L'éveil des cendres (EN ARRÊT)

Le marais

L'homme marchait sur un sol de glace, se dirigeant devant une grande porte fait d'acier. Il portait l'armure des dragons, mais le tissu était bleu et l'insigne un ours polaire et non un dragon. Deux gardes, ayant pour armure un manteau de fourrure noir et un simple casque naseau, ouvrirent la porte à l'homme. Il s'avanca devant le trône où était assit un autre homme, cheveux noir jusqu'aux épaules et yeux couleur neige. Le trône était fait de glace et le Roi de celui-ci avait une couronne fait de bande verticale en acier, une dizaine et au moin de la longeure d'une dague chacunes. Le chevalier s'agenouilla et fut le premier à parler :

- Notre mouchard m'a déclaré que le garçon est en direction des Miniogs, il se prépare et partira sous peu...

Le Roi relia ses deux mains et de sa voix sombre prit la parole : 

-Tout était donc vrai, mon garçon est bien vivant... Qu'il en soit ainsi alors, dans quel camps est-il ? 

Le chevalier paru hésiter, son armure était bien de fabrication de l'ordre, mais son visage ne me disait rien...

-Notre homme m'a bien dit qu'il avait été adoubé Monseigneur... Il est un chevalier et semble plus que décidé à le rester... 

-Tout comme toi Gwaed, mais cela ne ta pas empêché de me rejoindre... Il est influençable malgré lui... Va le retrouver et ammène le moi...

Gwaed ? Ce nom ne me disait rien, mais Gwaed venait sans-doute de l'ancienne langue parlé jadis par les premiers colons.

À chaque fin de phrase, le Roi reprenait son air comme si son souffle datait de plusieurs milénnaires 

- le ramener vivant mon Roi ?

-Bien sur Gwaed, si je veux un héritier je dois bien le garder en vie non? s'il refuse d'obtempérer, égorge le...

Et sur cette brève conversation s'acheva mon rêve... Cette fois-si je ne prenais pas part à ce rêve et je n'y étais pas physiquement, mais me fallait-il le prendre à la légère ? Cette salle ne me disait rien et encore moins le Roi qui y était assi, mais sa voix.... était familière à mes oreilles. Les Miniogs ? Encore de l'ancienne langue, malheurement ce language était disparu au sud depuis bien longtemps. Il faudra à tout prix que je parles au Roi de l'emblème de l'ours, mais pour l'instant je devais surtout penser à me rendre au moins de l'autre côté de ce sataner marais.

Mais pour commencer j'allais devoir faire la plus dangereuse de mes aventures, reveiller Aérisse ! Je m'avanca le plus subtilement possible de sa couche, qui étais à côté de la mienne, pour ensuite mettre ma main sur son épaule et brasser un peu celle-si, résultat : elle arrêta tout-à-coup de ronfler comme un dragon ( si petite, mais tellement monstrueuse lorsqu'elle dort), mais elle dormait toujours. Deuxième solution et non la moindre, tentez de la réveiller en disant son nom, résultat: bref regard et la revoilà partit pour le pays des rêves, une vraie pierre... Dernière solution, criez ... À mes risques et périls

- Aérisse Narissar !!! Par tout les dieux réveille toi !! 

Elle se leva d'un bond et me frappa. J'esquiva son coup de pied, mais son coup de poing à l'épaule, je ne pu l'esquiver.

- Mais par les sept tonnerres que me veux-tu ?!? Aurais-je faillit mourir ou somme nous attaqué ? À-t-il une raison valable à ces cris ?! 

Elle prenait litéralement le rouge une fois en colère, elle me rappelait Adérik, mais en plus violent...

-Mais nous devons partir ! À moins que tu veux que je te laisse à ce Garets ? Je suis sur que tu adorais passé les prochaines semaines avec lui ! 

Second coup de poing, éviter et je la tenais maintenant par les poignets.

- Lâchez-moi je vais venir, mais lâche-moi !