Nous sommes prêtes à faire demi-tour, quand soudain, nous entendons une mystérieuse voix. Melle demande : « -Qui a parlé ? »
Mais aucune de nous ne répond. L'étrange son résonne à nouveau. Cette fois-ci c'est moi qui pris la parole : « Si c'est une blague de l'une d'entre vous, elle n'est pas drôle ! Surtout après tout ce qui nous est arrivé aujourd'hui !
-Mais, nous n'avons pas dit quoi que ce soit ! Nous, non plus on ne trouve pas ça drôle. Protestent mes amies.
-Alors, si ce n'est... aucune... de nous ! Qui...l'a fait ?»Bredouillé-je.
Mon cœur se rempli de stupeur. Je senti la peur glacer mon sang. L'inquiétude qui serre mon cœur fait place à la terreur désormais. Mes amies, elles n'ont pas l'air très rassurée non plus. Nous nous retournons. Quelle surprise, devant nous, ce tient un canard. L'animal s'avance. Celui-ci prend alors la parole : « Vous ne pourrez pas sortir d'ici t'en que vous n'aurais pas réussi à résoudre le mystère de cette maison de retraite. Cela fait des années que des milliers de gens tentent de le résoudre. Mais, tous ceux qui ont essayés ont été transformé en canards. Nous sommes maudits et tant que vous n'aurait pas mis fin à tout cela sera toujours le cas et vous demeurez ici.
-Il ne manquait plus que ça pour ce croire au cœur d'un roman fantastique et d'aventure ! Exclame Sarah avec désolations.
-Pourquoi nous ? Demande Rozenn avec appréhension.
-Parce que c'est votre destin. Reprit l'étrange volatile.
-Mais de quel mystère vous parlé ? Interroge Meryem.
-Eh bien, je vais vous expliquer. C'était il y a des années, il y a dix ans exactement de cela la maison de retraite a été détruite, puis reconstruite, car elle a brûlé. La police a mené une enquête. Pensant que personne n'était responsable, que personne n'avait volontairement mis le feu à cette maison de retraite. Mais, ce n'était pas un accident, comme vous le savez peut-être. Même si beaucoup de gens pensait que c'en était un et le pense encore, je suis persuadée du contraire. J'avais entendu parler de l'affaire. Alors, il y a environ un an, je suis venue m'installée ici pour trouver des indices et interroger des gens. Ainsi, je pouvais enquêter et résoudre plus facilement le mystère de cet endroit. J'avais résolu le mystère, un mois après mettre installée dans ce bâtiment. J'ai voulu tout raconter à la police. J'étais même sortie en prétextant que j'allai me balader. Bizarrement, au moment où j'ai traversé la porte... Je ne me rappelle pas ce qui s'est passé. Je me souviens seulement de m'être réveillée dehors sans me rappeler de la personne dont j'étais sûr qu'elle avait mis le feu à l'ancienne maison de retraite et cette personne m'a changé en canard. Voilà vous savez tout. Regardez où m'a conduit ma curiosité.
- C'est une blague ? Vous croyiez vraiment que nous allons croire à votre histoire ? Eh, bien non. Allez, ou sont les caméras cachés ? Interroge Melle.
-Non, ce n'est pas canular, affirme le canard d'un ton étonné.
- Dans ce cas, quel rôle doit ont joué dans cette affaire ? Demandé-je. Je ne vois pas en quoi cette histoire nous concerne.
- Même si cette affaire n'est paru dans le journal qu'une seule fois et que vous ne pensez pas être concernées en réalité vous l'êtes. Si vous ne faîtes rien, ce ne sera plus seulement cette maison de retraite qui aura problème avec ce mystère...Mais aussi toute la ville, puis tout le pays et enfin le monde entier. Tous habitants seront utilisés comme de simples jouets, des cobayes et il y a encore pire le cœur de la population deviendra si noir que chacun serai capable de faire du mal à l'un de ses proches et même à la personne qu'il aimait le plus ! Alors, un monde où la guerre fait rage, où l'espoir n'existe plus et où plus jamais personne ne sera heureux naitra. Ce sera un monde de destruction qui prendra la place de ce monde.
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Le Secret De La Maison De Retraite
Siêu nhiênMes amies et moi sommes toutes aussi ordinaires que n'importe quelles adolescentes. Mais, pourtant parties pour une simple ballade, nous voilà plongées au cœur d'une incroyable aventure pleine de mystères et de magie. Je crois que jusqu'alors je...