu veux, je pourrai t'accompagné la prochaine fois que tu irra. Dis je avec un léger sourire.

Il hocha positivement la tête puis avança. Je le suivais jusqu'à la gare. On prit le premier train pour Ansan. Pendant le trajet, tae regardait par la fenêtre.

-En faite, t'es vraiment gentil.

Il tourna la tête vers moi, choqué par mes paroles.

-C'est vrai quoi! Tu t'occupe de ton père en supportant le faite que ta mère sois morte. Tu n'es pas effondré, tu te bat. Tu aurai pu ne pas me passer la moitié de ton repas ce midi mais tu l'as fait, et j'apprends que tu n'as pas été un petit caïd avant d'entrer dans ce lycée. En faite, j'ignore beaucoup de chose sur toi. Tu parais froid et sournois, mais en vrai tu es attentionné et généreux.
-Arrête ça! On dirai que tu vas me déclarer ta flamme. Crois moi, avec toutes les personnes que j'ai tabassé sans aucunes raisons...
-C'est faux! Il y'a une raison, non valable pour frapper des innocents par contre. Tu défoulais ta colère sur eux. Comme lorsqu'on s'est battu tout les deux. Moi j'étais en colère car ma mère "m'avait abandonné" et toi car ton père n'avait pas utiliser l'argent que tu avais gagné pour ces médicaments. Je me trompe?
-...

Je pris sa main.

-Si tu as un problème désormais je suis la. Les meilleurs amis sont fait pour s'entre aider.

Il souriat puis m'ébouriffa les cheveux.

Very BadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant