Chapitre 21

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Directement après que je sois rentrée dans mon appartement, je fila sous la douche. Ce fus la plus longue douche du monde, plus d'une heure assise en boule dans une petite baignoire, le jet d'eau faisait ruisseler une chaleur dont j'avais bien besoin a ce moment. Le froid avait envahi la majorité de mon corps comme si la rigidité d'un cadavre avait pris possession de moi.

Youhou!! Petit cerveau où es-tu passé? ma tête est vide, c'est une sensation spécial.

Pendant mon adolescence, il m'arrivait souvent après une violente journée, de m'isoler, pour déconnecté mon cerveau de tout le mal qui m'entourait​. La salle de bain était le lieu le plus sur de ma première habitation, c'était aussi un peu le seul verrou de la maison a ne pas avoir encore caché. Je pouvais laver mon esprit de toute les perversion malsaine dont j'étais la cible.

Alors que je m'affalais sur le canapé vêtu d'un vieux jogging noir trop largue pour moi, un top-crop noir dos nu avec un gilet de laine au croché beige, qui tombé de mes épaules dévoilant les ailes tatoué dans mon dos, le symbole du jour où tout a changé, la représentation d'un être bien trop loin maintenant.

Mon portable sonne encore, c'est la 8eme fois mais je ne répond pas, pourquoi vous allez me demander? Car tout simplement les appels viennent de Jinyoung, ou encore Mark, des sms de Bambam me demandant des explications. Le jeuno se prend pour un grand.

N'en pouvant plus émotionnellement parlant, je démonta la batterie de mon HellPhone pour me murer dans le silence. Par la fatigue, mes yeux se fermaient petit à petit délaissant un instant ce monde qui je ne sais pour quelle raison, ne me laisser aucun répit.

(éclipse)

Il fait noir, je ne comprend pas pourquoi. Quand j'ouvris les yeux la lune était déjà bien haute dans le ciel. Rivant mes yeux sur la grande horloge du salon, je compris vite que la nuit était bien avancée, heureusement pour moi je ne travaille pas demain. Après mon état alarment de la journée, ma manager m'avait gentiment donné quelques jours de repos car c'est vrai que dernièrement je n'avais pas chaumé niveau travail. C'était bien mérité je pense, puis ça me permettra de prendre un peu de distance avec les garçons et surtout Jaebum, espérant qu'il arrive à faire passer la pilule. Prenant la décision de manger un petit truc même si l'appétit ne suit pas, je dois reprendre un minimum de force après la fatigue sentimental que dont j'ai été victime. Je pris un yaourt, c'est tout ce que mon estomac veut bien supporter pour le moment.

Suite a cet encas, la cuillère posait sur la table base encore chaud, on vint frapper à ma porte.

Seigneur, j'ai peur. Le pas faible, faisant face à cette planche de bois me séparant de ce dérangement tardif, je sursauta quand celle-ci se remise a diffusé le son d'une main percutant le chêne. Quand j'allais poser mon œil dans la lunette en verre pour voir mon visiteur nocturne, un voix se mit à hurler de leur coté de la porte.

...- OUVRE! ON SAIT QUE TU ES LA.

...- calme toi Jae. Si tu commence à lui gueuler dessus, elle n'ouvrira jamais.

...- tiens pour une fois que Jackson dit un truc censé.

Je reste là, tétanisé par la colère de Jaebum mais aussi par le calme dans la voix des autres, le doute prit place dans mon esprit. Le temps de mettre les chose au claire était arrivée, bien trop tôt pour moi, ma main enclança la poignet et resta un instant avant d'agir. la porte s'ouvrit sur leurs visages étonnés, mes yeux fuyaient leurs regards tout en me poussant sur le coté afin qu'ils puissent rentré dans ma demeure.

On s'est installé dans le salon, les garçons divisaient en deux sur les sofas tant dit qui je me renfermais sur moi, les jambes remontaient sur la poitrine. J'enlachais mes genoux de mes bras, me retrouver sur ce fauteuil observé par ses yeux accusateurs. Jaebum ne me prête aucune attention, il retient ses paroles sûrement sur l'ordre de son hyung.

Sais tu a quel point j'aimerai que mon coeur cesse de souffrir? avoir une seconde chance pour vivre ainsi, dieu tu aurais du me laisser sans m'offrir ce nouveau souffle de vie.

- fin du chapitre 21-

VERSE 2.0 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant