chapitre 16

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On avait fini la journée de travail dans un petit restaurant connu des idoles coréennes, c'était plutôt sympa.
J'ai pu croisé les blackpink, très gentilles, mais quand Lisa me dit qu'elle connaît très bien Bambam, j'ai peur d'un coup.
Et si elle lui parlait de moi?
Elle lui dévoilerait peut-être mon identité, elle m'a vu en jupe Kilt, un chemisier en dentelle noir transparent, mes tatouages était apparent et je vous passe les détails sur les accessoires très rock punk.

Pour essayer de sauver ma peau, je lui sors la vieille excuse du « je l'ai croisé une fois à la machine à café, très gentil». Espérant que j'ai réussi à me rattraper, sinon je vais devoir avoir des explication. Et j'ai pas trop envie, je commence juste à avoir leurs confiances je ne veux pas tout gâcher maintenant, puis je ne veux pas les mettre en danger.

Je leurs dirait peut-être toute le vérité un jour, enfin presque tout.

(Éclipse de la route)

La voiture noir aux vitres teintées rentrait dans la rue qui mène au parking de l'agence, je pu voir de loin JaeBum qui attendait devant le bâtiment, faisant les cents pas.
MERDE, qu'es qu'il fiche là?
Si je sors de la voiture, je suis foutu.
Vite, réfléchi. Dans le coffre il y a mon sac de change!!! Je le prend souvent avec moi, quand on finit tard les rendez-vous ou que de nouveaux éléments viennent perturber mes projets, je préfère avoir de quoi prendre un bus incognito.

Comment je peux faire pour le récupérer sans que l'on me voit? Me glissant entre les deux sièges arrière, je pouvais à peine le toucher du bout des doigts. Nous voilà garer, je fais signe à ma manager et au chauffeur de sortir comme si de rien était que je devais impérativement me changer.

Après 10min à me débattre pour attraper ce maudit sac, je peux enfin démarrer la partie transformation.
Plus les minutes passe, plus je le vois s'agiter devant l'entrée, je fais le plus vite possible mais vous croyiez que c'est simple de bouger sur la banquette arrière d'une voiture, alors que l'on a un sac qui prend la moitié de la place.

Après 25minutes à me tortiller dans tout les sens, je fus prête à mettre en place mes talents de comédienne.
Sortant discrètement de l'autre côté du mini van, je ferma la porte en douceur pour ne pas attirer l'attention

Faisant semblant d'arriver à pied-
Hey... qu'es tu fais là? Tu attends les autres?

Jb- à vrai dire, c'est....toi..que j'attend.

Lui faisant ma tête la plus confuse, il commença à rire.

Jb- et bien ma chère miss casse bonbon, je viens te kidnapper.

Moi- même pas en rêve, petit pervers.
Tu crois que je t'ai pas vu profiter du fait que je dorme pour occupé dans ma chambre. J'avais dis dans le salon.

Il passa son bras au tour de mon coup, m'entrainant avec lui dans un de ses délires. L'on atterri dans un petit parc, où une balançoire en bois pendu à la branche d'un arbre surplombant une petite colline, la rivière Cheonggyecheon.
Assis de force sur le bout de bois tenu solidement par deux cordes, JaeBum commença à me poser, un instant enfantin et joyeux. Il avait totalement changé, souriant à tout bout de champ l'impression d'avoir une autre personne face à moi. Que me veux-tu?

Stoppant le mouvement de balancier, il se posa sur le tronc de l'arbre tordu tirant la chaise encore en mouvement vers lui. Je me retrouvé proche de lui, mon visage rougit et je baisse comme par automatisme de défense la tête.

Un rictus se forme aux coins des lèvres de ce dangereux prédateur, quand il rapprochant son visage du mien. Stop, arrêt toi. Je tourne ma tête lui présentant ma joue, il senti le parfum de mes cheveux et se dirigea vers mon oreille me murmurant doucement.

Jb- c'est marrant ta réaction. Je ne sais pas à quoi tu pense, mais je pari que ce n'est pas très catholique.

Je le frappa sur l'épaule, lui envoyant mon pied dans le tibia. M'éloignant de lui le temps que mon visage reprenne une couleur presque normal, il vient m'entourer de ses bras ce qui ne n'aidait pas.

Jb- ne fait pas la tête, c'était drôle quand même.

Moi- désoler mais le style Don Juan ne te va pas.

Jb- je vais te dire un secret pour le faire pardonner. Je le regardis une boue sur les lèvres. Personne avant toi n'est venue ici, c'est mon coin, mon refuge, et je voulais le partager avec toi.

-fin du chapitre 16-

VERSE 2.0 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant