Enquête de vérité : Chapitre 12

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Alice : Ah oui vrai, tu vas rencontrer tes beaux-parentsFred : ne te moque pas de moi

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Alice : Ah oui vrai, tu vas rencontrer tes beaux-parents

Fred : ne te moque pas de moi. Ce n’est pas drôle

Edouard : l’ironie du sort commandant. Qui c’est peut-être que les parents ne sont même pas au courant des manigances de leur fille.

Alice : C’est vrai aussi.

Fred : Mais de savoir qu’elle a joué avec mes sentiments ça me dépasse. J’avais ouvert ma maison sans me poser de questions. Elle va me le payer et pour longtemps.

Alice : De toute façon on devra y passer. Donc pas de panique Fred. On verra bien comment ça va se passer… Bon on va relire tout ce que Victor nous a envoyé… Et bien se préparer pour les questionner… Qu’en dis-tu ?

Fred : C’est notre boulot de le faire… Alors au boulot… Encore merci pour tout Lemonnier.

Edouard : De rien Marquand… Ça me fait plaisir de vous avoir ici.. Bon boulot… Je prends les enfants avec Théo pendant que vous allez voir les parents Delcourt. Une dernière chose, ça serait mieux que vous m’appeliez par mon prénom. Nous ne sommes plus vraiment sur le lieu de travail. Qu’en pensez-vous ?

Alice : Vous avez raison, Edouard. Mais alors ne m’appelez plus madame le juge.

Edouard : Oui, je vais faire un effort madame euh pardon Alice.

Fred : Moi aussi, je vais faire un effort Edouard, mais vous pouvez choisir quel nom que vous préférez.

Edouard : J’adore Marquand, j’étais toujours habitué depuis que je vous connais et puis on ne change pas une équipe qui  gagne…

Alice Ce n’est pas faux. Bon on vous laisse. Le devoir nous appelle. A plus tard l’équipe…

Pendant qu’ils allèrent rendre une visite aux parents de Léa, au même moment à Paris, Jérôme le légiste retournait voir Djibril pour lui demander s’il pouvait voir sa cousine. Normalement ce n’est pas possible mais comme il avait coopéré avec la police sur les agissements de cette dernière, Djibril lui a accordé un droit de la voir avant son transfert en prison. Comme le procureur général était indulgent envers lui pour lui avoir donné toutes les infos nécessaires, il lui fut infligé que des travaux d’intérêt général et une amende de 10000 €…

Djibril : Avec l’accord du procureur, vous avez le droit de la voir. Mais attention, toute conversation sera enregistrée avec votre accord et sans rien lui dire.

Jérôme : Très bien, Faites. De toute façon, je n’ai plus rien à cacher.

Djibril : Vous pouvez y aller. C’est au fond du couloir à droite…

Jérôme : Je vous remercie lieutenant. Il s’avança vers la cellule de Léa.

Léa surprise : Mais qu’est-ce que tu fais là ? Je t’avais dit de rester au calme avant que je récupère mon mari de cette peste de juge.

Jérôme : A quoi bon de te voiler la face. J’ai tout dit à la police. Tu ne pourras plus faire de mal autour de nous.

Léa pas contente : Tu fais quoi. Ne me dis pas que tu as fait ça. Pas toi, j’avais toute confiance en toi. Tu as tout gâché.

Jérôme : Je n’ai rien gâché. Et oui j’ai révélé tes manigances. Et tu sais quoi, j’ai appris que le commandant et la juge vont aller voir tes parents et leurs expliquer ce que tu as fait.

Léa : Tu te rends compte à cause de ton erreur, je vais tout perdre… Mais tu vas plonger avec moi dans mes manigances comme tu dis.

Jérôme : Tu as tout perdu. Mais je ne vais pas plonger avec toi. Comme j’ai collaboré avec la police. Les charges qui pesaient contre moi sont réduites à des travaux d’intérêt général et une amende de 10000 €. Contrairement à toi. Bon sur ce, je vais te laisser, bon vent cousine.

Léa : Non ne pars pas.

Jérôme quittait Léa pour ne plus la revoir. Car il avait tout dit. Un poids en moins

Alice Nevers - Saison 16 : Enquête de véritéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant