Le Secret De La Maison De Retraite

Chapitre 1 : La promenade vire au cauchemar

Je m'appelle Lina. Je suis une adolescente comme une autre. J'ai une vie tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Je me rends en cours, je sors avec mes amies. Tout d'abord, il y a Rozenn, elle a les cheveux châtain mi long, la peau de couleur blanche et elle très maligne et elle évalue vite la situation. Melle est brune aux cheveux mi long, elle a la peau mate, elle est sportive et ingénieuse. Sarah a les cheveux châtain mi long, elle a la peau mate, elle est sensée et elle est observatrice. Meryem est brune aux cheveux mi long, elle a la peau légèrement bronzée, elle est habile et a une bonne mémoire. Manon est blonde aux cheveux longs, elle a la peau légèrement cuivrée, elle est gourmande et pense parfois des choses auxquelles même le plus grand savant ne penserait pas. Marine est blonde porte des lunettes, elle a la peau blanche et est très discrète.

Nous sommes en vacances d'été, c'est un jour tout à fait comme les autres. Le soleil est radieux, il n'y a pas un nuage dans le ciel. Mes amies et moi profitons de cette magnifique journée pour nous promener dans notre quartier en discutant de tout et de rien. Peu de personne se promènent aujourd'hui, mais ce n'est pas très étonnant : il est encore tôt. Nous avançons en admirant la ville qui semble endormie.

Quand soudain, nous nous arrêtons brusquement. Manon demande : « Pourquoi nous arrêtons- nous?»

Alors je lui réponds d'un air abasourdi : « - C'est impensable! Des centaines de canards bloquent le passage on ne peut plus avancer!

-Mais de quoi tu parles! Exclame Melle.

-Venez regarder devant, si vous ne nous croyez pas, » leur propose Rozenn.

Melle, Manon, Marine, Meryem et Sarah s'avancent, devant elles, sous leurs regards ébahis se tient un nombre incroyable de canard. Il y en a de toutes sortes : des grands, des petits, des gros, des fins, des blancs, des noirs, des marrons... Nous sommes plus impressionnées les unes que les autres. C'est bien la première fois que nous voyons autant de canard au même endroit. C'est un étonnant spectacle auquel nous assistons.

Sarah rectifie : « Ce n'est pas des centaines mais des milliers de canards !

-Mais, rétorque Meryem, ce n'est plus des centaines ou des milliers de canards qui nous empêche de passer !!! On est encerclé de canards, on peut plus aller nulle part.

-Mais, non! Regardez ! On peut encore aller dans la maison de retraite, dit Marine.

-C'est vraiment étrange, s'intrigue Melle.

-Alors qu'est-ce qu'on attend pour y aller ?! S'exclame Sarah, curieuse.

-L'une d'entre nous est-elle déjà entrée ici ? » Interroge Rozenn.

Après un long silence, nous lui répondons : « non.

-Alors nous allons le découvrir ! » Dis-je.

Marine était la seule à ne pas avoir répondu à la question. Ce qui m'a beaucoup étonnée. Même si elle est discrète, elle répond toujours aux questions qu'on lui pose. Peut-être qu'elle ne veut pas en parler ou quelle n'a pas entendu la question. Nous entrons dans le bâtiment aux murs de crépi blanc.