Enquête de vérité : Chapitre 24

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Connor : Je vais vous laisser.

Fred : Non, je n'ai pas encore fini avec vous. Vous restez avec nous, vous allez nous aider à coincer Matthew. Ah Djibril, j'ai besoin de ton génie pour décrypter ce fichier

Djibril : au moins vous reconnaissez que j'ai du génie. Passez-moi le CD et il me suffit de faire un clic ça va prendre 5 min. Et voilà, nous pouvons visionner la vidéo...

Le fichier décrypté, le visionnage va pouvoir commencer. Sur la vidéo, on reconnait le bureau avec Madame Bosc. Elle a une visite de 3 personnes. Marquand fait un bond en arrière... Il reconnaît une personne familière...

Djibril : Commandant ça va ? On dirait que vous avez un fantôme.

Fred : On peut dire ça. Dans vidéo il y Léa qu'on reconnaît très bien. Mais que fait mon vieil ami avec cette bande de cons... Mais j'ai l'impression qu'ils parlent. Il y a du son Djibril.

Djibril : Je n'ai pas pu réussir à rétablir le son.

Connor : Mais je peux vous aider...

Fred : Vous savez lire sur les lèvres des gens.

Connor : Dans mon métier, je me suis déjà confronté à certains cas administratifs. De plus, j'ai pu avoir une formation pour mieux apprendre et comprendre les gens.

Djibril : Alors vous pouvez nous aider à déchiffrer la conversation entre Mme Bosc et les malfrats...

Connor : Oui, je peux le faire. Puis-je regarder la vidéo.

Djibril : Je vous laisse faire. Mais je reste près de vous afin d'avoir de réponses pour prouver la culpabilité de Léa et son cousin...

Pendant ce temps-là dans l'autre pièce, l'interrogatoire se poursuit entre Alice, le procureur et Léa. Plus moyen de nier les faits. Léa est complètement piégée.

Alice tape sa main sur la table : Melle Délcourt vous allez enfin nous dire la vérité. Vous ne pouvez plus nier les faits qui sont contre vous. Usurpation d'identité...

Léa : Vous ne comprenez pas Je l'ai dans ma peau...

Alice : Mais c'est incroyable. Cet argent, vous pouvez me dire comment vous avez déniché.

Le procureur reçoit un document : Il est vrai que votre compte n'est pas très riche...

Léa : Vous avez eu comment ce document. Pas ravie de voir ce document devant elle. Vous n'avez pas le droit de fouiller dans ma vie comme ça.

Alice : Nous avons tous les droits quand ça concerne des enquêtes... Et puis arrêtez de vous comporter comme une victime. Ca renforce nos suspicions de votre responsabilité dans cette affaire.

Léa : Arrêter me rejet ces accusations sans fondement... Vous n'avez pas de preuves.

Le procureur : Tout vous accuse. Les preuves de votre compte. L'usurpation des papiers d'identité du commandant Marquand.

Léa : Bon, j'avoue que pour les papiers c'est moi qui avais tout préparé. Je n'ai pas supporté la complicité et l'amour que vous avez avec Marquand. C'est pour ça que je voulais me venger. Mais pour l'agression de l'assistance sociale, je ne suis pour rien.

Alice : Mais attendez. Qui vous a parlé de l'agression. Or que je n'ai rien dit à ce sujet-là.

Léa : C'est votre commandant qui m'avait parlé avant votre arrivée... Je ne voulais pas cautionner cette violence vers l'assistante.

Alice : Admettons que vous ne vouliez pas ça. Mais les preuves sont là. Regardez comment cette femme s'est retrouvée dans cet état-là. Mais j'ai une vidéo à vous montrer... et on va bien voir si vous avez raison.

Alice Nevers - Saison 16 : Enquête de véritéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant