My Secret-Camren

🌞Chapitre 25🌞

             Passer un moment magique. Je n'ai jamais connue ça. En effet, pas avant de rencontrer la belle femme aux yeux verts. Depuis qu'elle est là, je ne vis que des moments, heureux comme malheureux. Et en disant malheureux, je fais réference à ce moment quelque peu tragidique sur le toit de mon chalet. C'était tellement intense que je ne peux oublier cet évenement. C'est la première fois que quelqu'un comprend ce que je veux vraiment. Et c'était ma belle psychologue. Je sais. Du moins, je suppose ce qu'elle ressent, mais je ne suis toujours pas prête. Elle m'a promet d'attendre, sans que je ne lui demande rien. C'était trop mignon de sa part. Connue par son fort caractère, pas trop de monde sait que Lauren Jauregui peut être trop mignonne et parfois gamine. J'ai compris tout à fait pourquoi elle a pleurée l'autre journée, du moins, je suppose encore. Ça m'a déchirée de la voir ainsi, probablement à cause de moi. Elle va m'attendre trop, et j'en suis désolée d'avance. Je ne me sens pas du tout prête. Pas maintenant. Je ne peux pas. Est-ce qu'elle va m'attendre longtemps, plutôt, elle saura m'attendre longtemps ? Sera-t-elle capable de le faire ? Ce que j'en suis certaine, c'est que sa demande au présent est tout simplement magnifique et perturbante, à la même fois.

              J'ai vite compris quand elle m'a dit... le cliché suivant. Je ne sais pas pourquoi j'ai begayée face à ça. J'ignore pourquoi ça m'a perturbée. On a un peu dépassée ce cliché. On s'est frôlée, touchée, mordue. J'ignore encore la raison la quelle on n'a jamais fais cet act. Peut-être parceque, faire cela, sera en quelque sorte un début pour quelque chose, dont je suis incapable de continuer. Pas maintenant. Mais comment résister face à ce regard. À la fois plein de désir et plein de tristesse. Oui, son regard est triste, me supplie de faire ça. Saurai-je capable ? D'ailleurs comment j'ai pu résister pendant douze jours ? C'est en cette question dans ma tête que je m'approche d'elle tout lentement. Je désir ça mais en même temps j'hésite. J'ai peur qu'elle va ésperer quelque chose que je ne saurai comment le donner. Mais c'est trop tard pour reculer. Ses lèvres m'attirent comme pas possible. La pluie tombe fort encore sur la voiture, qui est devenue soudainement trop chaude. Savoir qu'on est toute les deux en sous-vêtements, les cheveux mouilliés, rendant la psychologue encore plus attirante, ne m'aide pas á résister. Je ferme déjà mes yeux, même s'il y a encore des centimètres entre nous. J'entre-ouverts mes lèvres inconsciemment, toujours en m'approchant à l'aveugle. Ses mains ne tardent pas à se placer sur mes joues, me guidants. Elle s'approche bien plus rapidement que moi, et pose son front contre le mien. Je peux sentir son souffle chaud, accéleré sur mon visage. Je devine même qu'elle tremble. Comme moi. La mélodie de son chuchotement fait harmonie avec nos souffles et le sons de la pluie. Juste un mot. Un seul mot. Capable de me mettre dans tous mes états.

-Camz...

             J'ouvre délicatement et plante mon regard sur le sien. Elle semble si confuse, si perdue. Je ne peux que la comprendre. C'est son premier approchement avec une femme. Mais je ne lis pas que ça dans ses beaux yeux. Elle se demande sûrement si je suis prête. Lauren est assez intélligente pour cerner ce que je pense ou ce que je ressens. Après tout, c'est son travail. J'hôche trop lentement ma tête, lui donnant la confirmation de passé ce merveilleux cliché. Je referme mes yeux et approche moi-même mon visage vers le sien. Nos lèvres se frôlent. Tout un frisson parcourt mon corps, du tête à pieds. Sans oublier mon ventre qui éxplose en mille feu d'artifices, sans oublier mon cœur qui cogne rapidement contre mon torse. Je veux savoir ce qu'elle réssent. J'ai besoin de savoir ce que ce reprochement lui fait à elle. Je lève ma main droite et la place sur son cœur. Si rapide. Si rapide que je pose encore plus mes lèvres sur les siennes. Je les ouvres et passe ma langue sur sa lèvre inférieure, demandant l'accés à sa bouche. Et elle me le donne aussitôt. Nos langues se cherchent et se mêlent. Je la pousse sur son siège et me lève pour me placer sur ses cuisses. Mes deux jambes de chaque part de son bassin, ses mains se mettent sur mes hanches pour me maintenir bien contre elle. Le goût de ses lèvres est si envoûtant que je commence à regretter avoir attendue douz jours pour l'embrasser. Je n'ai jamais sentis ça en un baiser. Mes mains mentent inconsciemment vers sa nuque. Je lui mords fort sa lèvre inférieure et elle fait de même. C'est si intense, comme chaque instant passé avec elle. Comme ce moment où elle s'est juste posée devant moi et m'a admirer. Nos soufflent sont de plus en plus saccadés qu'il en faut retirer mes lèvres pour bien réspirer. Je pose encore une fois mon front contre le sien, les yeux fermés, essayant de respirer.