Préparer le feu de joie : fait
Appâter ma victime : fait
L'emmener à l'endroit du feu de joie : fait
J'eus un petit rictus tandis que les mains de ma future victime parcouraient mes hanches avec envie. Doucement, je me recula de lui ce qui me valut un regard surpris. Il ne mit pas longtemps avant de devenir remplit de terreur. C'était fou comme une simple allumette pouvait faire peur.
Je me saisis d'une barre en métal et frappa l'homme en pleine tête avec. Il tomba au sol, terrifié. Ses appels à l'aide étaient inutiles. Je n'attendus pas plus et le badigona d'essence. Il s'était mit à sangloter, je roula des yeux.
Encore un qui mourra en trouillard... Pensais-je avant de jeter l'allumette à l'apparence si innofensive sur l'individu. Le feu se propagea en un rien de temps, attirant les curieux. Les cris déchirant de ma victime me firent sourire niaisement.
L'homme, dans une tentative désespérée de survivre, se dirigea dans la rue principale. Quel magnifique chant qu'est celui des cris horrifiés ? Je ne le sais point. Je partis du côté opposé à l'homme. Je me promena tranquillement dans les rues.
Je mettais imposée qu'une seule limite à ma sortie de l'hôpital psychiatrique : Pas plus d'un par jour. Le plaisir serait moins présent si j'en faisais plus, voyez-vous. Cette activité est bien trop jouissive que j'avoue avoir bafouée à quelques reprises ce commandement.
Les êtres humains ne se dévoilent que lorsqu'ils savent leurs vies menacée. Chaque humains qui était passé entre mes mains m'avais offert une satisfaction unique. Si unique que nul autre ne pourrait la reproduire. Ni le précédent. Ni le suivant. C'était ça la beauté de mon activité à mon sens.
Je trotinna gaiement jusqu'au car que j'allais emprunter. Depuis que j'avais échappée aux griffes de mes toubibs, la police me recherchais. Pas activement mais assez pour me décourager de rester trop longtemps au même endroit. Le voyage en car me permis de dormir paisiblement. C'était un luxe pour moi à présent.
Les temps de repos sont devenut si rare.... Je ne me réveilla que lorsque j'arrivais à destination. Je sortis en dernière du transport. Le conducteur me fusilla du regard par l'intermédiaire de son rétroviseur puis partit à toute vitesse. Je ne me démonta pas pour autant et partis en quête d'un endroit pour passer la nuit.
Je jeta finement mon dévolu sur une cabane abandonnée dans un arbre à quelques pas de la ville. Le calme de la foret était rassurant et stressant. Les moteurs des voitures et les voitures de police ayant été mon quotidien depuis bien huit mois. J'avais peur que l'on me retrouve malgré que je ne sois ici que depuis même pas trois heures.
En général, la police m'était un bon mois et demi à comprendre que j'étais présente dans leur ville. Le délai était toujours le même. Comme quoi, ils ne retenaient pas de leurs erreurs. Je posa mon sac sur le sol de la cabane. Je l'ouvris et saisis des lingettes démaquillantes.
Avanr de faire quoi que ce soit avec ses dernières, je ramèna mes chemins en une queue de cheval, retira mon écharpe et mes gants d'un noir profond. Une fois fait, je fis glisser ma veste en cuir jusqu'à mes coudes puis la posa avec le reste. Mes bras, mes mains et la partie gauche de mon visage maintenant à découvert, j'entrepris de passer les lingettes démaquillantes sur ses zones.
Résultat : dix lingettes recouvertes de fond de teint. Ma peau enfin à l'air, je pus la désinfecter avec mon petit kit. Dire "ma peau" était un grand mot à vrai dire. Lorsque je me suis enfuis de l'hôpital dans lequel on m'avais enfermée, les flammes m'ont laissées de beaux cadeaux.
Mon côté gauche avait été le plus touché. Ma paupière avait été comme soudée m'empêchant de voir de cet oeil, tout ce qu'il y avait autour portait encore les cicatrices indélébiles de cet événement. Mes mains aussi avaient été pas mal touchées. Mais malgré leurs apparences répousantes, elle fonctionnaient parfaitement bien.
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Lycée Fearcries : Un lycée de Creepypasta
FanficLes cris de leurs victimes brisent le silence de la nuit chaque nuit. ****** Sadique, Psychopate et Terrifiant pour la plupart, de ceux qui savent qu'ils existent peu sont encore parmi nous.