Toi, et toi seule que je veux t.1 【RÉECRITURE】

Suite du Chapitre 4 (accident, suite): Premières Larmes, première nuit

Bon les cocos, je fais la suite du chapitre 4 ! Comme ça, vous savez qui a parlé à la fin. Normalement vous savez xD. Je fais pas depuis tout le début car ça me prends déjà beaucoup de temps pour mes autres fanfics que je commence à créer. Sinon les cocos, bonne lecture !😊

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— JE VAIS VOUS MASSACRER ! VOUS, SHU ET LAITO !

Une voix, dans une colère noire fit arrêter l'activité des deux vampires. Sa colère fut si intense, qu'on pouvait entendre les oiseaux s'envoler dans les cieux.

— Ferme-là, abruti. T'es vraiment bruyant comme gamin. T'entendre me donne la nausée.

Les esprits brouillés, (T/p) pu distinguer la voix de celui qu'elle attendait depuis la fin de la journée.

Ayato-kun...

— Ayato-kun...aide-moi, s-s'il te plaît..je-

Les larmes aux yeux, la gorge nouée, elle tomba dans l'inconscience. Cette vue énerva d'avantage le roux.

— Lâchez-la, enfoirés. Shu, je te promets, je ferais en sorte que ta tombe, soit la plus belle de toute. Y compris la tienne, Laito.
—

Quel dommage, il est temps pour moi de m'enfuir ~
— Tss, t'es buté-

Un coup de poing lui coupa la parole et il tomba à terre. Son nez saigna et il grogna, sans faire quoique ce soit. Le blond ne répondit en retour. Pas qu'il n'avait peur. Juste qu'il trouvait futile d'en venir aux mains, juste pour une fille.

Ayato n'oublia aussi son petit-frère, puis il frappa son ventre. Faisant alors cracher du sang de celui-ci.

Il prit sa proie dans ses bras en mode princesse et accouru à sa chambre, la déposer sur son lit.

Ellipse du trajet

— Argh..ma tête.. gémissait la (c/c), Aïe ! Ah, mon Dieu, ma jambe ! M-mon cou.. Seigneur, j'ai si mal..

(T/p) caressait les endroits sensibles, et remarquait qu'ils étaient pansés. Elle se frotta les yeux et se rendit compte qu'elle était dans la chambre d'Ayato.

— A-Ayato...? Ayato-kun ?
— C'est bon, je suis là.

Lorsqu'il apparu dans son champ de vision, les larmes dévalèrent de son visage. Elle sentait qu'elle était enfin en sécurité.

Lui, vint étreindre celle-ci. Il ne voulait plus la lâcher. Il ne voulait plus la blesser.

— Si tu veux pleurer, pleure.

Si je pleure, tu ne vas pas me juger, hein ? Tu ne vas rien me dire non plus, hein ?

Ni une, ni deux, la pièce fut remplie des bruits des sanglots de (T/p). Tandis qu'on lui caressait les cheveux, ainsi que le dos.

La voir pleurer brisait le cœur du jeune homme. Il ne voulait plus la voir aussi triste. Il ne voulait plus que ça arrive.

— J'en peux plus..j-j'en ai marre de vivre ici ! J-je veux rentrer chez moi !
— Tu as raison. Je pense que tu devrais rentrer chez toi.

Et...lui ?

— Je vais commencer à préparer tes affaires.