Lycée Fearcries : Un lycée de Creepypasta

Chapitre 22

PDV Elly

Je poussa un soupire satisfait en refermant mon livre. Cela faisait maintenant trois bons mois que j'avais commencée ce livre et il était vraiment... Incroyable ! Je poussa un bâillement en regardant par la fenêtre. En ce temps de l'année, les environs étaient recouvertes de neige. C'est vraiment magnifique. Soudain, mon esprit fit remonter la raison de ma présence dans ce bus. Cela faisait maintenant presque six mois que j'avais decidée de ne pas revenir au manoir de Slender et me contentais de faire mes barbecues de gens loin de cette zone. Néanmoins, je ne pouvais m'empêcher de regrettée à certains moments. De plus en plus depuis quelques temps enfaîte. 

Après c'était mon choix, c'est moi qui suis partis sans rien dire. Je voulais retrouvée l'envie de tuer, l'adrenaline que cela me donnait. Mais plus que cela, je voulais comprendre qui était Zalgo et qui j'étais. Eulalie était ma seule solution. La retrouvée n'as pas été difficile. A vrai dire, je pense qu'elle m'attendais. Enfin bref, je l'ai rencontrée au même endroit qu'à notre première rencontre. Je n'ai eus qu'à demander pour qu'elle accepte de me dire ce que je voulais savoir.

D'après elle, avant d'être internée, j'étais une adolescente nommée Shaylïn mais que Shay était mon surnom et la façon dont je voulais que l'on m'appelle. J'étais donc assez normale. Néanmoins, lors d'une soirée un peu arrosée moi et ma meilleure amie auraient eut un accident. Elle serait morte peu de temps après l'accident. Le temps que le jugement n'arrive, j'aurais intégrée un lycée aux abords de la foret ou se trouve les creepypastas. La police aurait finalement finit par venir me chercher et j'aurais été envoyée en hôpital psychiatrique car j'aurais mentionnée l'implication d'une hallucination récurrente nommée Ayake durant le procès. 

Je lui raconta alors ce qui c'était passé de mon côté durant tout ce temps. Elle en parut très attristée. Elle me mit à disposition son canapé le temps que je trouve mieux. Je rejeta sa proposition. Eulalie était gentille mais moi, j'étais une tueuse. La tentation aurait été trop grande. Je suis donc partit de cette ville et me suis payée un petit hôtel en attendant mieux. Après cela, j'ai commencée à collecter de l'argent sur mes victime pour pouvoir payer l'hôtel. Le temps à passé et j'avoue commencée à ressentir la routine s'installer.

Ou du moins c'était ce que je pensais il y a encore peu. Il y a quelques jours, j'ai été attaquée par des hommes de mains de Zalgo. Ils m'ont dis que leur maître va revenir et tout détruire. Les creepypastas et moi inclus. Les intentions de Zalgo me sont inconnues mais je ne pense pas que j'ai assez de ressources pour repousser ses assauts seule. Je ne n'avais aucune intention de retourner près des creepypastas mais je n'ai pas vraiment le choix à présent.

Le bus s'arrêta enfin et les portes s'ouvrir. Immédiatement, une bourrasque de vent gelée emplit le bus. J'eus un frisson et entrepris de sortir du véhicule, mon écharpe remontée jusqu'à mon nez. Avec le temps et des crèmes réparatrices, mes brûlures avait reprise une teinte proche de celle de ma peau. Cela m'avais grandement aidée à passer inaperçu.

Je longea les rues de la petite ville tandis que des souvenirs datant de quand j'avais intégrée le lycée de la ville remontais doucement. Le puzzle qu'était ma mémoire avait été grandement éclaircie par Eulalie mais aussi le temps. Mon ventre se mit soudain à gargouiller lorsque le doux fumet de la patisserie devant laquelle je passais me parvenait au nez.

Je ne songea pas longtemps avant d'entrez à l'intérieur pour en ressortir peu après avec une gaufre encore fumante. Ma petite visite se termina devant un sentier qui me paraissais familier. Je le longea un moment avant d'en voir le bout et comprendre. Le petit bâtiment qui se dressait là était entourée d'une clotture noircie par le temps. Je m'en rapprocha doucement, avalant mon dernier bout de gaufre au passage. je n'osa pénétrer dans le petit bâtiment mais je l'avais reconnut. C'était là où se trouvait le dernier lit de mon ancienne meilleure amie, Sam.