Chapitre 16

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MESSAGE IMPORTANT: CECI SERRA UNE SORTE DE CHAPITRE SEMI-FINALE. J'ai décidé de réécrire les chapitres précédents et mettre un peu d'ordres dans la fiction avant de reprendre l'écriture de celle-ci. Ce chapitre clora donc (en quelque sorte) la première partie de l'histoire. Le prochain chapitre, serra compte à lui publié quelque part entre le 10 et 15 Octobre. J'espère ous revoir quand ce serra le cas :D

Bonne lecture 





On descend de la voiture et on arrive devant le grand portail en métal de Bais'. Les deux parents de Bais' sont avocats et sont connus pour ne pas faire dans le simple. Sa maison fait l'effet à tout le monde, à chaque fois.


Louis : Une chose est sur, elle a bien les moyens pour monter un coup pareil.


Oué, ça il a raison. Mais ce n'est pas vraiment un indice en soit. La plupart des élèves sont plein aux as, ou plutôt leurs parents le sont. Seulement quelques uns d'entres eux sont de familles modestes et rare sont ceux, qui y sont grâce à des bourses.

Je prends une grande bouffé d'air frais et sonne à l'interphone.

Quelques secondes plus tard. La voix de Bais' se fait entendre.


Bais': Pour quoi il est là, lui ?

Moi : Ouvres-nous. Je t'expliquerais.


Elle hésite un moment mais finis par nous ouvrir le portail. Louis me lance un regard et on s'avance vers la demeure de Bais'. Une grande villa blanche à en couper le souffle.

On s'approche de l'entrée, où Bais' nous attends, bras croisés. Elle se décale pour qu'on puisse passer et on entre à l'intérieur.


Moi: Tu ne voulais pas aller aux toilettes, Louis?

Louis: Eu...Oui. C'est par où?

Bais': Au fond, à gauche.


Louis s'en va et je reste seule avec Bais', qui me fait signe d'aller au salon.

Une fois dans le salon, une domestique nous ramène un plateau, avec du thé, café et quelques viennoiseries.


Bais': Ce n'était pas nécessaire, Zelda. Cher ne reste pas longtemps.

Zelda nous lance un regard puis s'en va.


Moi: Tu ne crois pas que c'est plutôt à moi de t'en vouloir?

Bais': On pourrait croire, oui. Mais tu m'as menti, encore. Et cette fois, tu n'as pas d'autre choix que d'avouer.


Elle sort de la poche de son pantalon une enveloppe pliée et la jette sur la table basse. Je lui lance un regard confus puis ouvre l'enveloppe.

Mon souffle se coupe, mon pouls s'accélère, ma voix se brise, mes mains deviennent moites, ma tête tourne et mes pensées s'embrouillent. Je n'ai jamais ressenti ça de ma vie. La peur, pure, réelle.

Gossip Girl's secret diaries.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant